Autres noms : Terrier Nyam-Nyam ou Terrier du Congo
Nom d'origine : Ango Angari
Pays d'origine : Congo (RDC, ex-Zaïre)
Groupe : Chien de type Spitz et de type primitif
Le Basenji a une allure aristocratique, avec un corps élégant qui s’inscrit dans un carré.
Son ossature est relativement fine et ses muscles sont allongés. Son dos bien droit se termine par une queue portée haute qui s’enroule au-dessus de la colonne vertébrale. Ses pattes, tout en longueur, lui permettent de courir vite et longtemps. Elles se terminent par des petits pieds étroits et compacts, aux coussinets épais.
Son cou est musclé et suffisamment long pour assurer un port de tête haut et fier. Celle-ci est cunéiforme, se terminant par une truffe noire de préférence. Des rides au niveau du front lui donnent un aspect soucieux, qui est d’ailleurs renforcé par ses yeux foncés à l’expression impénétrable. Les oreilles sont petites et pointues, attachées au sommet du crâne.
Le poil, court et luisant, est très fin et serré. En outre, contrairement à ce que l’on pourrait penser en voyant sa fourrure si courte, ce chien possède bien un sous-poil, plus ou moins dense selon les individus.
De nombreuses couleurs de robes sont possibles. Les sujets bicolores sont les plus communs, qu’il s’agisse de chien noir et blanc, rouge et blanc, noir et feu ou fauve et blanc. Les marques blanches se situent généralement au niveau de la poitrine, des pieds et du bout de la queue. Il existe également des sujets noirs, et d’autres bringés (rouge, avec des rayures noires bien visibles).
Enfin, le dimorphisme sexuel est assez marqué, le mâle étant plus grand que la femelle.
Les standards de race sont des documents établis par les organismes officiels qui listent les conditions qu'un Basenji doit respecter pour être pleinement reconnu comme appartenant à la race :
Le Basenji, ou Terrier du Congo, fait partie des chiens pouvant prétendre au titre de race de chien la plus ancienne au monde. En effet, de nombreuses illustrations retrouvées dans des tombes de pharaons ainsi que sur différents artéfacts datant de cette époque attestent qu’il était déjà présent il y a plus de 5000 ans dans l’Égypte ancienne.
Sa ressemblance avec la représentation de Anubis, le dieu des morts, a donné lieu à quelques théories fantaisistes sur ses origines. Toutefois, la grande majorité des spécialistes s’accordent pour dire que ce chien n’est pas un émissaire venu à travers une porte des étoiles.
En revanche, il semblerait que ses ancêtres aient été offerts aux nobles de l’Égypte antique par les peuples d’Afrique centrale. Ceci laisse penser que la race aurait été domestiquée avant l’époque des pharaons, et aurait donc des origines encore plus anciennes.
Si le Basenji a disparu des radars à la suite de la chute de l’empire égyptien, il a toutefois continué à vivre relativement inchangé dans les forêts d’Afrique, notamment le long du Nil et du fleuve Congo. Pendant des siècles (et encore de nos jours), il a aidé les hommes à chasser, en traquant le gibier et l’entraînant vers les pièges tendus, qu’il s’agisse de filet ou d’entonnoir se terminant en enclos.
Les premières références modernes à la race datent de la fin du 17ème siècle, lorsque le père Jérôme Merolla, un missionnaire de l’Église catholique au Congo, les décrivit dans un de ses écrits. Il fallut toutefois attendre la fin du 19ème siècle pour qu’elle soit réellement redécouverte par le monde occidental.
En 1895, des explorateurs britanniques rapportèrent en Angleterre un couple de Terriers du Congo, mais ces derniers décédèrent rapidement de la maladie de Carré. D’autres tentatives d’importation eurent lieu au début du 20ème siècle, mais toutes eurent des issues désastreuses, les chiens succombant à des maladies contractées en Europe.
En 1936, une certaine Mme Burn réussit à importer avec succès un couple de Basenjis nommés Bongo et Bokoto. Ils furent présentés en 1937 au Crufts, une exposition canine mondialement connue, organisée chaque année depuis 1895 à Birmingham par le Kennel Club (KC) britannique. Ils y connurent un tel succès que la police dut intervenir pour juguler les mouvements de foule provoqués. Quatre ans plus tard, en 1941, l’organisme reconnut officiellement la race sous le nom de Basenji. C’est Mme Burn qui serait d’ailleurs à l’origine de cette appellation, alors que ce chien était jusqu’alors plutôt connu sous le nom de Terrier du Congo. Ce mot vient d’un dialecte africain et pourrait être traduit par « chien des bois ».
A l’image de ce qui s’était produit en Europe, la race eut bien du mal à s’implanter aux Etats-Unis, les individus importés au début du 20ème siècle contractant diverses maladies mortelles suite à leur arrivée. À la fin des années 30, Henry Trefflich, un négociant en animaux exotiques, en fit venir à son tour plusieurs dans le pays, mais seule une femelle nommée Congo survécut. Bien décidé malgré tout à mener son projet jusqu’au bout, il ne renonça pas et acquit alors Bois, l’un des descendants de Bongo et Bokoto. Bois et Congo sont la base du programme d’élevage en Amérique du Nord, même si de nouveaux Basenjis importés vinrent s’y ajouter par la suite.
Comme en Grande-Bretagne, la reconnaissance officielle ne tarda pas à survenir : l’American Kennel Club (AKC) reconnut la race dès 1944, et fut suivi en 1948 par l’United Kennel Club (UKC), l’autre organisme de référence du pays. Le Basenji est également reconnu par le Canadian Kennel Club.
En France, les premiers spécimens arrivèrent dans les années 60, soit à la même époque que sa reconnaissance par la Fédération Cynologique Internationale (FCI), qui survint en 1964. La race y resta toutefois confidentielle jusque dans les années 80, avec chaque année moins d’une vingtaine d’individus enregistrés au Livre des Origines Français (LOF). Puis elle commença à progresser, atteignant les 50 naissances annuelles dans les années 90, et autour de 80 dans les premières années du 21ème siècle. La tendance se poursuivit dans les années 2010, au point d’approcher les 150 nouveaux enregistrements par an à la fin de la décennie.
On n’observe pas une telle progression en Grande-Bretagne, où le nombre d’individus inscrits chaque année auprès du Kennel Club demeure autour de la quarantaine.
Aux États-Unis, le Basenji connut un certain succès à la fin du 20e siècle, mais les difficultés qu’il pose, notamment au niveau de son éducation, font qu’il est à présent en recul. Il figure ainsi un peu au-dessus de la 90ème place dans le classement des races établi en fonction du nombre d’enregistrements annuels auprès de l’AKC.
Quoi qu’il se montre affectueux avec toute sa famille, le Basenji a tendance à former des liens plus forts avec une personne qu’avec les autres membres. Néanmoins, son dévouement fait que, malgré sa petite taille, il ne recule devant rien pour défendre les siens face à ce qu’il considère comme une menace. Il se montre d’ailleurs assez méfiant avec les étrangers.
Cela dit, bien qu’il soit attaché à sa famille, il n’est pas du tout exigeant en termes d’attention. C’est au contraire une race de chien très indépendante, qui n’a aucun mal à faire sa petite vie sans solliciter constamment ses maîtres. Cela ne signifie toutefois en aucun cas qu’il aime rester seul pendant de longues périodes : il ne saurait être question par exemple de le laisser seul à la maison en cas d’absence plusieurs jours d’affilée. En revanche, il est parfaitement capable de s’occuper pendant la journée lorsque son maître est au travail.
Très joueur (même s’il est inutile d’espérer lui faire rapporter quoi que ce soit), il s’entend bien avec les enfants d’un certain âge ayant appris comment se comporter avec un animal et le respecter, mais n’est pas recommandé avec les plus jeunes. En effet, il a spontanément tendance à se défendre vivement lorsqu’il est surpris, ce qui peut être la source d’incidents si un enfant décide de le réveiller ou de s’approcher de lui par-derrière. En tout état de cause, toutes les interactions entre un chien et un jeune enfant doivent se faire sous la surveillance d’un adulte, quand bien même les deux protagonistes se connaissent parfaitement et sont très proches.
Le Basenji peut cohabiter avec des chats ou avec d’autres chiens s’il a grandi avec, mais mieux vaut qu’il soit le seul animal de la maison. En effet, face à ses congénères, il a tendance à vouloir s’imposer comme dominant, tandis que ses instincts de chasseur prennent le dessus dès qu’il voit un un chat, un rongeur ou encore un oiseau.
Extrêmement actif, le Terrier du Congo a besoin d'au moins une heure et demie d’activité par jour pour être bien dans ses pattes. Autant dire qu’il n’est pas fait pour une personne âgée et/ou très sédentaire. En revanche, il se fait un plaisir d’accompagner un maître sportif en promenade, faire du jogging ou encore du vélo : il s’agit d’ailleurs là d’excellents moyens pour lui de se dépenser et de passer du temps avec son maître. Il faut néanmoins toujours le tenir en laisse lors de ces sorties, car son instinct de chasse le pousse à poursuivre tous les petits animaux qu’il croise. En tout cas, s’il n’est pas en mesure de dépenser son énergie, il devient extrêmement destructeur, mâchouillant tout ce qu’il trouve dans la maison et creusant partout dans le jardin.
C’est d’ailleurs une caractéristique du Basenji à laquelle sa famille doit s’habituer : quand bien même il est suffisamment en mesure de se dépenser, il est curieux et aime mâchouiller tout ce qui lui passe sous la gueule. Il ne fait pas de différence entre son os à ronger et le portefeuille de son maître, si bien que son propriétaire apprend vite à tenir les objets de valeur hors de sa portée.
Néanmoins, sous réserve qu’il soit suffisamment sorti, il peut tout à fait vivre en appartement. L’idéal reste toutefois qu’il ait accès à un jardin (tant que cela n’implique pas que sa famille l’y délaisse), mais celui-ci doit être parfaitement clos. Cet as de l’évasion est en effet capable de sauter par-dessus les barrières, d’escalader un tas de bois ou encore de creuser sous un grillage. Même une clôture électrique pourrait ne pas suffire, car le choc ressenti ne pèserait pas bien lourd face à sa volonté.
Ces capacités peuvent surprendre lorsqu’on apprend que Stanley Coren, dans son livre de référence Intelligence of Dogs (1994), le place en avant-dernière position dans son classement des races de chien les plus intelligentes. En réalité, ses travaux reflètent surtout la capacité d’un chien à faire ce qu’on attend de lui. Or, en l’occurrence, le Basenji comprend bien plus qu’on ne pourrait le croire, mais choisit simplement de ne pas écouter les commandes. Tel un chat — auquel il est d’ailleurs parfois comparé —, il sait ce qu’on attend de lui, mais ne ressent aucun besoin d’exécuter ce qui lui a été demandé, aucun désir de plaire à ses maîtres. Il a survécu pendant des milliers d’années en Afrique grâce à sa faculté à penser et agir de manière indépendante, et ne semble guère disposé à y renoncer. Ainsi, même le plus expérimenté et malin des éducateurs peut ne pas réussir à obtenir ce qu’il veut d’un Basenji, qui est de fait une race de chien difficile à éduquer.
Il est aussi très curieux, et aime explorer tous les recoins de la maison. D’une certaine manière, le Basenji est un chien domestique qui a conservé une grande partie de son instinct sauvage : il explore son territoire, apprend à cohabiter avec ceux qui y vivent également, mais conserve son indépendance, au point que ce sont parfois eux qui doivent s’adapter à lui. En tout état de cause, essayer de passer en force ne pourrait qu’être contre-productif, car cela ne le fera pas changer d’un iota, mais aurait en revanche des chances de le rendre agressif.
Par ailleurs, ce chien n’aime pas du tout l’eau. La nage n’est pas une activité faite pour lui, et il évite soigneusement de sortir lorsqu’il pleut, ou de marcher dans les flaques.
Enfin, du fait de la forme inhabituelle de son larynx, le Basenji présente la particularité de ne pas aboyer. Il ne faut cependant pas croire que cela signifie qu’il est silencieux. En plus des habituels grognements et gémissements communs à tous les chiens, il émet une sorte de yodel (chant typique des Alpes germaniques), communément appelé « baroo ».
Comme tous les chiens, le Basenji a besoin d’être socialisé dès son plus jeune âge. Rencontrer de nombreuses personnes (amis, voisins, famille…) lui permet de s’habituer à voir des étrangers et de devenir un adulte sociable. Il en va de même avec les autres chiens : s’il en croise souvent dès ses premiers mois, les risques de bagarres entre chiens lors des promenades une fois adulte sont diminués.
Dans son livre Intelligence of Dogs (1994), Stanley Coren classe le Basenji à la 78ème place sur 79 dans son classement des races de chien par intelligence… Toutefois, ceci relève potentiellement d’une interprétation erronée : le Basenji comprend très bien ce que son maître attend de lui, mais n’est pas vraiment disposé à satisfaire ses demandes. De fait, il manifeste un désintérêt absolu pour tout ce qui a trait à son éducation.
Ainsi, ce chien extrêmement indépendant ne ressent aucun besoin de faire plaisir à son maître. Il comprend très certainement ce que signifie la commande « Assis », mais n’y voit pas forcément l’intérêt et choisit donc de ne pas écouter. Les méthodes basées sur le renforcement positif donnent quelques résultats, une friandise pouvant être une motivation suffisante, mais même les maîtres les plus expérimentés ont du mal à se faire écouter. Un novice a quant à lui de grandes chances d’être rapidement frustré en se voyant totalement ignoré malgré tous ses efforts, et de regretter son choix.
Au final, bien souvent, c’est le maître qui doit s’adapter à son chien. Par exemple, les personnes vivant avec un Terrier du Congo apprennent généralement rapidement à ne pas laisser d’objets de valeur à sa portée, pour éviter qu’ils ne finissent dévorés.
Bien que relativement robuste et jouissant d’une espérance de vie respectable (12 à 14 ans), le Basenji est sensible à différentes maladies plus ou moins graves :
La première cause de mortalité chez cette race n’en reste pas moins l’âge (30 % des cas), selon une enquête réalisée par le Kennel Club britannique et la British Small Animal Veterinary Association.
Par ailleurs, les problèmes de comportement, quand bien même ils ne sont généralement pas liés à une maladie mais résultent simplement d’une connaissance insuffisante des particularités et besoins de la race de la part du maître, font que de nombreux Basenjis sont euthanasiés chaque année.
Il convient pour finir de préciser que, à l’instar de ce qu’on constate chez d’autres chiens primitifs, les femelles Basenji n’entrent en chaleur qu’une fois par an. La majorité des portées naissent entre les mois d’octobre et décembre.
S’il est très difficile à éduquer, le Basenji est en revanche une race de chien facile d’entretien.
Un rapide brossage de sa fourrure courte une fois par semaine suffit pour éliminer les poils morts. Il mue toutefois deux fois par an, et il peut être utile de passer à une fréquence de deux ou trois par semaine au printemps, de manière à faire face à l’excès de poils morts. C’est nettement moins nécessaire en automne, car sa mue est alors bien moins marquée, et peut même passer inaperçue.
Par ailleurs, à l’instar des chats, ce chien fait lui-même sa toilette. Et comme il n’aime pas l’eau, il n’est pas du genre à revenir sali après avoir sauté dans les flaques ou s’être roulé dans la boue. Faire prendre un bain à son chien n’est donc que très rarement nécessaire.
Par contre, comme pour n’importe quel chien, il faut profiter de la séance de brossage pour vérifier et nettoyer ses yeux et ses oreilles, afin de réduire le risque d’infection.
C’est aussi l’occasion de brosser les dents de son chien, pour éviter la formation de tartre et tous les risques que cela implique. L'idéal est même de le faire encore plus souvent, voire tous les jours.
Enfin, l’usure naturelle suffit généralement à limiter les griffes de cet animal particulièrement actif. Toutefois, si ce n’est pas le cas et qu’elles commencent à être trop longues, il est nécessaire de le faire manuellement à l’aide d’un coupe-ongles pour chien, de manière à éviter qu’elles ne se cassent ou qu’il ne se blesse.
Le Basenji n’est pas difficile du tout en termes de nourriture. Toutefois, les chaussures, smartphones et autres magazines qu’il peut dévorer ne répondant pas vraiment à ses besoins nutritionnels, il est nécessaire de lui fournir quotidiennement des aliments industriels pour chiens. Ceux-ci doivent être de bonne qualité afin de lui apporter tous les nutriments dont il a besoin, mais aussi adaptés à son âge, sa taille et son niveau d’activité.
Etant très actif, le Basenji n’est que peu sujet aux problèmes d’obésité. Il est toutefois conseillé de le peser de temps à autre pour s’assurer qu’il ne développe pas d’embonpoint. Si cela vient à être le cas, diminuer sa ration quotidienne et augmenter son temps de sortie devrait résoudre le problème.
Par ailleurs, il doit comme tout chien avoir de l'eau fraîche disponible à tout moment.
Le Basenji a exercé pendant des siècles ses instincts de chasseur au service de l’Homme, et aujourd’hui encore il excelle à poursuivre toutes sortes d’animaux. Si en Europe et Amérique du Nord il n’est pas utilisé pour la chasse traditionnelle (dans laquelle il débusque et guide les proies vers un piège tendu par des humains), c’est en revanche toujours le cas en Afrique Centrale, d’où il est originaire.
En revanche, où qu’il soit, il pourchasse et élimine les petits animaux, qu’il s’agisse du chat du voisin, d’oiseaux ou de rongeurs. Si l'on ne souhaite pas que son jardin soit envahi par la vermine, cette race est alors un allié de choix.
Ses capacités physiques lui permettent aussi d’être un bon candidat pour les épreuves d’agility et de course au leurre, mais son côté têtu ne le destine pas aux concours d’obéissance.
Son port royal et sa superbe robe font qu’on le retrouve souvent dans les concours de beauté. Il est d’autant plus appréciable pour un maître souhaitant présenter son chien en exposition canine qu’il ne nécessite que peu de toilettage préparatoire.
En tant que chien de compagnie, le Basenji est idéal pour un maître sportif qui souhaite avoir un compagnon pour ses sorties, mais n’a aucunement l’ambition de lui apprendre de nombreux tours et/ou d’en faire un modèle de docilité.
C’est aussi un bon chien d’alerte qui ne manque jamais d’avertir sa famille de l’approche d’inconnus, mais sa petite taille en fait un piètre chien de garde, malgré un courage évident.
Le prix d’un chiot Basenji en France et en Belgique se situe généralement entre 1400 et 1900 euros, que ce soit pour un mâle ou une femelle.
Au Canada, un chiot Basenji coûte aux alentours de 2000 dollars canadiens.
Quel que soit l'endroit, le montant demandé dépend notamment de la lignée dont il est issu, du prestige de l'élevage, mais aussi de la plus ou moins grande conformité de l'individu au standard de la race.
Le personnage principal du livre Good Bye, My Lady (1954, James Street) ainsi que du film éponyme (1956, William Wellman) est un Basenji.
Petit chien têtu assez drôle et qui entame sa quatorzième année en pleine forme
ce chien viens de la province du kasaï-Oriental.
son nom vient du peuple Luba qui habite cette province.
Basenji qui veux dire en Tshiluba sans manière et non campagnard.
Basenji est le pluriel de Musenji.
chien sympa mais têtu, difficile à faire obéir mais avec la nourriture il obtempère car la gourmandise est son péché mignon il est fier et sait qu'il est beau car tout le monde le lui dit mais il s'entend bien avec mon berger belge et il faut savoir que les deux ont été trouvé.........et qu'ils ont le même âge
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