En 1980, Henri Dès crée cette chanson au sujet d’un adorable chien qui, malheureusement pour lui, est très sale. C’est d’ailleurs presque parfois à se demander s’il ne parle pas plutôt d’un cochon. Cependant, cette comptine est d’autant plus touchante qu’Henri Dès est accompagné d’enfants au chant. Elle l’est aussi quand on découvre que, malgré son hygiène et son comportement qui laisse à désirer, il l’aime quand même, son chien.
J'ai un chien gentil mais sale
Qui a des poils mouillés partout
(J'ai un chien gentil mais sale)
(Qui a des poils mouillés partout)
Qui a des poils mouillés partout
Et c'est pas tout
Quand il mange dans son assiette
Il s'en met plein le menton
(Quand il mange dans son assiette)
(Il s'en met plein le menton)
Il s'en met plein le menton
Comme un cochon
Mais je l'aime quand même, je l'aime
(Mais je l'aime quand même, je l'aime)
Quand je le promène au lac
Il patauge dans la boue
(Quand je le promène au lac)
(Il patauge dans la boue)
Il patauge dans la boue
Et c'est pas tout
Il va renifler les crottes
Et ça ne sent pas très bon
(Il va renifler les crottes)
(Et ça ne sent pas très bon)
Et ça ne sent pas très bon
Comme un cochon
Mais je l'aime quand même, je l'aime
(Mais je l'aime quand même, je l'aime )
Quand il boit dans sa gamelle
Ça dégouline partout
(Quand il boit dans sa gamelle)
(Ça dégouline partout)
Ça dégouline partout
Et c'est pas tout
Il en met plein la moquette
De la cuisine au salon
(Il en met plein la moquette)
(De la cuisine au salon)
De la cuisine au salon
Comme un cochon
Mais je l'aime quand même, je l'aime
(Mais je l'aime quand même, je l'aime)
Quand il vient me faire la fête
Il me lèche dans le cou
(Quand il vient me faire la fête)
(Il me lèche dans le cou)
Il me lèche dans le cou
Et c'est pas tout
Il bave sur ma chemise
Et puis sur mon pantalon
(Il bave sur ma chemise)
(Et puis sur mon pantalon)
Et puis sur mon pantalon
Comme un cochon
Mais je l'aime quand même, je l'aime
(Mais je l'aime quand même, je l'aime)