La communication entre le chien et l'Homme

La communication entre le chien et l'Homme

Du fait de la domestication du chien par l'Homme, le chien doit apprendre à identifier les particularités de l'organisation sociétale et des codes de communication propres à l'espèce humaine : c’est la socialisation interspécifique. L'Homme, lui aussi, doit connaître et comprendre comment communiquent les chiens entre eux pour adapter son comportement vis-à-vis de ce qu'il perçoit.


Il est donc nécessaire de comprendre et maîtriser la communication interspécifique entre l'Homme et le chien, car cette communication joue un rôle essentiel dans la relation entre eux.

Le chien comprend-il le langage verbal ?

Le chien comprend-il le langage verbal ?

Du fait de sa position au sein de la société des hommes, le chien domestique est baigné dans le langage humain. Pour autant, seul l'être humain possède les aires cérébrales nécessaires permettant de parler et comprendre le langage qu'il a mis en place.

 

La plupart des propriétaires de chiens n'arrivent pas à se mettre à la portée de leur animal. Ils croient qu'il est capable de comprendre leurs phrases, et n'hésitent pas à utiliser de nombreux mots pour dire une seule et même chose. Or, même les chiens les plus intelligents ne sont pas aptes à comprendre le langage humain, même s'ils sont capables d'enregistrer jusqu'à 300 mots.

 

En réponse à cette non-compréhension, le maître se sent légitimement autorisé à sévir. Cependant, ce "manque de respect" du point de vue du propriétaire est en réalité un "manque de compréhension" de la part du chien. La punition du chien est, pour lui, vécue comme une injustice. Elle aura pour conséquence de détériorer la confiance qu'il a en son maître.

 

Chez l'Homme, de nombreuses phrases ou tournures peuvent vouloir dire la même chose. Par exemple, si une personne dit « Assieds-toi » ou  « Prends un siège » à une autre personne, cette dernière comprend automatiquement l'invitation à s'asseoir. En revanche, chez le chien, c'est autrement plus compliqué. Il ne comprend un mot que s'il est associé à une action ou à un objet.

 

Pour apprendre à un chien à s'asseoir, il faut sélectionner un mot auquel on associe l'action désirée. Dans ce cas, le mot idoine est « Assis ». Avec de l'entraînement, le chien sera apte à s'asseoir lorsque le maître prononcera le mot « Assis ». Néanmoins, s'il dit à son chien « Viens t'asseoir », ce dernier ne réagira pas, car la sonorité du mot ou du groupe de mots n'est plus la même. Il n'a aucun moyen de comprendre ce que son maître cherche alors à lui dire.

L'importance de la prosodie

L'importance de la prosodie

Indépendamment du contenu d'une phrase, l'Homme transmet à son chien d'autres signaux tels que l'intonation de la voix, la force de la voix, le débit de paroles, etc. Ceci est nommé la prosodie. Lorsque le maître parle à son chien, ce dernier est plus sensible à la prosodie qu'au contenu même de la phrase. Elle lui permet d'interpréter l'état psychologique du maître, et le message qu'il cherche à transmettre.

 

Lorsque le maître parle, il module les sons et les cadences, en fonction de son langage et de son accent.

 

Compte tenu du message verbal articulé, la prosodie trahit très souvent le maître, car le chien semble bien la décoder. Lorsque le maître donne un ordre à son chien, il doit adapter la prosodie à l’ordre. Par exemple, pour apprendre les ordres de base à son chien, l’intonation, les tons et le rythme doivent rester constants, non seulement pendant la période d'apprentissage, mais également tout au long du reste de sa vie.

 

En revanche, dans certains cas, et notamment lorsqu'il est question de punir son chien, la prosodie doit être adaptée à la sa sensibilité. En effet, en fonction de son état psychologique au moment de donner l'ordre, le ton ne sera pas identique. Si un chien est stressé, employer un ton sec et fort pour le réprimander n'est peut être pas l'attitute la plus adéquate. Pourtant, dans d'autres situations, ce ton serait adapté.

Comment parler à son chien ?

Comment parler à son chien ?

La combinaison des mots de la phrase, de la prosodie et de la gestuelle associée donne au chien une signification de l'ordre émis par le maître. Ces trois modes de communication sont essentiels et indissociables pour toute communication avec un chien. Une combinaison réussie des trois attribue le sens au message. Le message est dit congruent.

 

Afin de communiquer avec son chien de manière optimale avec des mots, voici quelques astuces à garder en mémoire :

 

  • utiliser des mots simples, à savoir des mots bisyllabiques ou monosyllabiques. Par exemple, il est préférable de dire « Au pied » ou « Pied » que « Viens au pied ».

  • le langage verbal doit automatiquement être associé à une gestuelle adéquate, car le chien perçoit alors bien mieux la communication corporelle. Par exemple, pour l'ordre « pas bouger », pour que le chien déjà assis reste sans bouger, et ce même si le maître s'éloigne ou sort de la vue de l'animal, son propriétaire peut lui donner l'ordre oralement tout en dirigeant le plat de la main vers me chien. Le chien associera ainsi l'ordre et la gestuelle correspondante.

  • le mot en soi n'a aucune signification pour le chien. Pour que le chien perçoive un sens, il faut l'associer à une action. Le mot « Assis » sera associé à l'action de s'asseoir, et le chien doit l'apprendre. Cet apprentissage ne peut passer que par des méthodes de conditionnement et d'éducation telles que le conditionnement positif. Une récompense (friandise, caresses...) est offerte au chien lorsqu'il se rapproche de façon plus ou moins parfaite de ce qui lui est demandé.

  • même énervé, l'ordre ne doit pas être décliné sous différentes formes verbales. Cela crée une situation sans signe fixe pour déclencher l'action, ce qui revient à installer une situation de non-apprentissage.

 

Si le message n'est pas compris par le chien, probablement parce qu'il est trop élaboré d'un point de vue grammatical ou non congruent, le chien peut réagir en montrant son indifférence ou en amplifiant son comportement de menace. Si le message est ambigu, le chien ne retient que la prosodie et la gestuelle.

 

Lorsque la communication entre le maître et son chien est bien en place, le dialogue n'est plus nécessaire. L'utilisation d'intonations et de gestes simples suffit amplement à faire passer un message.

La communication corporelle avec un chien

La perception du langage non verbal de l'Homme par le chien

La perception du langage non verbal de l'Homme par le chien

La communication non verbale est parfaitement décodée par le chien. Il existe d'ailleurs des points communs entre l’Homme et l’animal dans leur façon d’utiliser le corps et les mimiques faciales pour communiquer. Ces signaux renseignent le chien sur la charge émotionnelle de son interlocuteur.

 

Le chien communique par les postures (port de tête, d’oreille, de queue, poil hérissé), le regard et le toucher. Ces signaux sont comparables à un code dans lequel l’animal associe tel ou tel geste. L’animal les module, par son rythme d’exécution et par leur répétition dans le temps, ce qui lui permet de faire varier la valeur du message qu'il souhaite transmettre.

 

Au quotidien, l’Homme communique à l’aide de mouvements corporels que le chien décode parfaitement. Ces postures et mimiques dévoilent l'état émotionnel de l'Homme vis-à-vis du chien.

 

Les signaux olfactifs que l'odorat du chien capte lui offrent également une information supplémentaire pour comprendre l'état psychique de l'individu qu'il a en face de lui. En effet, le chien est capable de capter et d'analyser les phéromones qu'émettent inconsciemment les humains, et qui véhiculent de nombreuses informations.

Position du torse

Le torse de l’être humain incliné vers l’avant est synonyme d’une approche dominante. Le torse vertical est synonyme de neutralité. Par contre, quand le maître tient son torse incliné vers l’arrière, le chien associe cette posture à une approche de subordonné.

Démarche et trajectoire

S'approcher brusquement d'un chien est perçu par lui comme un signe d’agression. Une vitesse moyenne et constante est interprétée comme une approche neutre ou dominante. Une approche heurtée, entrecoupée d’arrêts, est associée à une approche dominée (peur, anxiété).

 

La trajectoire peut être directe ou détournée, selon que l’Homme éprouve à l’égard de l’animal une certaine inquiétude, ou au contraire une grande assurance. Si l’Homme va directement vers la tête ou le flanc, ce comportement est associé par le chien à une approche dominante. Au contraire, s'il le contourne et l’aborde par la croupe, le chien perçoit cela comme une approche soumise.

 

Le torse de l’être humain incliné vers l’avant est synonyme d’une approche dominante. Le torse vertical est synonyme de neutralité. Par contre, quand le maître tient son torse incliné vers l’arrière, le chien associe cette posture à une approche de subordonné.

 

Démarche et trajectoire

S'approcher brusquement d'un chien est perçu par lui comme un signe d’agression. Une vitesse moyenne et constante est interprétée comme une approche neutre ou dominante. Une approche heurtée, entrecoupée d’arrêts, est associée à une approche dominée (peur, anxiété).

 

La trajectoire peut être directe ou détournée, selon que l’Homme éprouve à l’égard de l’animal une certaine inquiétude, ou au contraire une grande assurance. Si l’Homme va directement vers la tête ou le flanc, ce comportement est associé par le chien à une approche dominante. Au contraire, s'il le contourne et l’aborde par la croupe, le chien perçoit cela comme une approche soumise.

Le regard

Dans le regard, deux paramètres sont prépondérants : la direction et la persistance.

 

Regarder un chien dans les yeux est pour lui une provocation, un appel au combat. Le regard sur la croupe du chien est un regard de dominant. Le regard qui fuit est un regard neutre ou soumis. Le regard persistant est une approche dominante ou la recherche d’un combat. Le regard interrompu est un apaisement ou une soumission.

L'importance de la communication non verbale pour dresser un chien

L'importance de la communication non verbale pour dresser un chien

L'éducation du chiot est indispensable pour qu'il puisse apprendre les comportements sociaux intraspécifiques régissant la cohabitation des chiens entre eux et ceux régissant la cohabitation des Hommes entre eux. C'est un apprentissage qui démarre dès la naissance, lorsque la mère qui lui enseigne les codes sociaux canins.

 

Le dressage du chien, lui, permet à l'animal d'acquérir des comportements qu'il n'utilisera qu'en présence de l'Homme. Cet apprentissage n'est pas naturel chez le chien ; son cadre doit donc bien être défini par le maître, avec l'aide si besoin d'un professionnel canin.

 

Le message transmis par le maître doit utiliser à la fois le langage articulé et les signaux non verbaux, organisés de manière précise. Ces signaux sont à la fois des gestes volontaires qui vont dans le sens du message verbal et des éléments inconscients transmettant des affects. On retrouve le fameux duo gagnant communication verbale + communication non verbale.

 

Pour qu'un message soit compris d'un chien, il doit donc réunir les trois propriétés suivantes :

Être fiable

La congruence du message doit être une priorité pour le maître. Le texte et ce qui l'entoure, le co-texte, doivent être dirigés dans le même sens. Le dresseur doit employer les gestes, le ton et les mots adaptés à la situation voulue.

 

Par exemple, l'ordre « Assis » ne peut pas être prononcé avec une voix frêle et en pointant un doigt vers le ciel. Cet ordre n'est compris par le chien qu'avec le bon co-texte, à savoir un ton ferme et en pointant un doigt devant lui en direction de sa croupe. Il en va de même pour l'ordre « cours » ou « va » pour libérer le chien. En plus du geste - bras tendu qui se lève en montrant une direction avec l'index - il faut que la voix soit énergique, sans en faire trop pour autant. 

Être acceptable

Un message est dit acceptable s'il entre dans la sphère de compréhension du récepteur. Le message doit pouvoir être compris par le récepteur avec le sens donné par l'émetteur. Le message est dit non acceptable si celui-ci ne tient pas compte des règles et des codes de l'espèce réceptrice.

 

Par exemple, il ne faut pas regarder un chien dans les yeux si ce dernier envoie déjà des signaux d'apaisement. Cette attitude est inacceptable aux yeux du chien, le récepteur.

Être lisible

La gestuelle, destinée à clarifier le message, ne doit pas être figée. Elle doit prendre forme en fonction des réactions du chien. Un Homme qui, par exemple, veut inviter son chien au jeu, peut s'accroupir, frapper des mains sur les cuisses ou le sol. Il peut avoir un regard mobile et faire balancer son corps. L'ensemble de ces postures est aisément compréhensible pour le chien. Le message est donc lisible.

La communication tactile avec un chien

Le toucher dans la relation entre chiens

Le toucher dans la relation entre chiens

Le chien communique avec ses congénères notamment par des mordillements et des pressions à des endroits bien définis. Par exemple, les mordillements sur le sommet de la tête sont réalisés par un chien dominant, et leur acceptation est un signe de soumission.

 

La communication tactile pratiquée par le chien est organisée autour de plusieurs règles : stimuler la zone, savoir moduler l’intensité, la durée et la fréquence de cette stimulation.

 

Cette communication est mêlée à la communication par la posture, et vient s'établir dans le prolongement de la communication visuelle. En effet, une fois que toute une série de signaux posturaux et visuels s'est établie entre deux chiens, il arrive un moment où ils se trouvent proches l'un l'autre. C'est à ce moment-là qu'entre en jeu la communication tactile.

 

Le chien communique avec ses congénères en utilisant le toucher avec parcimonie. En réalité, il existe trois types de contacts :

Les contacts de domination

Les premiers contacts entre chiens servent à établir une hiérarchie entre individus. Ce sont des signaux tactiles émis par le chien qui se perçoit comme dominant. Ils ont pour cible le dessus de la tête, le garrot ou la région lombaire.

 

La région cervicale et le sommet de la tête revêtent une importance particulière dans la communication hiérarchique et sexuelle. Ils sont souvent stimulés par des mordillements, voire de réelles morsures avec prise en gueule de peau maintenue plus ou moins fermement. Les mordillements sur le sommet de la tête correspondent à une manifestation de dominance, et leur acceptation une manifestation de soumission.

Les contacts d'apaisement

Le chien peut communiquer tactilement avec son congénère pour calmer une situation et apaiser l'autre, ou tout simplement pour entrer en contact avec lui. L'un des deux chiens va alors venir frotter son thorax contre celui de son congénère, notamment après une première approche dite basse, avec les pattes légèrement fléchies et la queue qui remue.

Les contacts sexuels

Dernier type de contact physique : ceux qui relèvent du comportement sexuel des chiens. Dans le cadre d'un accouplement entre chiens, les individus établissent toute une série de contacts corporels, ciblant le dessus de la croupe et, avec le nez, la région périnéale. La région anale englobe les lombaires postérieures, la racine de la queue, l’anus, la région périanale et le périnée. La région génitale englobe le fourreau et la vulve. Les régions anales et génitales sont stimulées par léchage et coups de truffe.

 

Le chien qui émet le message stimule son partenaire de plus en plus vite et fort, jusqu'à l’obtention de la réaction désirée. 

Le toucher dans la relation entre le chien et l'Homme

Le toucher dans la relation entre le chien et l'Homme

Le toucher est le sens acquis le plus précocement par le chiot. Lorsque le chien n'est encore qu'un foetus, il acquiert ses premières informations grâce au toucher, notamment de ses frères et soeurs à proximité de lui.

 

Dans la relation interspécifique Hommes / chiens, les signaux qui relèvent de la communication tactile sont généralement émis en même temps que les signaux visuels, et ce sont ces derniers qui focalisent le plus souvent l’attention des observateurs. Pourtant, il est important pour tous les membres de la cellule familiale de connaître également ces signaux tactiles, car ils leur permettront de mieux comprendre et communiquer avec le chien au quotidien.

 

Le chien tente donc de faire passer des messages par le biais des contacts physiques. Comment interpréter ces signaux qu'il envoie à son maître et sa famille ?

Le chien qui s'appuie sur son maître

Le chien peut appliquer une pression sur la région thoracique d'un humain par pression de la tête, de l’épaule ou du thorax. Ces pressions sont généralement maintenues jusqu’au déclenchement d’un jeu, d’un signe de soumission, ou au contraire d’une manifestation de dominance. C’est une posture ambivalente qui prend du sens en l’associant avec d’autres éléments.

 

Le chien peut aussi pousser, bousculer, sauter sur son maître afin d’initier le contact, et ainsi le dominer. Celui-ci doit savoir refuser l’initiative de contact de la part de son animal. Pour cela, il a juste à ignorer le comportement du chien : celui-ci sera dérouté, et se calmera.

Le chien qui renifle les hommes

Le chien se sert beaucoup de son nez dans le cadre des contacts entre chiens lors d'une saillie, notamment dans la région anale contenant la région périanale et le périnée. Ces régions sont sollicitées par les soumis pour apaiser un dominant, ou pendant les comportements de séduction lors de la reproduction.

 

Dans le cadre des relations interspécifiques, le chien peut par exemple sentir les parties génitales de son maître après avoir reçu une réprimande. C’est un comportement d’apaisement pour se soumettre à son leader.

 

Ainsi, un mâle peut très bien sentir et lécher le pôle anal et génital de sa maîtresse lorsque celle-ci est indisposée. Il adopte ainsi un comportement de séduction envers sa maîtresse. Cette dernière doit refuser ce comportement, afin de faire respecter au chien sa position hiérarchique et rester la figure d'autorité du groupe.

Le chien qui mordille son maître

Parfois, le chien peut mordiller les mains, les poignets et les mollets de son maître. La cible préférée des mordillements reste toutefois l'avant bras. Il envoie, par ce biais, un signal de dominance. Il se sent en confiance, fort, et tente de dominer son maître.

 

Dans ces conditions, deux options s'offrent au maître : ignorer le comportement, ou bien pincer le chien à la joue.

 

La première solution n'est pas forcément beaucoup moins forte que la seconde. En effet, l'ignorance est, chez le chien, un signe fort de dominance. Par conséquent, le maître qui ignore son chien ne fuit pas ou ne se défile pas : il le domine.

 

Dans tous les cas, l'important est de rétablir la hiérarchie et montrer à son chien qui est le maître, de ne pas le laisser se comporter ainsi impunément.

Conclusion

La maîtrise des rouages de la communication interspécifique est la clé de voûte d'une bonne éducation et d'une cohabitation réussie. Pour cela, comprendre tout d'abord comment les chiens communiquent entre eux est indispensable, car cela permet alors de comprendre pourquoi ils agissent de telle ou telle manière avec les humains.

 

En tout état de cause, contrairement à ce qui se fait entre êtres humains, l'utilisation du langage verbal n'est pas le mode de communication idoine pour se faire au mieux comprendre d'un chien. Il sera nettement plus sensible à l'intonation et la force de la voix, mais surtout à la gestuelle associée.

 

Apprendre à communiquer différemment de ce à quoi il est habitué avec les humains est un véritable défi pour le maître, une remise en question profonde mais nécessaire pour établir et maintenir une relation de qualité avec son chien.

Dernière modification : 01/22/2025.

Auteur

Etho-Psycho comportementaliste
Spécialiste de la relation de l'Homme à l’animal et des conduites anthropomorphiques

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