Apprendre à un chien à rester seul : méthode et conseils

Un Chihuahua regarde par la fenêtre avec un air triste

Comme le dit un célèbre adage, le chien est le meilleur ami de l'Homme. Il faut dire que les deux espèces cohabitent depuis des dizaines de milliers d'années, et ont établi progressivement un lien très fort. De nos jours, beaucoup de propriétaires considèrent leur compagnon canin comme un membre à part entière de leur famille - et à l'inverse, il voit cette dernière comme la meute à laquelle il appartient.


Le revers de la médaille est qu'un chien a souvent du mal à rester seul longtemps, en tout cas s'il n'y a jamais été habitué. Il est donc utile de l'habituer à supporter la solitude, afin que les absences de ses propriétaires ne soient pas anxiogènes pour lui.


Voici donc quelques conseils pour apprendre efficacement à son chien à rester seul, ainsi que la façon de gérer au mieux ses absences pour éviter qu'il se mette alors dans tous ses états.

Pourquoi un chien a-t-il du mal à rester seul ?

Un Shiba Inu triste regarde par la fenêtre

Comme les humains, les chiens sont des êtres sociaux : ils ont besoin de compagnie au quotidien pour assurer leur bien-être psychologique - et même leur survie lorsqu'ils vivent à l'état sauvage.

 

Cela commence dès la naissance, puisque normalement un chiot grandit aux côtés de sa mère ainsi que de ses éventuels frères et soeurs. Il développe d'ailleurs un attachement vis-à-vis d'elle : c'est ce qui explique qu'il ne s'éloigne jamais beaucoup d'elle, la suit lorsqu'il en a l'occasion, et même imite ses comportements.

 

Vers l'âge de deux mois, lorsque son sevrage commence, sa mère prend de plus en plus ses distances avec lui pour lui apprendre à moins dépendre d'elle : c'est ce que l'on appelle le détachement. Il s'agit d'une étape cruciale pour qu'il devienne autonome. Or, s'il est retiré trop tôt à sa mère, avant qu'elle n'ait eu le temps de finir cet enseignement, il risque ensuite d'avoir des difficultés à rester seul longtemps - voire même pendant une courte durée.

 

Cela étant, même lorsque cet apprentissage a été correctement réalisé, un chien peut tout de même ressentir de la solitude et en souffrir. Cela se produit généralement dans deux grands cas de figure :

  • il a toujours été habitué à avoir de la compagnie jusque-là, et n'a finalement jamais appris à être seul ;
  • il a subi un traumatisme par le passé (par exemple un abandon ou le décès brutal de son maître) et croit donc être à nouveau abandonné chaque fois que sa famille s'absente.

 

Naturellement, tous les individus n'ont pas le même besoin de compagnie ni la même facilité à gérer le fait d'être livré à eux-mêmes. Ainsi, les représentants de certaines races sont habitués depuis longtemps à passer beaucoup de temps avec leurs humains, soit pour la compagnie (comme le Shih Tzu), soit pour le travail (par exemple le Cocker Anglais) : ils sont de ce fait davantage enclins à souffrir de la solitude. À l'inverse, ceux appartenant à des races utilisées pour des tâches impliquant d'être éloignés de leur propriétaire (en particulier la garde de troupeau) ont plus de facilité à rester seuls.

Pourquoi apprendre à un chien à rester seul ?

Deux chiens aboient comme des fous à la fenêtre

Lorsqu'un chien a du mal à supporter la solitude, la première conséquence est qu'il ressent un stress plus ou moins important lorsqu'il se retrouve seul. Si l'on tient au bien-être de son animal, ce n'est évidemment pas quelque chose que l'on souhaite pour lui. Cet aspect est d'autant moins à prendre à la légère que si les absences sont vraiment longues et/ou fréquentes, cela peut même à terme finir par engendrer une véritable dépression.

  

En outre, un chien qui souffre de se retrouver seul a tendance à développer des troubles du comportement plus ou moins gênants. Le plus souvent, ce sont des pleurs et/ou des aboiements intempestifs, généralement à côté de la porte d'entrée ou à une fenêtre. Néanmoins, d'autres types de manifestations sont également possibles : destructions (griffer ou mordre des meubles, déchirer des documents ou des livres, déchiqueter des coussins ou des pantoufles...), malpropreté, agitation plus ou moins marquée, perte d'appétit, tentatives de fugue... Contrairement à ce que l'on croit parfois à tort, ces comportements ne sont en aucun cas des vengeances, mais des expressions de son mal-être.

 

Tout ceci explique que si l'on a l'impression que son chien ne supporte pas de rester seul, il est important d'agir : non seulement il est peu probable que le problème se résolve de lui-même, mais en plus ce n'est agréable ni pour lui ni pour son entourage. Il faut donc lui apprendre la solitude - et comme souvent, le plus tôt est le mieux.

À quel âge apprendre à son chien la solitude ?

Un chiot attend devant la fenêtre

Un chien est nettement plus malléable lorsqu'il est encore jeune. Au contraire, plus on laisse une mauvaise habitude s'installer, plus il est difficile de corriger le tir et de revenir dessus.

 

Pour cette raison, le mieux est de commencer à l'habituer à supporter la solitude dès son arrivée dans le foyer, c'est-à-dire vers l'âge de deux ou trois mois dans la majeure partie des cas. De cette façon, il considère plus facilement les départs de ses maîtres comme étant naturels, et est d'autant moins enclin à se mettre alors dans tous ses états.

 

Cela dit, quel que soit le domaine, un chien est capable d'apprendre à tout âge : simplement, c'est souvent plus long et plus fastidieux dès lors qu'il n'est plus tout jeune. Par conséquent, s'il n'a jamais appris à rester seul ou s'il a perdu cette capacité (par exemple du fait d'un traumatisme), il est possible de l'habituer ou le réhabituer même s'il est déjà adulte.

L'importance de ne pas adopter un chiot avant trois mois

Un chiot Jack Russell avec un air triste

Dans de nombreux pays, l'âge pour adopter un chiot est fixé par la loi à deux mois minimum - plus exactement huit semaines. C'est le cas notamment en France, en Belgique et au Québec. En effet, à cet âge-là, il connaît déjà les bases du comportement canin et est suffisamment mature pour commencer une nouvelle vie dans un nouveau foyer.

 

Toutefois, il n'a alors généralement pas fini d'apprendre à se détacher de sa mère, car ce processus ne commence habituellement que vers deux mois et se finit vers deux mois et demi à trois mois. Le cas échéant, il a de grandes chances de mal vivre le fait d'être brusquement séparé d'elle, et de compenser cette détresse en s'attachant trop fortement à son nouveau maître - avec le risque par la suite d'être très mal lors des absences de ce dernier.

 

Pour cette raison, même lorsqu'il est possible de le faire plus tôt, il est conseillé d'attendre l'âge de trois mois pour adopter un chiot, afin d'avoir l'assurance qu'il a eu le temps de se détacher de sa mère. Certains éleveurs refusent d'ailleurs de céder leurs petits avant cet âge-là, justement pour éviter cet écueil.

Article détaillé : À quel âge adopter un chiot ?

Comment apprendre à un chien à rester seul ?

Qu'il soit jeune ou déjà adulte, habituer son chien à rester seul n'est pas forcément très compliqué dès lors que l'on sait comment s'y prendre. L'essentiel est de faire en sorte qu'il ne soit pas systématiquement au centre de toutes les attentions et de ne pas céder à toutes ses sollicitations.

Ne pas lui consacrer trop d'attention

Un jeune chien s'ennuie allongé sur un lit

Dans les semaines qui suivent l'arrivée à la maison d'un chien qu'on vient d'adopter, il est naturel d'être aux petits soins pour lui et de lui consacrer beaucoup d'attention. C'est d'autant plus vrai qu'il risque d'être un peu perdu au début : on est donc tenté de rester le plus possible auprès de lui, au moins les premiers temps. Ce n'est pourtant pas l'idéal : en effet, s'il bénéficie constamment de l'attention de son maître, une absence de ce dernier a d'autant plus de chances de laisser un vide et d'être anxiogène pour lui.

 

Par conséquent, il est vivement conseillé de l'habituer sans attendre à des absences de plus en plus longues et fréquentes. On peut par exemple commencer par le laisser seul dans une pièce quelques minutes (de préférence pendant qu'il est en train de jouer, pour qu'il ait l'esprit occupé). Il faut toutefois veiller à ne se montrer à nouveau qu'à un moment où il est calme : si on le fait alors qu'il pleure ou aboie, il risquerait de penser que cette attitude lui permet d'obtenir ce qu'il souhaite (en l'occurrence, ne plus être seul), et donc d'être tenté de recommencer.

 

Il ne reste plus qu'à augmenter peu à peu la durée des absences en fonction de ses progrès, pour passer de quelques minutes à plusieurs heures. Normalement, cela devrait prendre une poignée de semaines - un peu plus s'il est déjà adulte.

Ne pas répondre à toutes ses sollicitations

Un chiot joue avec une corde dans le salon

Même si bien sûr tout dépend de son caractère, un chien a tôt fait de se montrer assez demandeur d'attention et/ou d'activités - en particulier s'il est jeune et intrépide.

 

Il est tentant de lui répondre favorablement chaque fois qu'on en en mesure de le faire, mais ce n'est pas la bonne façon d'agir. En effet, il est important de faire comprendre à son chien qui est le maître dans la famille, et donc notamment que ce n'est pas à lui de décider de la nature des interactions ni d'à quel moment elles interviennent. Ainsi, il convient de l'ignorer lorsqu'il quémande (sans pour autant se montrer brusque, bien sûr), quitte à lui proposer soi-même l'activité en question 10 ou 20 minutes plus tard.

 

Par ailleurs, il arrive qu'un chien ait tendance à avoir une personne de prédilection dans le foyer - souvent celle qui s'occupe le plus de lui. Il se tourne alors généralement vers elle en priorité, au détriment des autres. Néanmoins, il ne faut pas le laisser monopoliser un seul membre de la famille : il risquerait de développer un attachement trop fort à son égard. Le mieux est donc que chacun d'entre eux s'occupe de lui à tour de rôle, quitte à se spécialiser sur une tâche bien précise : le repas, le brossage, la promenade, les jeux...

Comment éviter que mon chien vive mal mes absences ?

Lorsqu'on s'apprête à s'absenter pendant une bonne partie de la journée (par exemple pour le travail), il convient de prendre quelques mesures pour éviter que le chien ne se sente seul, et donc l'aider à gérer cette situation.

 

C'est d'autant plus important s'il ne supporte pas encore très bien la solitude, mais cela vaut globalement dans tous les chiens - a fortiori en cas d'absence plus longue que d'habitude.

Lui prévoir un coin rassurant

Un Border Collie assis dans sa niche dans le jardin

Pour qu'un chien se sente bien (qu'il soit seul ou non, d'ailleurs), il est crucial qu'il dispose d'un endroit bien à lui, dans lequel il peut se reposer en toute sérénité quand il en ressent le besoin. Un panier est la solution la plus courante, mais il est possible aussi d'opter par exemple pour une corbeille ou un fauteuil. En parallèle, investir dans un abri de jardin ou une niche peut s'avérer judicieux s'il a accès librement à l'extérieur.

 

S'il doit rester seul pendant un certain temps, on a intérêt à rendre cet endroit encore plus rassurant pour lui, afin de l'aider à mieux gérer son inquiétude. Pour cela, le plus simple est de glisser dans son couchage un vêtement imprégné de l'odeur d'une personne qu'il apprécie. Une autre option intéressante est de vaporiser dessus des phéromones d'apaisement, et il est tout à fait possible de cumuler les deux.

 

Enfin, s'il a un peu de mal à supporter d'être seul, on peut laisser tourner un bruit en fond, afin que le logement paraisse moins vide : la radio, la télévision, de la musique douce...

Lui faire faire de l'exercice en amont

Une femme marche dans un parc à côté de son chien

Tout chien a besoin d'une certaine dose d'exercice chaque jour pour se sentir bien dans sa tête et dans ses pattes. Si l'on prévoit de s'absenter pendant une durée assez longue (par exemple plusieurs heures), il est judicieux de permettre à son animal de se dépenser avant - ce qui n'empêche pas de prévoir aussi éventuellement une autre séance à son retour.

 

En effet, cela lui permet non seulement d'être plus détendu, mais aussi d'être plus fatigué. De cette façon, il a davantage de chances d'avoir envie de se reposer pendant qu'il se retrouve seul, et donc d'être alors à la fois moins stressé et moins agité.

 

Il est à noter qu'il n'est pas forcément nécessaire que l'activité en question soit particulièrement éprouvante : tout dépend de son besoin d'exercice. S'il est peu sportif, une simple promenade devrait normalement suffire. En revanche, un chien très énergique doit bien sûr se dépenser davantage pour obtenir le même résultat.

Lui laisser de quoi s'occuper

Un Corgi dans son panier avec tous ses jouets

En général, un chien passe une grande partie de son temps seul à dormir - a fortiori s'il vient de faire une activité physique. Toutefois, si l'on doit s'absenter longtemps, il risque tout de même de trouver le temps long. Par conséquent, il est alors conseillé de lui laisser des jouets susceptibles de lui plaire et de le distraire : une balle, une corde, un os à mâcher, un doudou, un jeu d'intelligence... Ainsi, il a plus de chances d'oublier au moins un temps l'absence de son maître.

 

Néanmoins, ce n'est pas parce qu'on lui laisse de quoi s'occuper qu'il ne sera pas tenté de se tourner vers d'autres objets du domicile. Par conséquent, il faut en parallèle veiller à mettre hors de sa portée tous les objets précieux et/ou dangereux de la maison - a fortiori s'il a tendance à se montrer destructeur lorsqu'il est seul.

 

Si lui laisser de quoi s'occuper seul ne suffit manifestement pas, mieux vaut demander à une personne de lui tenir compagnie et le distraire au moins une partie du temps : il peut s'agir d'un voisin, d'un ami, d'un membre de la famille, d'un dog-sitter... Normalement, c'est surtout utile au début lorsqu'il gère encore mal la solitude, ou en cas d'absence inhabituellement longue.

Ne pas dramatiser le départ

Un Dalmatien avec un air triste allongé sur un lit

Il est courant qu'un chien ait tendance à se montrer vocal lorsqu'il comprend que son propriétaire s'apprête à s'absenter. C'est particulièrement vrai les premiers temps, tant qu'il n'est pas encore bien habitué à la solitude.

 

Pour éviter ce comportement, le mieux est d'ignorer son animal quelques dizaines de minutes avant le départ, afin de ne pas dramatiser l'instant de la séparation. Partir en douce, en évitant de se préparer devant lui et sans câlin d'au revoir, aide aussi à ce que les choses soient plus faciles. De fait, si les préparatifs (maquillage, habillage...) ont tendance à l'inquiéter, il est fortement conseillé de le faire hors de sa vue.

 

Cela ne suffit toutefois pas toujours. S'il se montre bruyant lorsqu'on s'apprête à partir, le mieux est d'attendre qu'il se calme avant de sortir - sous réserve bien sûr que cela soit possible. Une fois qu'il s'est un peu calmé, il est conseillé de le caresser voire de lui donner une petite friandise : cela l'incite à se montrer moins bruyant à l'avenir, et l'aide même à voir le départ comme un évènement positif pour lui. Il ne reste plus alors qu'à quitter le domicile sans le saluer ni le caresser.

 

En revanche, s'il ne semble pas vouloir se calmer ou s'il se met à pleurer une fois qu'on est déjà dehors, il ne faut surtout pas faire demi-tour, même si la tentation est forte. En effet, ce serait le meilleur moyen de l'inciter à recommencer, car il comprendrait alors que ce comportement lui permet d'obtenir ce qu'il souhaite.

Ne pas fêter le retour

Un chien lèche sa maîtresse devant la porte

Comme pour le départ, il est important de faire en sorte que le retour à la maison soit un moment le plus neutre possible, afin qu'il soit perçu par le chien comme un non-évènement.

 

Le mieux pour cela est de le saluer de manière sommaire dans un premier temps, en refusant ses éventuels assauts de joie et en ignorant ses aboiements et sollicitations. Ensuite, il convient d'attendre un peu avant de véritablement s'intéresser à lui : on peut par exemple commencer par ranger ses affaires et s'installer convenablement dans le domicile, avant de lui montrer des signes d'attention et d'affection.

Ne pas le gronder s'il a fait des bêtises

Un homme en train de gronder son Labrador devant la porte

Si durant une absence un chien a fait des bêtises, il ne faut surtout pas le gronder ou le punir, même si les dégâts sont importants.

 

En effet, il ne comprendrait pas ce qui lui est reproché : contrairement à un humain, un représentant de la gent canine n'a pas la capacité à faire le lien entre deux évènements espacés dans le temps (en l'occurrence, les dégâts et la punition). Ainsi, même s'il semble prendre un air honteux ou coupable, il ne s'agit en réalité que d'un acte de soumission devant l'air fâché de son maître, et non d'une preuve qu'il a compris pourquoi ce dernier est contrarié.

 

Au demeurant, si la situation se reproduit régulièrement, il pourrait même finir par associer le retour de son maître au fait d'être grondé ou puni, ce qui ne manquerait pas d'être pour lui source de confusion. Mieux vaut donc adopter une attitude plus positive, en ne cherchant pas tout de suite d'éventuelles bêtises qu'il aurait commises pour ne pas risquer de se mettre en colère devant lui. S'il n'est pas possible d'ignorer les dégâts, il convient alors de les nettoyer en tâchant de rester le plus neutre et calme possible. L'idéal est toutefois de le faire hors de sa vue, au risque qu'il voie cela comme un jeu.

Conclusion

Comme un humain, un chien est un être social et a souvent du mal à rester seul longtemps. De fait, cette situation a tôt fait de lui causer un véritable mal-être, surtout s'il n'y est pas habitué. Il est donc important de ne pas attendre pour apprendre à son animal à gérer son sentiment de solitude, tout en faisant le nécessaire de son côté pour que les choses se passent au mieux - notamment veiller à ce qu'il ait de quoi s'occuper, et faire en sorte que les départs ainsi que les retours soient aussi neutres que possible.

 

Cela étant, l'apprentissage du détachement et de la solitude ne doit pas faire oublier qu'un chien a besoin d'attention et de compagnie au quotidien : le fait qu'il supporte bien de rester seul ne doit pas justifier de multiplier les absences à l'excès. Après tout, adopter un chien est un véritable engagement : si l'on n'est pas certain d'avoir suffisamment de temps et/ou d'énergie pour s'en occuper convenablement, mieux vaut probablement renoncer à ce projet.

 

Par ailleurs, ce n'est pas parce qu'il supporte bien la solitude qu'il est approprié de le laisser seul pendant une durée trop longue. Si l'on doit s'absenter plusieurs jours d'affilée, il convient de trouver une solution pour faire garder son chien pendant ce temps : pension canine, dog-sitter...

Par Aurélia A. - Dernière modification : 09/23/2025.

Commentaires sur cet article

C'est souvent presque aussi difficile pour le maître que pour le chien ! Il est plus facile d'adopter un chien au printemps ou en automne que l'hiver.
Pour rendre le moment moins difficile, laissons de quoi s'occuper : objet à mordre, jouets ...

   
Par CocciNim

j'adore vos conseil merci pour votre aide

+1    0
Par amira

merci pour votre article mon petit chiot de 2 mois me suis partout et je ne savais comment réagir.c'est un amour mais trop c'est trop il fini par m'user.j'ai le sentiment que sans moi il est perdu

+1    0
Par gaelle
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