Autres noms : Berger d'Ecosse à Poil Ras
Nom d'origine : Smooth Collie
Pays d'origine : Royaume-Uni
Groupe : Chien de berger et de bouvier
Hormis pour certains puristes qui considèrent que le museau et les oreilles diffèrent entre les deux races (sans pour autant que cela soit reconnu officiellement par les standards), seule la longueur de sa fourrure permet de différencier le Colley à poil court de son homologue à poil long.
Que son poil soit court ou long, le Colley a une silhouette élancée, à la fois légère et athlétique, qui lui confère une allure digne. Cette impression est renforcée par sa tête cunéiforme, son museau fin et allongé se terminant par une truffe noire ainsi que sa longue queue portée bas, dont l’extrémité se relève légèrement en courbe.
De dimension moyenne et exprimant de la douceur et de l’intelligence, ses yeux sont en général de couleur brun foncé, sauf chez les chiens bleu merle, chez qui ils sont souvent bleus. Quant aux oreilles, elles sont de taille moyenne et portées en arrière, mais se redressent partiellement vers l’avant lorsque le chien est attentif.
Le Smooth Collie a un pelage court et plat. Le poil de couverture est dur, et le sous-poil dense. Outre les marques blanches typiques du Colley au collier, au poitrail ou à l’extrémité des pattes, la robe du chien peut être de 3 couleurs différentes :
Les standards de race sont des documents établis par les organismes officiels qui listent les conditions qu'un Colley à Poil Court doit respecter pour être pleinement reconnu comme appartenant à la race :
En Amérique du Nord, le Colley à poil court (Smooth Collie) et le Colley à poil long (Rough Collie) sont considérés comme deux variétés d’une même race.
Le Colley à poil court – ou Smooth Collie - est utilisé depuis plusieurs siècles comme chien de troupeau par les bergers de la région des Highland, en Ecosse, mais ses origines exactes restent floues. Ses ancêtres y auraient été introduits par les Romains lors de leur conquête de la Grande-Bretagne. Divers croisements avec des chiens de troupeaux locaux donnèrent naissance au Berger Britannique.
Lors des 18ème et 19ème siècles, ce Berger Britannique fut lui-même croisé avec d’autres races, telles le Barzoï de Russie et le Setter Irlandais, pour donner naissance à trois races de chiens de berger britanniques biens connus : le Colley à poil court, le Colley à poil long et le Border Collie.
L’origine du terme « Colley » n’est pas claire : certains prétendent que le nom viendrait de la couleur sombre des premiers Bergers Britanniques (« Coaly », ou « Noir charbon ») alors que d’autres soutiennent qu’ils doivent leur nom à une race de mouton autrefois commune en Ecosse, le « Colley ». D’autres hypothèses affirment que c’est en réalité une déformation du terme anglais « Collar », ou collier. Cependant, sachant que la langue principale en Ecosse était le gaélique, la théorie voulant que leur nom vient du terme celte « còilean », qui signifie « chiot » ou « petit chien », semble la plus probable étymologiquement parlant.
Bien qu’aujourd’hui le Colley à poil court soit morphologiquement indifférenciable de son célèbre cousin le Colley à poil long, il semble qu’il en allait différemment au 19ème siècle : chez les chiens de bergers qui étaient leurs ancêtres, les individus à poil court étaient plus courts sur pattes et massifs que ceux à poil long. Depuis, les nombreux croisements entre sujets à poil long et à poil court font que leur apparence actuelle est quasiment identique, en dehors de la longueur du poil.
En 1860, lors de son passage au château de Balmoral en Ecosse, la reine Victoria s’enticha du Colley et en ramena plusieurs spécimens pour son chenil personnel de Windsor - dont Sharp, un Colley à poil court connu pour avoir été son chien favori. Cet intérêt royal fit que la race connut une popularité croissante lors des expositions canines.
Le Colley fut introduit en Amérique à la fin du 19ème siècle. Il fit son arrivée en France à la même époque, et un club de race fût créé en 1912. Après-guerre, le roman Lassie, chien fidèle écrit par Eric Knight et publié en 1938 ainsi que la série télévisée éponyme (1954-1973) contribuèrent à faire du Colley une des races de chien les plus populaires dans le monde jusqu’à la fin des années 80, avant que l’intérêt dont il bénéficiait ne commence à décliner, aussi bien en Europe qu’en Amérique du Nord.
Néanmoins, cette popularité concerne avant tout la version à poil long, le Rough Collie. De fait, le Smooth Collie a toujours vécu dans l’ombre de son homologue à poil long. C’était déjà le cas au 19ème siècle, lorsque les critères esthétiques des expositions canines favorisaient les chiens au pelage long et soyeux. Plus tard, lorsque le Colley à poil long devint particulièrement populaire au cours de la seconde moitié du 20ème siècle, grâce notamment à la figure de Lassie, la version à poil court ne bénéficia pas du moindre effet d’entraînement : sa diffusion resta - et reste de nos jours - confidentielle.
Malgré tout, les deux versions sont reconnues depuis 1974 comme deux races à part entière par la FCI (Fédération Cynologique Internationale). Il en va de même depuis 1979 pour l’organisme canin britannique de référence, The Kennel Club. En revanche, la situation est différente en Amérique du Nord. En effet, l’AKC (American Kennel Club), l’UKC (United Kennel Club) et le CKC (Canadian Kennel Club) considèrent que le Smooth et le Rough Collie sont deux variétés d’une seule et même race.
De nos jours, en Grande-Bretagne, environ 70 Colleys à poil court sont enregistrés chaque année auprès de The Kennel Club, soit 10 fois moins que son homologue à poil long.
En France, le Colley à poil court est encore plus rare, avec environ 25 individus enregistrés chaque année au LOF (Livre des Origines Français) au cours des dix dernières années, contre une moyenne de 900 individus à poil long. Cependant, le nombre d’inscriptions du Smooth Collie reste constant, tandis que les inscriptions de Rough Collies ont sensiblement chuté, passant de plus de 1100 par an dans la première décennie des années 2000 à moins de 800 à la fin de la deuxième.
Le Colley est un chien équilibré, sensible et totalement dévoué à son maître, auquel il voue une affection débordante. Il adore les enfants, se montrant doux et patient à leur égard, et se faisant un plaisir de jouer avec eux.
Sociable et affectueux, il apprécie la compagnie des humains et supporte mal d’être seul. Un manque d’attention de la part de sa famille peut l’amener à avoir un comportement boudeur, voire à manifester son mécontentement à travers des aboiements intempestifs. Il a donc besoin d’un maître qui peut être disponible pour lui.
Il s’entend également généralement bien avec ses congénères et avec d’autres animaux de compagnie, ce qui en fait un choix idéal pour une famille ayant déjà des animaux à la maison.
Il fait en outre partie des races de chien les plus intelligentes et possède une excellente mémoire. Sachant qu’il a aussi un désir instinctif de faire plaisir à son maître et qu’il est extrêmement obéissant, il est facile de comprendre pourquoi il est si facile à dresser et parfois utilisé en tant que chien guide d’aveugle ou chien d’assistance aux personnes handicapées.
Il peut aussi être dressé pour servir comme chien d’alerte : protecteur et aboyant facilement, il ne manque pas de prévenir de l’approche d’un inconnu, sans pour autant montrer de signes d’agressivité.
Actif et vif, le Colley n’est pas vraiment une race idéale en appartement, et se sent beaucoup plus heureux s’il a un jardin où se dépenser librement. Ayant besoin de longues balades quotidiennes pour rester en bonne santé, ce n’est pas un chien adapté pour un citadin sédentaire ou une personne âgée qui ne sort pas beaucoup de chez elle. Il peut néanmoins s’accommoder d’une vie en appartement, dès lors que son maître le sort suffisamment longtemps (au moins trois fois par jour) et lui propose des activités stimulantes mentalement lorsqu’il est à l’intérieur.
Le Colley est un chien naturellement équilibré et sociable avec les humains, mais il est tout de même important de le socialiser dès son plus jeune âge afin de l’habituer à tous types d’humains et d’animaux. Ceci permet en effet d'éviter un comportement anxieux et méfiant envers les étrangers à l’âge adulte.
Son éducation doit reposer sur un subtil équilibre entre la douceur nécessaire pour ne pas endommager le lien puissant qui l’unit à son maître, et la fermeté indispensable pour faire passer les messages à ce compagnon plutôt têtu. Comme il s'agit d'un chien très joueur, il est recommandé de procéder de manière ludique pour lui apprendre les commandes de bases, et de récompenser chaque réussite comme il se doit.
De fait, étant donné sa nature sensible, il répond beaucoup mieux au renforcement positif qu’aux méthodes d’éducation canine traditionnelles.
Le Colley est plutôt un chien robuste et résistant, mais il est prédisposé à plusieurs maladies oculaires génétiques qu’il convient de dépister :
Par ailleurs, du fait de son épiderme fragile, il est aussi particulièrement sensible à la dermatomyosite et à différentes maladies de peau des chiens.
Enfin, comme toutes les grandes races de chiens, il peut également souffrir de dysplasie de la hanche.
Le poil court du Smooth Collie ne demande que peu d’entretien, puisqu’il n’y a qu’en période de mue qu’il est nécessaire de brosser son chien. Par contre, il perd ses poils abondamment, si bien qu’il faut prévoir de passer souvent l’aspirateur.
Si son pelage est particulièrement sale, il est possible de le nettoyer avec un shampoing vétérinaire spécial chien, mais donner un bain à son chien doit rester quelque chose d’exceptionnel, afin de ne pas retirer le sebum qui protège sa peau sensible, et donc fragiliser cette dernière. De fait, dans la plupart des cas, un bain une ou deux fois par an est amplement suffisant, d’autant le Collie n’est pas un chien ayant une forte odeur corporelle.
Par contre, il convient de vérifier régulièrement ses yeux, et les nettoyer si besoin avec du sérum physiologique et une compresse propre.
Enfin, étant actif, ses griffes s’usent naturellement, mais il est néanmoins recommandé de les vérifier tous les mois et de les couper si besoin.
Des croquettes industrielles de qualité apportent tous les nutriments dont le Colley a besoin, et sont la solution la plus simple pour bien le nourrir. Suivre les instructions du fabricant au sujet des quantités journalières est nécessaire pour limiter les risques d’obésité chez ce chien plutôt vorace.
Plutôt difficile en termes de nourriture, le Colley est susceptible de bouder et refuser de manger sa gamelle si ce qui lui est proposé n’est pas à son goût. Il peut donc s’avérer utile d’essayer différentes croquettes afin d’opter pour celles qui lui plaisent le plus.
L’utilisation du Colley comme chien gardien de troupeau relève aujourd’hui du passé, car les bergers lui préfèrent désormais largement le Border Collie.
En revanche, il demeure un chien de compagnie idéal, apportant joie et amour dans la maison, jouant de bon coeur avec les enfants et n’étant pas non plus avare d’affection envers les adultes. C’est en particulier une race de chien recommandée pour un maître sportif souhaitant partager une activité physique avec son chien, comme par exemple du cani-cross ou du cani-VTT.
Avec un dressage adéquat, il fait aussi un excellent chien de garde.
Enfin, le fait qu’il soit extrêmement intelligent et serviable permet de faire suivre au Colley une formation plus poussée et spécialisée afin d’exceller dans des concours de dressage, voire devenir chien guide d’aveugle ou chien d’assistance pour handicapés.
En revanche, contrairement à son homologue à poil long, le Colley à poil court n’est que rarement présenté lors des expositions canines.
La fourchette de prix d’un Colley à poil court est assez large, allant d’environ 600 euros à plus de 1500 euros. Le montant demandé varie principalement en fonction du pedigree du chien et de la conformité avec le standard de la race.
Rio, mon amour de Smooth Colley
Il est mon onzième compagnon à quatre pattes.
C.est mon premier Colley. Je ne l’ai pas choisi, c’est lui qui m’a trouvée lors d’une balade en montagne.
Il avait été abandonné et il avait environ huit mois.
Je ne pensais pas le garder car j’avais déjà Cyane ma petite Lhassa Apso à la maison et j.apprehendais la cohabitation.
Cyane en toutou gâté qu’elle était l’à bien accepté et Rio a tout de suite su se faire adopter.
Depuis j’ai perdu ma petite chienne (elle avait 16 ans) et je ne remercierai jamais assez le hasard qui m’a fait croiser le chemin de Rio.
C.est un chien extraordinaire de gentillesse, d’affection, d’intelligence.
Il a 6 ans désormais, déjà !
Je ne veux pas penser au jour où il ne sera plus là.
C’est pourquoi nous profitons au maximum de belles balades car c’est un chien très sportif et nous jouons beaucoup dans le jardin.
Il adore les enfants et est très sociable.
Rio, un grand merci de m’avoir adoptée.
Ayant un Colley, nous trouvons cette race magnifique mais aussi de l'intérieur respectueux et très gentil: facile a vivre. Nous l'avons promené sans laisse dans la semaine ou nous l'avons adopté alors qu'il n'avait que quatre ans. Nous l'aimons fort et nous ne souhaitons pas que le temps passe car il commence a se faire vieux, bientot nous savons qu'il ne sera plus de ce monde. Ils resteront ma race de chien préféré et je ne me vois pas sans un colley avec moi. Ils sont tellement gentil que je ne pourra&it vivre sans.
nous avons un colley depuis 4 ans et c est une perle couleur bleu nuit il a les yeux verons nous avons choisi cette race car c est tres gentil avec les enfants le seul bemol c est que c est tres peureux nous l avons achete dans un elevage pres d agen l elevage etait minable et sam avait peur de tout le bruit d une voiture 1 poubelle
Poilu mais sympa !
J'ai eu une femelle colley pendant près de 13 ans. Je l'ai adopté à la SPA alors qu'elle avait environ 6 mois (elle avait été récupérer par la SPA suite à l'arrestation d'un trafiquant de chien). Malgrès la période assez difficile qu'elle avait passé avec cet individus et ensuite à la SPA, ce fut une chienne extraordinaire. Son éducation fut extremement facile. Exemple : les 3 premières nuits après son arrivée chez nous, je l'ai retrouvé dans notre canapé, à chaque fois je l'ai fait descendre doucement et l'ai reconduite dans son pannier, la quatrième nuit elle alla directement dans son pannier et ne retourna plus jamais sur le canapé. Elle adorait sa famille ; pendant les ballades familliales elle ne cessait de vouloir regrouper tout son petit monde en allant de l'un à l'autre et parfois en aboyant si l'un d'entre nous se détacher un peu trop du groupe (surement l'instinct de berger). C'était un chien de taille moyenne et qui pourtant ne tenait pas de place car très calme et très discrèt. Elle aimait se coucher dans les endroit où elle pouvait observer toute la famille. C'était un chien qui adorait nous faire plaisir, donc très facile à éduquer (elle a très vite intégrer les ordres de base tel que : assis, coucher, rapporte, etc ...elle répondait même aux ordres juste mimer : exemple : sans avoir besoin de parler, le simple fait de pointé du doigt sa croupe l'a faisait s'assoire). Elle n'a jamais dépassé les limites de notre terrain qui n'est pas cloturé (à son arrivée nous lui avons fait faire le tour de propriétaire et l'avons rappelé à l'ordre seulement 3 ou 4 fois). Elle s'entendait très bien avec les autres animaux (chats, chiens, lapins, volailles, etc... )Malgrès toutes ses qualités elle avait quand même quelques défauts, à savoir qu'elle aboyer beaucoup, qu'elle craignait énormement la chaleur (ce que nous devions prende compte pour le choix de nos destinations de vacances). Et pour les rares fois où nous ne l'avons pas emmené avec nous et que nous l'avons confié pendant nos vacances à des membres de notre famille, elle a à chaque fois refusée de s'alimenter (et pourtant elle supportait très bien d'être seule quand nous étions au travail ou à l'école toute la journée, mais plusieurs jours sans nous et loin de son domicile la faisait déprimer). Elle avait aussi la facheuse tendance de pincer les fesses de nos invités qui parlaient très fort ou qui gesticulaient beaucoup (elle les jugeait peut être menacant pour nous ? elle n'a fait ça qu'avec des personnes qu'elle ne connaissait pas). Et comment ne pas parler de son pelage qui nous obligeait à passer l'aspirateur tous les jours sous peine de trouver des poils partout et qui nécessitait beaucoup d'entretien :1 ou 2 brossage par semaine et plus lorsqu'elle fut vieille. En effet, pendant sa dernière année elle souffrait beaucoup d'arthrose et avait d'énorme difficultée à faire sa toilette, nous avons du la brosser beaucoup plus souvent surtout l'arriere train. Comme elle ne pouvait plus se lécher, des restes d'excrements restaient collés dans ses poils ce qui nous a obligé à lui tondre les poils de l'arrière train, ce qui n'était pas du tout esthetique mais qui avait le mérite de la laisser propre (désolé de parler de ce sujet peu ragoutant mais je pense que les gens qui souhaitent adopter un chien à poil long doivent connaître ces petits détails avant de faire leur choix). Pour conclure, je dirais que le colley est un chien de compagnie idéale, facile à éduquer, protecteur, intelligent, patient et calme, mais que son pelage bien que très beau est une réelle contrainte à prendre en compte.
ils sont les plus beau chien les plus gentil et ils sont pas agresif si vous avez des enfant en bas age ils ne poseras aucun probleme
Moi le Chien COLLIE
Quand j'étais un petit chiot je t'amusais avec mes gambades et je te faisais rire !
Tu m'appelais ton enfant, et ceci malgré plusieurs chaussures grignotées, sans oublier quelques coussins déchiquetés.
Je suis vite devenue ta meilleure amie ! ( ou amis )
Chaque fois que je faisais une bêtise, tu agitais ton doigt en me demandant
« Comment t'as pu ? »
Mais tu me pardonnais vite et tu me faisais de gros câlins.
J'ai mis un peu plus de temps que prévu avant de devenir propre parce que tu étais très occupé, mais nous y sommes arrivés à la fin. Je me souviens de ces nuits tout près de toi, dans ton lit où j'écoutais tes confidences et tes rêves les plus secrets, et je croyais que la vie ne pourrait pas être meilleure.
Nous avons fait de longues balades et des jeux dans le bois, des balades en voiture, des pauses pour manger une glace ( je n'avais droit qu'au biscuit parce que la glace est mauvaise pour les chiens à ce que tu disais ) et je faisais de longs sommes au soleil en attendant que tu rentres le soir.
Peu à peu tu as commencé à passer plus de temps au bureau, et plus de temps à chercher une compagne !... ( )
J'étais patiente, je t'attendais sagement à la maison, je t'ai réconforté après les déceptions, quand tu avais le cœur brisé, je ne t'ai jamais grondé quand tu prenais la mauvaise décision, et je te faisais une de ces fêtes quand tu rentrais !
Et aussi quand tu es tombé amoureux.
Elle, maintenant, ta femme, n'aime pas les chiens - malgré ça je l'ai accueillie dans notre maison, j'ai essayé d'être gentille avec elle et de lui obéir.
J'étais heureuse parce que tu étais heureux…
Et puis les bébés sont arrivés et j'ai partagé ta joie.
Ils me fascinaient, tout roses, avec leur odeur particulière, et je voulais aussi être leur maman.
Seulement, Elle et toi aviez peur que je leur fasse du mal, et la plupart du temps, j'étais punie et renvoyée dans une autre pièce, ou dans ma niche. Ah! comme j'aurais voulu les aimer, mais je suis devenue une prisonnière de l'amour.
Quand ils ont commencé à grandir, je suis devenue leur amie.
Ils s'accrochaient à ma fourrure et se servaient de moi pour se mettre debout sur leurs petites jambes instables.
Ils mettaient leurs doigts dans mes yeux, ils faisaient des recherches approfondies dans mes oreilles, et m'embrassaient sur le museau.
J'adorais tout d'eux, quand ils me touchaient parce qu'à ce moment là, c‘était rare que toi tu me touches et je les aurais défendus avec ma vie en cas de nécessité.
Je rentrais en cachette dans leur lit et je partageais leurs soucis et leur rêves secrets.
Ensemble nous attendions l'arrivée de ta voiture.
Autrefois, quand les gens te demandaient si tu avais un chien, tu sortais de ton portefeuille une photo de moi et tu racontais mes exploits.
Ces dernières années tu répondais seulement « oui » et tu détournais la conversation. Je n'étais plus ton chien, j'étais devenu « un » chien… ( )
Et tu commençais à regretter l'argent dépensé pour mon compte !
Maintenant, tu as l'occasion de faire avancer ta carrière dans une autre ville, et toi et eux vous allez habiter un appartement où les chiens ne sont pas admis. Tu as pris la bonne décision pour ta famille, mais il y avait une époque où c'était moi ta seule famille.
J'étais heureuse quand tu m'as mise dans la voiture, jusqu'au moment où, nous sommes arrivés au refuge. Ca sentait les chiens et les chats, la peur, le désespoir… ( )
Tu as rempli les papiers et tu as dit que tu étais sûr qu'ils allaient me trouver une bonne maison. Elles ont haussé les épaules et t'ont regardé tristement.
Elles, elles connaissent la triste vérité : les difficultés de placer un chien qui n'est plus tout jeune, même un chien avec des papiers en règle… ( )
Tu as été obligé d'arracher les doigts de ton fils qui restaient accrochés à mon collier, pendant qu'il hurlait NON, papa, s'il te plaît, ne les laisse pas prendre mon chien !...
Et je me suis inquiété pour lui, de la leçon que tu venais de lui donner sur l'amitié et la loyauté, l'amour et les responsabilités, le respect de la vie, de toutes les vies.
Tu m'as tapoté gentiment la tête, en guise d'adieu, en évitant bien de … ( )
…me regarder dans les yeux et tu as refusé de prendre mon collier et ma laisse.
Tu étais en retard - un rendez vous - maintenant, moi aussi j'en ai un.
Quand tu es parti, deux gentilles dames ont dit que tu savais surement, il y a quelques mois déjà, que tu allais déménager, mais que tu n'as pas cherché à me trouver une autre famille…
Elles ont secoué la tête et se sont demandé « Comment t'as pu ? »
Elles nous traitent aussi bien que possible, ici au refuge, compte tenu de tout le travail qu'elles ont.
Elles nous nourrissent, bien sûr, mais depuis quelques jours, je n'ai plus faim. Au début, dès que quelqu'un passait devant ma cage je levais la tête, dans l'espoir de te voir pensant que tu aurais changé d'avis ou j'espérais que ce serait quelqu'un qui m'aimerait, qui prendrait soin de moi, me sauverait.
Quand j'ai réalisé que je ne pouvais pas rivaliser avec ces jeunes chiens tout heureux, qui s'en foutaient de leur destin, je me suis retirée au fond de ma cage et j'ai attendu.
J'ai entendu ses pas quand elle est venue me chercher à la fin de la journée, et je l'ai suivie docilement dans une autre pièce.
Une pièce tranquille, silencieuse… ( )
Elle m'a mise sur la table et elle m'a frotté les oreilles, elle m'a rassurée, elle m'a dit de ne pas m'inquiéter !...
Mon cœur battait à tout va en pensant à ce qui allait venir, mais j'avais aussi un sentiment de soulagement.
La prisonnière de l'amour n'avait plus de jours devant elle !...
Telle est ma nature, je me faisais plus de soucis pour cette femme.
La charge qui pèse sur elle est lourde, ça je le sais, comme je devinais autrefois chacune de tes humeurs…
Doucement, elle a mis le tourniquet autour de ma patte, une larme coulait sur sa joue… ( )
J'ai léché sa main, tout comme je te réconfortais, il y a tant d'années de ça… ( )
Elle a mis l'aiguille dans ma veine, en professionnelle…
Quand j'ai ressenti la piqure et le liquide froid qui gagnait mon corps, je me suis allongée, je l’ai regardée dans les yeux, si gentils, et j'ai chuchoté… ( )
Comment t'as pu ?!!
Peut être parce qu'elle comprenait le langage des chiens, elle m'a dit: « je suis vraiment désolée » Elle m'a câliné et elle m'a vite expliqué que c'était son devoir de s'assurer que j'allais dans un endroit meilleur, où je ne serais ni ignorée, ni abusée, ni abandonnée, où je devrais me défendre toute seule un endroit où il y a de la lumière, de l'amour, tout à fait différent de notre terre, je devrais de cette terre.
Dans mon dernier souffle j'ai essayé, en remuant ma queue, de lui faire comprendre ceci :
je ne voulais pas lui dire, à elle, Comment t'as pu ?!!...
C'est à toi, mon Maitre adoré, que je pensais !... ( )
Je penserai à toi et je t'attendrai toujours… et oui !
Que tout le monde dans ton entourage continue à t'être fidèle et à te montrer autant de loyauté, et je serais toujours là pour voir si tout va bien.
Car je c’est que ce n’est pas toi qui à eu cette décision à mon encontre, mais comme je suis un être de l’autre dimension maintenant je pourrais plus d’aider.
Je dois dire ou je suis née la ils vont s’inquiéter pour moi car chez eux il y avait beaucoup d’amis Chiens Collie et Schetland qui mont vue venir sur cette terre, mais je leurs dis encore un grand au revoir … ( )
Signature un Chien Collie qui fut !
j'ai un colley depuis 5 ans je la surnomme lassie. c'est une vraie pèrle je lui est appris a ne pas avoir peur des gens ,depuis qu'elle a 8 semaines. elle est très caline et très joueuse mais autoritaire. il faut juste lui montrer ou lui r'appeller qui commande. on peut l'emmener partout en vacances et au restaurant elle ne bouge pas merci a tous
j ai adopter un colley poil long de 7 ans qui etait essentielement reserve a la reproduction chez un eleveur mais elle est tres peureuse et fait pipi des que quelqu un entre dans la maison j ai beaucoup de mal a la faire venir vers moi sans qu elle se tapie au sol un conseil serait le bienvenu merci
je possede un colley d ecosse il a actuellement 16ans il m a donne et me donne encore enormement de bonheur mais son train arriere commence a le gener il a aussi un probleme de dentition si quelqu un peut me donner des conseils le veto me dit que c est normal il s'appel dingo il avez 6 mois quand je l ai eu MERCI a vous
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