Chien d'Élan Suédois Blanc

Chien d'Élan Suédois Blanc

Autres noms : Elkhound Blanc de Suède
Nom d'origine : Svensk Vit Älghund
Pays d'origine : Suède

Qualités de cette race

Tempérament du Chien d'Élan Suédois Blanc

Affectueux
Calme
Facile à éduquer
Joueur
Peut rester seul
Protecteur
S'entend avec d'autres animaux
Sociable

Sociabilité du Chien d'Élan Suédois Blanc

Avec les enfants

Le Chien d'Élan Suédois Blanc au quotidien

A peu besoin d'exercice
Aboie peu
Santé robuste
Nécessite peu d'entretien
Perd peu de poils
Bave peu
Mange peu
Peu enclin à l'obésité

Foyer idéal pour ce chien

Avec des enfants
En appartement
Comme premier chien
Pour une personne peu disponible
Pour une personne sportive
Pour une personne âgée
Pour petit budget

Informations sur le Chien d'Élan Suédois Blanc

ApparenceHistoireCaractèreÉducationSantéEntretien
AlimentationUsagesPrix

Le Chien d’Élan Suédois Blanc présente de nombreuses similarités avec d’autres chiens de chasse scandinaves, et arbore notamment la tête lupoïde, les oreilles dressées et la queue recourbée caractéristiques des spitz.

 

Son corps rectangulaire est musclé et harmonieux, avec un aspect aussi puissant qu’agile. Les pattes, puissantes, sont faites pour courir sur de longues distances dans des terrains difficiles, plutôt que pour le sprint. La queue, touffue, forme une boucle lâche sur le dos.

 

Sa tête est triangulaire, avec un stop net sans être trop marqué. Le museau se termine par une truffe noire de préférence, bien que le marron ou le rose soient acceptés. Les yeux sont assez petits, de forme ovale, et d’une couleur marron la plus foncée possible. Les oreilles, pointues, sont parfaitement dressées sur le sommet du crâne.

 

Le pelage du Chien d’Élan Suédois Blanc est constitué d’un sous-poil doux et abondant, ainsi que d’un poil de couverture droit assez raide. Sa couleur de robe le distingue de nombre de ses congénères, puisqu’elle doit être d’un blanc aussi pur que possible. Toutefois, des nuances crème sont également acceptées.

 

Enfin, le dimorphisme sexuel est modérément marqué chez cette race : le mâle est un peu plus grand et massif que la femelle, sans que la différence soit énorme.

Standard du Chien d'Élan Suédois Blanc

Les standards de race sont des documents établis par les organismes officiels qui listent les conditions qu'un Chien d'Élan Suédois Blanc doit respecter pour être pleinement reconnu comme appartenant à la race :

L’histoire du Chien d’Élan Suédois Blanc est indissociable du Jämthund, parfois appelé Chien d’Élan Suédois Gris. Il y a 5000 ans, leurs ancêtres étaient déjà présents aux côtés du peuple sami dans les régions arctiques du nord de l’Europe.

 

Du 8ème au 11ème siècle, ils cohabitèrent avec les Vikings, prenant part à leurs explorations ou protégeant leurs fermes contre les attaques de loups ou d’ours. Pendant des siècles, ils se spécialisèrent dans la chasse, notamment celle du gros gibier.

 

Au début du 20ème siècle, la popularité grandissante en Suède du Chien d’Élan Norvégien menaça grandement la population de Jämthund, car ce dernier subit alors une certaine désaffection. C’est à cette époque, et plus précisément dans les années 30, qu’eut lieu un croisement entre un Jämthund et un Samoyède. Il n’existe aucune trace de ce croisement non autorisé, mais il est couramment accepté que c’est la raison pour laquelle des individus de couleur claire commencèrent à apparaître dans les portées de Jämthund à partir de cette période.

 

Dans les années 40, l’un de ces chiens de couleur blanche se distingua par ses qualités exceptionnelles pour la chasse. Nommé Ottsjö-Jim, ce mâle fut croisé avec de nombreuses femelles dans le but d’obtenir des petits aussi doués que lui pour chasser l’élan. De ce fait, bien que cela n’ait pas été l’objectif à la base, de nombreux Jämthunds blancs apparurent un peu partout en Suède.

 

En 1965, un couple de suédois basés à Roknäs, Torkel et Ulla Lundqvist, acquirent l'un d’entre eux et décidèrent de se lancer dans un programme d’élevage. Dans les années 70, ce qui avait démarré comme une petite activité familiale était devenu un élevage professionnel peinant à faire face à la demande.

 

A peine une décennie plus tard, dans les années 80, ce chien était déjà devenu bien connu des chasseurs et des amateurs de la gent canine. En 1986, certains d’entre eux s’associèrent pour fonder le premier club de race. Entre 1990 et 1993, ce dernier effectua un recensement dans le pays et identifia plus de 300 individus correspondant à certains critères en termes de pedigree et de caractéristiques physiques.

 

Ceci amena en 1993 le Svensk Kennel Klub (SKK), l’organisme canin de référence en Suède, à reconnaître le Chien d’Élan Suédois Blanc comme une race à part entière et lui donna officiellement son nom. Il fut suivi rapidement par les autres membres de la Nordic Kennel Union (NKK), qui regroupe les organismes nationaux des pays nordiques (Danemark, Finlande, Islande, Norvège et Suède).

 

Cependant, aucune autre organisation de référence, qu’elle soit d’envergure nationale ou internationale, n’a pour l’instant franchi le pas. Ainsi, le Chien d’Élan Suédois Blanc n’est par exemple reconnu ni par la Fédération Cynologique Internationale (FCI), ni par l’American Kennel Club (AKC), ni par le Kennel Club (KC) britannique, ni par le Club Canin canadien (CCC).

 

Même s’il est loin d’être répandu, le Chien d’Élan Suédois Blanc jouit d’une certaine popularité en Scandinavie, avec depuis les années 90 environ 150 naissances enregistrées en cumulé chaque année entre la Suède, la Finlande et la Norvège.

 

En revanche, il demeure pour le moment largement inconnu dans le reste du monde.

Le Chien d’Élan Suédois Blanc est loyal et dévoué à sa famille. Malgré un caractère indépendant qui fait qu’il n’a aucun souci à passer du temps seul, il est proche des siens et s’entend d’ailleurs particulièrement bien avec les enfants de la famille, aimant passer du temps en leur compagnie. Etant conscient de sa force, il ne se montre généralement pas violent lors des jeux, mais un accident peut quand même survenir à tout moment. Il ne saurait donc être laissé seul avec un tout-petit sans la présence d’un adulte responsable – cela vaut d’ailleurs pour tout chien, quelle que soit sa race.

 

Protecteur et territorial, il se montre très méfiant envers les inconnus, n’hésitant pas à leur faire savoir bruyamment qu’ils ne sont pas les bienvenus. S’il constate qu’ils sont invités par son maître et donc qu’il n’y a pas lieu de s’inquiéter, il les accepte alors sans broncher mais choisit généralement l’indifférence à leur égard, plutôt que la curiosité.

 

Il est capable de partager son foyer avec d’autres chiens de chasse nordiques, et la cohabitation se passe bien une fois qu’une hiérarchie est clairement établie entre eux. C’est généralement plus difficile avec d’autres races, même si les choses peuvent se dérouler sans anicroches dès lors qu’il a grandi avec.

 

En revanche, il ne saurait être question de le faire vivre avec des représentants d’autres espèce, car ses instincts de chasse sont profondément ancrés en lui. Même le chat de la maison, avec qui il partageait un coussin lorsqu’il était petit, risque un jour de réveiller son instinct de poursuite alors qu’il traverse le jardin sans s’inquiéter de rien, et les conséquences peuvent être dramatiques.

 

Par ailleurs, le Chien d’Élan Suédois Blanc a besoin de grands espaces où s’ébattre librement. Il n’est absolument pas adapté à la vie citadine ; son propriétaire doit disposer d’un jardin suffisamment grand pour qu’il puisse à tout moment aller y courir à sa guise. Il va sans dire que ce jardin doit être parfaitement clos pour qu’il ne pourchasse pas tous les animaux du voisinage, et que les passants ne prennent pas peur en s’approchant du territoire gardé par Croc-Blanc.

 

Avoir accès à tout moment à un vaste jardin ne saurait toutefois suffire à satisfaire le besoin d’exercice de ce chien. En effet, pour être équilibré, il doit être sorti au moins une heure tous les jours. Lorsqu’il évolue dans des endroits où il est probable qu’il croise d’autres personnes ou animaux de compagnie, la laisse est indispensable. En pleine nature, mieux vaut éviter, tant il adore courir librement et a besoin de pouvoir se dépenser. Il convient toutefois de l’équiper alors d’un collier GPS, afin d’éviter tout risque de le perdre au cas où il se lance à la poursuite d’un animal quelconque en faisant fi des ordres de rappel de son maître.

 

Enfin, comme tous les chiens de chasse scandinaves, le Svensk Vit Älghund a une voix puissante. S’il est suffisamment promené et ne s’ennuie pas, il ne devrait cependant pas la faire entendre trop souvent, à part lorsque des passants approchent ou qu’il a localisé du gibier.

Socialiser son Chien d’Élan Suédois dès les premières semaines est primordial pour lui permettre de s’habituer à son environnement et aux personnes et animaux qu’il peut être amené à croiser plus tard, d’autant plus qu’il est naturellement méfiant envers les humains. Il faut aussi lui offrir la possibilité d’être confronté à tous types de situations (voyage en voiture, promenade en milieu urbain ou semi-urbain…) et de stimuli (bruits, odeurs…) pour qu’il ne se sente pas perdu et inutilement anxieux s’ils doivent se présenter à nouveau au cours de son existence.

 

Apprendre à son chien à marcher en laisse et à obéir aux commandes de rappel sont deux choses qui doivent être entreprises rapidement, pour que les sorties soient toujours un moment de plaisir tant pour lui que pour son maître.

 

Intelligent mais indépendant, le Svensk Vit Älghund n’est pas le meilleur choix pour un maître n’ayant que peu d’expérience avec la gent canine, ou ayant du mal à s’affirmer comme maître auprès de son chien. En revanche, dès lors qu’il est entre les mains d’une personne expérimentée appliquant une méthode d’éducation canine basée sur le renforcement positif, il apprend rapidement.

 

En tout cas, la chasse est pour lui une chose instinctive, qui ne nécessite donc pas un enseignement particulier. Les choses sont un peu différentes pour le rôle de chien de garde : sa territorialité fait qu’il est naturel pour lui de défendre ce dont il a la charge, mais il faut lui apprendre les subtilités et limites à respecter.

Le Chien d’Élan Suédois Blanc est robuste et n’est que peu susceptible d’avoir des problèmes de santé.

 

Son pelage double et dense le protège efficacement du froid, si bien qu’il ne craint pas les hivers rigoureux. Il est en revanche nettement moins à l’aise quand les chaleurs de l’été se font sentir, et doit pouvoir alors se reposer dans un endroit ombragé, voire climatisé en cas de canicule. En tout état de cause, ce n’est pas un chien fait pour vivre dans une région au climat méditerranéen.

 

Par ailleurs, sa santé de fer ne l’immunise pas contre toutes les maladies, et certaines sont plus susceptibles que d’autres de l’affecter :

  • la dysplasie de la hanche, courante chez les grandes races de chien, est une malformation articulaire qui peut être caractérisée par une prédisposition génétique. Selon sa gravité, elle peut entraîner de plus ou moins grands problèmes de locomotion ;
  • la dysplasie du coude, dont les causes et les conséquences sont assez similaires à celle de la hanche, même s’il s’agit de deux maladies bien distinctes et nullement liées l’une à l’autre ;
  • les allergies, surtout cutanées, qui peuvent être dues à la nourriture, des parasites ou des champignons. Elles peuvent causer des rougeurs et démangeaisons, et nécessitent parfois un traitement, si elles ne disparaissent pas d’elles-mêmes dès lors que cesse l’exposition à l’allergène.

 

Cela dit, du fait que le Chien d’Élan Suédois Blanc passe une bonne partie de son temps en extérieur et à courir en pleine nature, la plupart de ses problèmes de santé sont en fait liés à ce mode de vie. Il n’est pas à l’abri d’une fracture à la suite d'une mauvaise chute, mais ce sont surtout les éraflures, coupures, épillets et parasites qui sont le plus fréquents. Pour éviter qu’un problème bénin ne devienne un souci majeur faute d’être traité, il est important de prendre l’habitude de l’examiner minutieusement après chaque long moment passé dehors, et bien entendu de renouveler ses traitements antiparasites chaque fois que cela est nécessaire.

 

Au moment d’adopter un Chien d'Élan Suédois Blanc, le meilleur moyen d’obtenir un chiot en parfaite santé est de se tourner vers un éleveur sérieux et reconnu. Il doit non seulement présenter un certificat établi par un vétérinaire ainsi qu’un carnet de santé dans lequel sont consignés les différents vaccins administrés, mais également les résultats des tests génétiques réalisés sur les parents ou le petit chiot concernant les maladies pouvant avoir une dimension héréditaire.

 

Par ailleurs, comme pour toute race, il est nécessaire de limiter l’activité physique du chiot pendant sa phase de croissance rapide, qui correspond environ à ses 18 premiers mois. Des efforts répétés sur ses articulations encore fragiles risqueraient de causer des dommages irréversibles ; il faut donc veiller à lui éviter des efforts trop importants, tant en termes d’intensité que de durée.

 

Enfin, quel que soit son âge, il est nécessaire d’emmener son chien chez le vétérinaire au moins une fois par an, et ce même s’il semble en pleine forme. Cela permet au professionnel d’effectuer un bilan de santé complet, qui dans certains cas conduit à déceler des maladies à un stade très précoce. Le cas échéant, cela permet de les prendre en charge de la meilleure manière possible, et parfois avant qu’il ne soit trop tard. Cette visite est aussi l’occasion d’effectuer les rappels de vaccins du chien, afin qu’il ne cesse jamais d’être protégé.

L’entretien de la belle fourrure blanche du Chien d’Élan Suédois Blanc est assez chronophage, parce qu’elle est dense et qu’il perd constamment ses poils. Il est nécessaire de la brosser deux ou trois fois par semaine pour éliminer la saleté et éviter les nœuds. Deux fois par an, au printemps et à l’automne, il mue abondamment, et le brossage doit alors devenir quotidien, sous peine d’être envahi de poils morts.

 

Cela dit, dès lors que l’entretien de son pelage est effectué rigoureusement, ce chien reste propre et sans odeur, et n’a donc pas besoin d’être baigné souvent. A moins bien sûr qu’il ne se soit particulièrement sali, il n’est pas nécessaire de le faire plus de 2 ou 3 par an, en prenant soin d’utiliser systématiquement un shampooing doux spécialement conçu pour la gent canine. Il peut paraître tentant de lui faire prendre des bains plus souvent, afin que sa belle fourrure blanche brille de mille feux, mais c’est une fausse bonne idée, car ceci risquerait d’abîmer sa peau.

 

Par ailleurs, ses oreilles doivent être nettoyées une fois par semaine avec un tissu propre, pour enlever les saletés accumulées à l’intérieur.

 

Il faut en profiter pour examiner également ses yeux et les frotter doucement à l’aide d’un chiffon humide : ceci permet de diminuer drastiquement les risques d’infections oculaires.

 

Le brossage des dents du chien est lui aussi impératif pour une bonne santé bucco-dentaire, et doit être effectué à l’aide d’un dentifrice destiné aux chiens. L’idéal est de s’en occuper chaque jour, mais une fois par semaine est déjà bien.

 

Ses griffes nécessitent beaucoup moins de suivi. En effet, comme il passe généralement le plus clair de son temps au dehors et court beaucoup, l’usure naturelle suffit normalement à les limer, si bien qu’il n’est guère nécessaire de les couper manuellement. Il est bon toutefois de s’assurer tous les mois que c’est effectivement le cas et qu’elles ne sont ni trop longues, ni abîmées, ce qui pourrait lui causer des problèmes.

 

Enfin, afin de bien maîtriser les gestes pour prendre soin du pelage, des oreilles, des yeux, des dents et des griffes de son compagnon, il est très utile de les apprendre auprès d’un vétérinaire ou d’un toiletteur canin professionnel la première fois. Cela permet non seulement d’obtenir de meilleurs résultats, mais aussi d’éviter de lui faire mal voire le blesser. En tout état de cause, il n’y a aucune raison d’attendre : plus le chien est habitué tôt à ces différentes manipulations, plus il les accepte facilement tout au long de sa vie.

Peu difficile, le Chien d’Élan Suédois Blanc peut parfaitement être nourri avec des aliments industriels pour chien. Toutefois, étant donné qu’il est prédisposé à certaines allergies, notamment alimentaires, il peut être nécessaire d’essayer plusieurs produits avant de trouver celui qui lui convient le mieux.

 

Quoi qu’il en soit, son alimentation doit lui apporter tous les nutriments, vitamines et minéraux nécessaires pour être en bonne santé. Pour ce faire, tant les produits choisis que les quantités qui en sont données doivent être adaptés à son âge, sa taille et son niveau d’activité.

 

Ce dernier pouvant être particulièrement élevé lors de certaines périodes, par exemple s’il est utilisé dans le cadre de la chasse, il est alors important d’ajuster ses rations à la hausse, afin qu’elles soient pleinement en mesure de subvenir à ses besoins. Il faut toutefois bien veiller à revenir aux quantités habituelles par la suite, afin d’éviter tout problème d’obésité.

 

Elle n’est pas chose courante chez ce grand actif, mais nul individu n’est à l’abri – a fortiori s’il a été stérilisé. Il est donc nécessaire de surveiller l’évolution de son poids en le pesant une fois par mois. Une augmentation injustifiée qui se confirme voire s’accentue lors des mesures suivantes est un signal à ne pas négliger, et il faut alors consulter un vétérinaire. Il sera à même d’identifier la cause (maladie, réaction à un médicament, choix d’aliments inadapté, rations trop conséquentes…) et d’indiquer comment remédier au problème.

 

Enfin, comme tous ses congénères, le Chien d’Élan Suédois Blanc doit pouvoir se désaltérer à tout moment. Il doit donc disposer en permanence d’une gamelle d’eau fraîche.

Depuis son apparition au milieu du 20ème siècle, le Chien d’Élan Suédois Blanc est principalement utilisé pour la chasse au grand gibier. Comme son cousin de couleur plus sombre, le Chien d’Élan Suédois Gris (ou Jämthund), sa technique consiste à poursuivre la proie, l’acculer, et signaler sa position au chasseur grâce à ses aboiements. Il s’en sort généralement fort bien seul, mais peut aussi apprendre à travailler en meute.

 

Les chasseurs amateurs du Svensk Vit Älghund jurent qu’il est le plus efficace de toutes les races de chiens de chasse de Scandinavie, et qu’il est capable d’hypnotiser les élans grâce à sa couleur. Si cette affirmation peut laisser circonspect, il n’en reste pas moins indéniable qu’il excelle dans l’art de la chasse.

 

C’est aussi un formidable chien de garde, qui ne manque jamais de signaler la présence d’inconnus par des aboiements et n’hésite pas à adopter une attitude menaçante, tous crocs dehors, pour leur faire comprendre qu’ils feraient mieux de ne pas entrer sans autorisation. Cela dit, il s’agit là avant tout d’intimidation, car dans le fond il n’est pas agressif.

 

Au-delà de ces rôles utilitaires, il fait aussi tout simplement un merveilleux compagnon pour un maître expérimenté vivant à la campagne, suffisamment disponible et actif pour satisfaire son important besoin d’exercice.

Le prix d’un Chien d’Élan Suédois Blanc se situe généralement autour de 10 000 couronnes suédoises (environ 1000 euros, ou 1500 dollars canadiens). Le prix varie d’un individu à l’autre en fonction de la renommée de l’élevage et/ou de la lignée dont il est issu, mais aussi de ses caractéristiques intrinsèques – et en particulier son physique plus ou moins proche du standard de la race.

 

Cette race est toutefois extrêmement rare en dehors de la Suède, de la Finlande et de la Norvège, où se concentrent la quasi-totalité de la population et des éleveurs. Pour adopter un Chien d’Élan Suédois Blanc, il n’y a donc généralement pas vraiment d’autre option que d’opter pour une importation depuis l’un de ces pays.

 

Des frais administratifs et de transport viennent alors s’ajouter au prix d’achat pour déterminer le coût total de l’adoption. En outre, il convient de vérifier la législation concernant l’importation d’un chien depuis l’étranger, afin de s’assurer de faire les choses dans le respect de la loi.

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