Capacité d'adaptation : comment le chien vit-il les changements ?

Un chien noir et blanc dans une maison avec des cartons pendant un déménagement

Même si l'on s'efforce d'avoir un cadre à peu près fixe, des changements plus ou moins importants sont inévitables dans son quotidien : déménagement, mise en couple ou séparation, arrivée d'un bébé, adoption d'un animal, absence imprévue...


Or, lorsqu'on possède un chien, ces changements ont forcément des répercussions sur lui et sa routine. Se pose donc la question de savoir s'il est en mesure de bien les vivre, ou non.


Quels sont les facteurs influant sur les capacités d'adaptation d'un animal ? Est-il possible d'aider son compagnon à s'adapter plus facilement aux changements qui surviennent dans sa vie ?

Qu'est-ce que la capacité d'adaptation ?

Un chien de type Husky aux yeux vairons allongé dans la neige

Un des traits communs à tous les êtres vivants, c'est leur capacité à s'adapter à leur milieu de vie.

 

De fait, de nombreux changements s'opèrent en permanence chez les animaux et les végétaux, parce que leur environnement le nécessite. D'ailleurs, ceux qui ne possèdent pas une capacité d'adaptation suffisante finissent généralement par disparaître, remplacés par plus performants qu'eux.

 

L'adaptation peut globalement prendre deux formes : l'adaptation physique, et l'adaptation comportementale.

L'adaptation physique

Un petit lapin blanc caché dans la neige

L'adaptation physique est ce qui conduit une espèce à développer des particularités morphologiques et physiologiques lui permettant d'être plus à même de survivre dans son environnement : un pelage permettant de mieux se cacher, une morphologie plus adaptée à la chasse, un système rénal plus performant dans les climats désertiques pour économiser l'eau, etc.

 

L'adaptation physique se fait plutôt sur le long terme, même si des mutations génétiques spontanées sont susceptibles d'accélérer le processus en faisant apparaître rapidement des individus parfois radicalement différents du reste de l'espèce (par exemple des panthères noires parmi les panthères normales).

L'adaptation comportementale

Un Chihuahua avec un air rusé et malin

Contrairement à l'adaptation physique, l'adaptation comportementale peut se faire de manière beaucoup plus rapide.

 

Elle concerne des domaines assez variés, comme la recherche de nourriture, le mode de vie, la reproduction... Elle permet par exemple à un prédateur de se tourner vers d'autres types de proies si celles dont il se nourrit d'habitude se font soudainement plus rares, de s'adapter à une concurrence qui s'installe sur son territoire, ou de changer de type d'habitat si l'environnement actuel devient brusquement inhospitalier voire carrément hostile.

 

La suite de l'article porte sur l'adaptation comportementale du chien, et sa capacité à plus ou moins bien gérer les changements de routine au quotidien.

Qu'est-ce qui permet à un animal de s'adapter ?

Quatre chiens allongés dans l'herbe

La capacité d'un animal à s'adapter sur le plan psychologique dépend d'un grand nombre de facteurs assez divers, parmi lesquels :

 

  • une souplesse psychologique, qui permet de ne pas être perturbé au moindre écart dans la routine ;

 

  • une socialisation suffisamment longue, pour apprendre à gérer très tôt toutes sortes de situations nouvelles ;

 

  • une certaine intelligence, pour bien cerner son environnement et identifier les changements les plus problématiques de ceux qui sont mineurs ;

 

  • une bonne capacité d'apprentissage et de mémorisation, afin de pouvoir changer ses habitudes et développer de nouveaux réflexes si le besoin s'en fait sentir.

 

Ces quelques points contribuent à ce qu'un animal soit capable de s'adapter rapidement en cas de besoin.

Le chien possède-t-il une bonne capacité d'adaptation ?

Vue proche d'un beau renard roux

Même si chaque espèce dispose de capacités d'adaptation, toutes ne sont pas à égalité : certaines comme le renard sont assez résilientes face au changement, tandis que d'autres comme le chat sont connues pour être routinières et mal accepter les modifications d'habitude.

 

Dans l'ensemble, les canidés figurent plutôt dans le haut du classement. Moins attachés à leur territoire que les félins, capables d'élaborer des stratégies sophistiquées pour la chasse, ils disposent d'une grande intelligence qui les aide à bien comprendre leur environnement.

 

Même parmi les canidés, le chien tire très bien son épingle du jeu : avec un temps d'adaptation, il est capable de s'accommoder de beaucoup de changements plus ou moins importants. Il doit en bonne partie cela à sa domestication par l'être humain, qui l'a rendu beaucoup plus conciliant que son ancêtre le loup.

À quels changements le chien peut-il s'adapter ?

Les chiens ont la capacité de s’adapter à de nouvelles situations : côtoyer de nouveaux animaux ou humains, changer de lieu de vie ou de trajet durant leurs promenades, accepter une nouvelle alimentation, recevoir de nouveaux jouets... sont des choses qu'ils sont parfaitement à même de gérer, si on leur donne du temps.

 

Ils ne les gèrent toutefois pas tous avec la même facilité.

Les changements faciles à accepter pour les chiens

Un chien devant une gamelle pleine de croquettes

Parmi les changements faciles à gérer pour un chien, on peut citer :

  • un changement d'alimentation, par exemple de croquettes à pâtée ;
  • un changement d'accessoires : jouets, laisse, gamelles... ;
  • une réorganisation de l'agencement du logement ;
  • un petit changement d'emploi du temps, par exemple un retour à la maison à une heure différente ;
  • une promenade dans un nouveau lieu ou un nouvel itinéraire.

 

Ces changements ont beau être généralement bien acceptés, il ne faut pas croire que le chien ne les remarque pas, ni que cela ne lui fait rien. Simplement, le stress occasionné est souvent assez réduit et de courte durée, car la routine n'est alors pas vraiment remise en cause.

Les changements difficiles à accepter pour les chiens

Un petit chien inquiet à cause d'un déménagement

Si beaucoup de changements ne posent pas de gros problèmes, certains sont beaucoup plus difficiles à accepter pour les chiens. C'est surtout le cas de ceux qui remettent notablement en cause la routine, et donc qu'il est plus compliqué d'ignorer.

 

On peut citer notamment :

  • un déménagement, a fortiori dans un logement plus petit ;
  • un décès dans le foyer, qu'il s'agisse du maître ou d'un autre membre ;
  • un changement de propriétaire (adoption, abandon...) ;
  • une arrivée dans le foyer, qu'il s'agisse d'un humain (conjoint, bébé...) ou un autre animal (chien, chat...) ;
  • une absence soudaine, par exemple à cause d'un voyage ou d'un emploi du temps plus contraint.

 

Naturellement, tous les chiens ne réagissent pas forcément de la même façon, en fonction de leur caractère et de leur expérience : par exemple, certains peuvent bien vivre une arrivée dans le foyer et accepter plus difficilement une absence soudaine.

Les conséquences d'un manque d'adaptation chez le chien

Le chien est tout à fait capable de faire face aux modifications qui lui sont proposées. Toutefois, quand les personnes autour de lui évoluent, que ses habitudes sont chamboulées, que son environnement change et que ses repères spatio-temporels sont modifiés, il peut en être perturbé et même stressé. Il développe alors divers problèmes psychologiques et /ou physiologiques, qui témoignent de son état.

Les conséquences mentales

Un chien inquiet et stressé se cache les yeux avec la patte

Un chien qui vit mal un changement dans son quotidien est susceptible de développer des « problèmes » mentaux, en particulier de l'inquiétude, du stress, de l'anxiété, voire même de l'angoisse dans les cas sévères.

 

Si la situation perdure et que le chien n'est pas en mesure de s'habituer à sa nouvelle routine, il peut même finir par tomber en dépression, voire se laisser mourir. Ce n'est donc pas un problème à prendre à la légère. Heureusement, ce cas assez extrême reste rare.

Les conséquences comportementales

Un chien inquiet se lèche la patte

Un chien qui a du mal à s'adapter à un changement développe bien souvent des troubles comportementaux, qui permettent de comprendre que quelque chose ne lui convient pas.

 

Il peut par exemple se montrer moins réactif et enjoué, voire apathique, ou au contraire surexcité et suivre son maître partout ou le solliciter en permanence. Les malpropretés, les vocalises (aboiements, grognements, gémissements...), les léchages compulsifs et les destructions font également partie des signes courants d'un stress psychologique.

 

Si la situation perdure, le chien peut développer des problèmes plus grave, comme des fugues ou de l'agressivité - y compris parfois envers les membres de sa famille.

Les conséquences biologiques

Un chien avec des trous dans le pelage

Lorsqu'un chien souffre de changements qui se produisent dans son environnement, cela ne se traduit pas juste par des conséquences psychologiques, mais parfois aussi par des impacts physiques.

 

Par exemple, il peut avoir du mal à s'alimenter, ou au contraire devenir vorace, voire même se mettre à manger n'importe quoi. Une perte de poils est également une conséquence courante du stress, que ce dernier soit d'ailleurs causé par un changement ou tout autre chose.

 

Ceci est la conséquence du fait que l'anxiété se occasionne des dérèglements hormonaux, qui rejaillissent sur l'appétit et la pousse des poils - tous deux sont en effet gérés par des hormones.

Des chiens plus sensibles que d'autres

Certains chiens peuvent être plus sensibles que d'autres face à ces changements de vie. Quels sont les facteurs pouvant l'expliquer ?

La race

Un Pumi qui s'ennuie allongé sur le sol

Toutes les races de chiens sont capables de gérer des changements même importants dans leur routine, mais certaines ont tout de même naturellement plus de facilités que d'autres en la matière.

 

C'est ainsi que l'on trouve des races de chiens capables de s'adapter, comme le Cursinu ou le Pumi. De telles races font preuve d'une grande intelligence et d'une souplesse d'esprit qui leur permettent de bien vivre les changements de routine - voire même de les apprécier, car ils peuvent à défaut être sujets à l'ennui.

 

À l'inverse, certaines comme le Chien Courant d'Estonie ou le Landseer ne se sentent rassurées et en confiance que si elles disposent d'un cadre à peu près fixe, au moins sur les aspects les plus importants de la vie : les heures de départ et retour du maître, les heures de promenade, etc. Il existe aussi des chiens comme le Sloughi ou le Berger Croate qui ont du mal à s'attacher à plus d'un maître, et qui vivraient donc très mal un changement de propriétaire, un décès, ou encore pire un abandon.

L'âge

Deux chiens Pointers âgés côte à côte

L'âge joue aussi un rôle dans la capacité d'adaptation au changement, aussi bien chez le chien que chez l'Homme ou les autres animaux.

 

En effet, les capacités cognitives ont tendance à diminuer avec le temps : la rapidité de traitement des données qui parviennent au cerveau par le biais des sens est amoindrie, et la faculté à développer de nouveaux comportements pour bien gérer les changements l'est tout autant - d'autant que les habitudes sont alors bien ancrées. Ainsi, plus un animal vieillit, plus il devient routinier, et plus il vit mal les écarts de routine.

 

Lorsque le chien est très jeune en revanche, c'est l'inverse. Pendant les premiers mois de sa vie, son cerveau est encore très malléable, et parfaitement capable d'apprendre de nouvelles choses. C'est donc le meilleur moment pour lui faire découvrir toutes sortes de nouvelles expériences : rencontre de congénères, promenades dans des lieux variés, activités diverses...

La socialisation

Un chiot prudent marche dans des boules de couleur

Même si la race et l'âge impactent la capacité du chien à s'adapter, ils ne font pas tout. La socialisation joue elle aussi un rôle important.

 

En effet, c'est pendant cette période cruciale, entre l'âge de 2 et 3 mois - voire 4 mois pour certaines races - que le chiot découvre le sentiment de peur face à la nouveauté (environnement, humains, animaux...). Il apprend alors à gérer cette peur, et notamment à faire la différence entre les situations nouvelles et celles qui sont réellement menaçantes et problématiques. C'est grâce à ce travail qu'il acquiert confiance en lui et qu'il se construit en tant que chien équilibré et bien dans ses pattes.

 

La réussite de la socialisation dépend de la variété et de l'intensité des stimuli dans l'enfance. Ceux qui ont été peu stimulés pendant cette phase développent ensuite une moins bonne faculté d'adaptation aux situations nouvelles. Ceux qui à l'inverse ont été très bien socialisés développent une forme de souplesse psychologique qui leur permet de mieux gérer les changements et les nouveautés une fois adultes.

Les conseils pour aider son chien à s'adapter aux changements

Même si les chiens ont de bonnes facultés d'adaptation, certains changements sont difficiles à accepter pour eux, en particulier s'ils appartiennent à une race naturellement attachée à la routine. Il faut donc les accompagner dans ces épreuves, pour que les choses se passent au mieux.

L'habituer très tôt aux changements

Un chiot Border Collie joue avec une balle

La première chose à faire pour pallier les difficultés d'adaptation d'un chien est de bien le socialiser lorsqu'il est encore très jeune, en l'habituant à toutes sortes de stimuli et de changements de situation. Cela fait d'ailleurs partie intégrante de la période d'éducation d'un chiot et contribue à en faire un adulte équilibré.

 

La plus grande phase de la socialisation commence vers l'âge de 2 mois et prend fin vers 3 mois - éventuellement 4 pour certaines races. C'est donc pendant cette période qu'il faut l'exposer à toutes sortes de stimuli : bruits, odeurs, rencontres diverses, lieux différents, manipulations... L'exposition doit toutefois évidemment se faire de manière progressive, pour ne pas risquer de le traumatiser.

Instaurer les changements en douceur

Un Caniche arrive dans un nouvel appartement avec sa famille

Pour qu'ils soient bien acceptés, les changements doivent si possible être mis en place en douceur, pour permettre au chien de s'y adapter progressivement.

 

Par exemple, si un nouvel animal doit intégrer le foyer, il est préférable d'organiser d'abord des rencontres dans un lieu neutre - c'est-à-dire en-dehors du domicile - afin que chacun fasse la connaissance de l'autre. De cette façon, le chien voit moins le nouvel arrivant comme un intrus le jour où il rejoint effectivement la famille.

 

Le même type d'habituation progressive peut être réalisé par exemple lors de l'arrivée d'un humain (conjoint, bébé...) ou même lors d'un déménagement en lui faisant visiter le nouveau logement en amont. Evidemment, cela n'est pas toujours faisable, par exemple lors d'un décès. Mais lorsque c'est possible, c'est le meilleur moyen de faire en sorte que les choses se passent bien.

Eviter de multiplier les changements

Un chien et sa famille heureux dans la cuisine

Pour faciliter l'acceptation de plusieurs changements (même mineurs), il est important d'essayer de ne pas les mettre en place tous en même temps, car le chien risquerait sinon d'être trop perturbé pour s'y adapter correctement.

 

Par exemple, mieux vaut éviter de changer en même temps l'agencement du foyer, les horaires de sorties et de promenades, le lieu de distribution de la nourriture, l'emplacement de son panier et ses jouets courants. S'il n'y a pas d'urgence, autant faire chacun l'un après l'autre, pour permettre au chien de s'adapter à l'un avant de découvrir le suivant.

 

Et bien évidemment, s'il faut bousculer notablement la routine (par exemple avec un déménagement ou une arrivée dans le foyer), autant éviter d'en rajouter en changeant d'autres aspects en même temps.

Continuer à lui consacrer du temps

Un chien triste allongé au milieu de buissons de fleurs

Si le chien a parfois du mal à accepter certains changements, c'est aussi parce qu'il ne trouve plus ses repères et ne sait plus exactement où se trouve sa place dans le foyer. Il peut se retrouver perdu, se sentir négligé, ce qui génère du stress chez lui.

 

Une façon de le rassurer consiste à le distraire et lui consacrer beaucoup de temps, pour qu'il ne se sente pas délaissé, qu'il ne s'ennuie pas, et que le lien de confiance avec le maître perdure.

 

Par exemple, lors de l'arrivée d'un bébé ou d'un autre animal dans le foyer, il est naturel d'être accaparé par le nouveau venu et d'avoir moins de temps pour son ancien compagnon. Il faut tout de même faire l'effort de continuer à lui prêter attention, pour qu'il ne développe pas de jalousie : cela passe par des sorties, des jeux, des séances de caresses, et tout autre activité lui montrant qu'il fait toujours partie de la famille.

Eviter les changements avec les vieux chiens

Un homme tend la main à un vieux chien

Plus un animal vieillit, plus ses capacités cognitives déclinent, et plus il devient routinier. Il ne peut donc être question d'infliger à un vieux chien des changements du même ordre qu'à un chien adulte, car il a moins de chances de les gérer correctement et peut plus facilement mal les vivre.

 

En particulier, s'il faut modifier des choses dans sa routine, il est important de lui consacrer beaucoup de temps et de se montrer très patient avec lui, car le changement n'est pas facile à vivre au delà d'un certain âge. S'il faut par exemple déménager dans un autre logement, il est essentiel de le faire très progressivement et en plusieurs étapes, pour éviter de le perturber.

 

Quant aux changements qui peuvent être évités, il est effectivement préférable de s'en passer. Par exemple, apprendre à un chien âgé à rester seul alors qu'il a toujours vécu en compagnie d'un humain ou d'un autre animal n'est pas forcément une bonne idée. Il en va de même d'autres modifications importantes dans sa routine, comme l'arrivée d'un nouvel être dans le foyer ou un changement de maître : mieux vaut les éviter dans la mesure du possible.

Demander de l'aide à un comportementaliste

Un chien et un humain font un high five devant un coucher de soleil

Si l'on remarque que le chien vit mal certains changements dans son quotidien et ne parvient pas à s'y adapter, il est préférable de contacter un comportementaliste canin sans trop attendre. Ce dernier se charge en effet d'étudier ses agissements, de déterminer la cause du problème sous-jacent, et de proposer des solutions pour le résoudre.

 

Il est d'ailleurs possible de le contacter en amont d'un changement problématique afin de disposer de conseils personnalisés pour éviter que les choses se passent mal.

 

L'aide d'un comportementaliste est particulièrement intéressante dans le cas où des bouleversements importants sont à prévoir et/ou ont eu lieu, par exemple l'arrivée d'un bébé ou un changement de maître. S'il s'agit en revanche de petites modifications (lieu de promenade, type de nourriture...), ce n'est alors généralement pas nécessaire, sauf à posséder un compagnon vraiment très craintif ou sensible.

Conclusion

En fonction de chaque chien, de ses expériences de vie passées et des changements auxquels il est confronté, les difficultés sont plus ou moins longues à surmonter. Pour autant, il n'y a pas d'âge pour éduquer un chien : à partir du moment où les choses sont faites en douceur, avec bienveillance et respect pour l'animal, les risques de blocage ne sont pas très élevés.

 

Certains cas sont tout de même plus délicats que d'autres : en particulier, les vieux chiens et ceux qui supportent mal les changements de routine doivent être accompagnés pour ne pas trop souffrir. Si l'on ne sait pas comment faire, ou en cas de difficultés, l'aide d'un comportementaliste est toujours précieuse.

Par Aurélia A. - Dernière modification : 02/27/2022.

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