Pays d'origine : France
Groupe : Chien de type Pinscher ou Schnauzer - Molossoïde - Chien de montagne et de bouvier suisse
Le Dogue de Bordeaux est un molosse brachycéphale typique.
Son corps, légèrement plus long que haut, est grand et musclé, bâti autour d’un dos large et musclé et d’un poitrail puissant. Sa queue est épaisse, portée basse au repos et un peu plus haut que l’horizontal quand il est en action. Ses pattes ont une ossature robuste et des muscles saillants, notamment au niveau des épaules et de la cuisse.
Sa tête est courte, puissante, et imposante, en forme de trapèze. Elle affiche de nombreuses rides symétriques, qui sont mobiles et changent selon son attitude. Son museau est court et la truffe, large et bien ouverte, peut être noire ou marron, selon la couleur du masque. Les mâchoires sont larges et puissantes, avec un prognathisme inférieur marqué (la mâchoire du bas est plus longue que celle du haut). Les yeux, ovales et bien espacés, ont une couleur variant de noisette à brun foncé, bien que le marron clair soit aussi toléré. Les oreilles, relativement petites pour sa taille, retombent au niveau des joues.
Le Mastiff Français a une peau épaisse et ample, mais ne présente toutefois pas de rides en excès, contrairement par exemple au Mâtin Napolitain. Son poil, fin et court, est doux au toucher. Le sous-poil est de même longueur que le poil de couverture.
La robe doit être unicolore, et toutes les nuances de fauve (de l’isabelle à l’acajou) sont possibles. De petites taches blanches au niveau du poitrail et de l’extrémité des pattes sont admises. Le masque peut être de couleur noire ou marron, mais il doit être peu étendu et peu marqué.
Enfin, le dimorphisme sexuel est peu marqué chez cette race, le mâle n’étant que légèrement plus grand et massif que la femelle.
Les standards de race sont des documents établis par les organismes officiels qui listent les conditions qu'un Dogue de Bordeaux doit respecter pour être pleinement reconnu comme appartenant à la race :
Au 19ème siècle, il existait plusieurs types de Mastiff de Bordeaux : le type toulousain, le type parisien et le type bordelais. Tous ont été unifiés sous le standard du Dogue de Bordeaux, si bien que la race ne possède plus désormais de variétés.
L’histoire du Dogue de Bordeaux, ou Mastiff Français comme il est souvent appelé hors de son pays d’origine, est sujette à de nombreuses hypothèses. L’une d’entre elles suggère que la race est indigène à la France et se serait développée de manière isolée pendant des millénaires. Une autre affirme qu’il est le résultat de croisements entre le Mâtin Napolitain, le Mâtin du Tibet, l‘Alano Espagnol et le Mastiff Anglais.
La théorie la plus largement acceptée est qu’il descend des chiens de guerre qui accompagnaient les légions romaines au premier siècle avant J.-C., ainsi que de ceux venus d’Asie au cours du 6ème siècle avec les envahisseurs huns et alains.
En tout état de cause, les premières références aux ancêtres du Dogue de Bordeaux datent du 14ème siècle, et c’est d’ailleurs à cette époque que le nom dogue commença à être utilisé. Par exemple, dans son Livre de Chasse, le Comte de Foix Gaston III (1331-1391) décrivait un chien « dont la morsure était équivalente à celle de trois lévriers ».
Présent surtout en Aquitaine, ces chiens appartenaient surtout à la noblesse, qui les utilisait aussi bien pour la chasse au gros gibier (cerf, sanglier…) que pour la garde de ses domaines. La Révolution Française causa un fort déclin de la population, de nombreux Dogues de Bordeaux connaissant le même sort que leurs maîtres aristocrates.
La race survécut toutefois, et se fit une place en tant que chien de bétail au service des bouchers, mais aussi dans les combats de chiens et comme gardien de ferme.
En 1863, elle fut présentée lors de la première exposition canine organisée en France, qui se tint à Paris. Elle traversa rapidement la Manche, si bien que dès 1897 des Mastiffs Français étaient enregistrés au Kennel Club (KC) britannique. Elle n’y rencontra cependant pas vraiment le succès, et disparut rapidement du paysage canin anglo-saxon.
Si le premier standard de la race fut rédigé dès 1896 par Pierre Mégnin, il fallut attendre 1926 pour qu’elle fasse son apparition dans le Livre des Origines Françaises (LOF). Comme de nombreuses autres, elle souffrit grandement des guerres mondiales et était au bord de l’extinction au début des années 50. Sa reconnaissance en 1954 par la Fédération Cynologique Internationale (FCI) lui permit toutefois de connaître un nouvel essor à partir des années 60.
Avec seulement 200 enregistrements annuels au LOF dans les années 80, le Dogue de Bordeaux restait cependant confidentiel en France et quasiment inconnu dans le reste du monde. Tout changea à partir de 1989, lorsque Hollywood offrit le premier rôle du film Turner et Hooch (réalisé par Roger Spottiwoode) à Beasley, un Dogue de Bordeaux alors âgé d’un an et demi. Sa popularité grimpa alors en flèche.
Même si les premiers spécimens avaient été présentés aux Etats-Unis dès la fin du 19ème siècle, l’histoire moderne du Dogue de Bordeaux en Amérique du Nord débuta en 1959, avec l’importation d’un individu nommé Fidelle de Feneon. Il fallut toutefois attendre 1995 pour que l’United Kennel Club (UKC) reconnaisse la race, et 2008 pour que l’American Kennel Club (AKC) en fasse de même. Dix ans plus tard, à la fin des années 2010, elle se situait entre la 60e et la 70ème place (sur près de 200) du classement des races par popularité établi par l’organisme en fonction du nombre d’enregistrements au cours de l’année. Avec le Grand Danois, le Mastiff et le Cane Corso, c’est donc un des molosses les plus courants en Amérique du Nord.
En Grande-Bretagne aussi, il connut un succès rapide, malheureusement teinté par une réputation houleuse. Il conquit un public intéressé par sa force et son physique impressionnant, mais quelques éleveurs peu scrupuleux dénaturèrent la race, tant au niveau du caractère que de la santé. Sa reconnaissance par le Kennel Club en 1997 permit d’assainir la population en réglementant le travail des éleveurs, mais il fallut attendre 2016 pour qu’il soit autorisé à concourir dans les expositions canines organisées sous l’égide de l’organisme. Cela ne l’empêcha pas d’être très populaire dès la première décennie du 21ème siècle, avec près de 3000 naissances annuelles autour de 2010. Il connut toutefois un reflux important au cours de la décennie suivante, au point que ce nombre fut divisé de moitié : à la fin des années 2010, on ne comptait plus dans le pays « que » 1500 naissances par an.
En France, le nombre d’enregistrements connut une croissance légère jusqu’au milieu des années 90, puis il se mit à exploser. De 250 inscriptions annuelles au LOF à la fin des années 80, on passa à 500 au début du 21e siècle. La tendance s’accéléra encore, avec un point culminant à environ 1300 naissances annuelles au milieu des années 2010. On constate depuis un léger reflux, les enregistrements étant passés à environ 1100 par an.
Le Dogue de Bordeaux est affectueux et proche des siens, mais il est régulièrement nécessaire de lui rappeler sa place. En effet, il a un côté dominant et sûr de lui qui le pousse à essayer de grimper dans la hiérarchie familiale, si bien que son maître doit savoir faire preuve d’une certaine fermeté. Par ailleurs, il se montre protecteur et méfiant envers les étrangers : combiné à sa vigilance et son courage si l’affrontement est nécessaire, cela en fait un excellent chien de garde.
Il est doux et patient avec les enfants, faisant assurément pour eux un excellent partenaire de jeux. Toutefois, sa taille fait qu’il peut facilement bousculer un tout-petit, même si son cela aurait toutes les chances d’être involontaire, compte tenu de son tempérament plutôt placide. Mieux vaut donc que les enfants du foyer aient déjà un certain âge. En tout état de cause, les interactions entre un chien – quelle que soit sa race – et un enfant en bas âge doivent toujours se faire sous la surveillance d’un adulte.
L’instinct de chasse du Dogue de Bordeaux est moins marqué que celui d’autres races de type Mastiff, mais n’en reste pas moins bien présent. Il peut cohabiter avec le chat de la maison, mais cela n’est pas sans risques – a fortiori s’il n’a pas grandi à ses côtés. De manière générale, mieux vaut éviter d’avoir d’autres animaux sous le même toit, qu’il s’agisse de rongeurs ou de chiens de petite taille. Lors des balades, il est conseillé de le tenir, afin d’éviter qu’il coure après les chats ou les écureuils.
Avec ses congénères de gabarit comparable, les choses se passent généralement bien une fois que la hiérarchie a été établie. Deux mâles de puissance similaire risquent toutefois de se disputer le rôle d’alpha pendant des années.
Il ne faut cependant pas croire que le Bulldog de Bordeaux est agressif – sauf bien sûr quand ses proches ou les biens dont il a la garde sont menacés. Bien au contraire, c’est un chien extrêmement calme, qui est ravi s’il peut passer la journée sur le canapé aux côtés de son maître. D’ailleurs, s’il est souvent nécessaire de réfréner les ardeurs des chiots afin de leur éviter des problèmes d’articulation, il en va tout autrement des adultes, qu’il faut plutôt pousser à sortir, même s’ils n’en manifestent pas particulièrement l’envie. En effet, ils peuvent facilement oublier qu’ils ont besoin d’une heure de promenade et d’exercice par jour, mais il est malgré tout nécessaire de la leur procurer, sous peine de se retrouver avec un compagnon nerveux et de mauvaise humeur. En tout état de cause, vu leur taille, mieux vaut qu’ils se soient beaucoup dépensés plutôt que pas assez lorsqu’ils rentrent à la maison, au risque de causer des dégâts. Sans surprise, ils ne brillent pas par leur capacité à apprendre des tours, préférant largement faire la sieste plutôt que de se fatiguer à rapporter la balle ou d’essayer d’attraper un frisbee.
Ainsi, dès lors qu’il est sorti tous les jours, le Mastiff de France peut vivre en appartement — si tant est que ce dernier soit suffisamment grand pour l’accueillir. Il est toutefois beaucoup plus heureux s’il a accès à un jardin dans lequel il peut patrouiller tranquillement. Par contre, son territoire doit être parfaitement clos, afin qu’il ne soit pas tenté d’aller voir ce qu’il se passe ailleurs, et que personne (humain ou animal) ne s’y aventure par mégarde. Au demeurant, il ne saurait être laissé constamment en extérieur : au-delà du fait qu’il doit être protégé des conditions climatiques, ce chien a besoin de passer le plus de temps possible avec les membres de la famille pour être bien dans sa tête.
Pour finir, il faut savoir qu’au-delà de sa force considérable et de son caractère difficile qui font qu’il n’est pas conseillé aux maîtres novices, le Dogue de Bordeaux bave, ronfle et perd ses poils de manière continue. Tout candidat à l’adoption doit être conscient de ces aspects un peu pénibles, afin d’éviter d’être surpris et de pouvoir profiter pleinement de tout ce qu’il peut apporter en contrepartie.
En revanche, si le Dogue de Bordeaux a une voix puissante, il ne prend aucun plaisir à la faire admirer. Il n’aboie que lorsque le besoin s’en fait sentir, généralement pour prévenir de l’arrivée d’un étranger. Il n’y a donc pas à craindre de problèmes d’aboiements intempestifs du chien.
La socialisation du Dogue de Bordeaux doit commencer dès le plus jeune âge. Rencontrer de nombreuses personnes (amis, voisins, facteur, vétérinaire…), s’habituer à croiser d’autres animaux (chiens, chats…) et vivre toutes sortes d’expériences (trajet en voiture, promenade en ville…) lui permet de devenir un adulte sociable et équilibré. A défaut, il risque de manquer de lucidité et faire montre d’agressivité de manière inadéquate ; vu son gabarit et sa puissance, ceci ne manquerait pas de poser problème.
Bien qu’il ait moins tendance que d’autres molosses à pourchasser les animaux, il est recommandé de lui apprendre à marcher en laisse dès les premiers mois. En effet, un adulte tirant de toutes ses forces a de grandes chances de ne pouvoir être stoppé par son maître, qui risque fort de ne pas vraiment apprécier les promenades si elles se déroulent régulièrement dans un contexte tendu.
Par ailleurs, le Dogue de Bordeaux est loin d’être un élève idéal pour qui veut apprendre des tours à son chien et aller très loin dans son éducation. Têtu et inattentif, il a besoin d’un maître déterminé et patient, capable de s’affirmer pour faire comprendre à son chien qui est le maître. C’est toutefois un grand sensible, ce qui fait qu’il répond mal aux méthodes de dressage traditionnelles, et encore plus aux punitions. Le renforcement positif donne de bien meilleurs résultats et permet de renforcer le lien qui l’unit à son maître. Cela dit, dans la plupart des cas, ce dernier ne va pas sensiblement plus loin que les ordres de base (« Assis », « Couché »), constatant que les capacités d’apprentissage de son compagnon atteignent rapidement leurs limites.
Enfin, compte tenu de son gabarit, il est important de l’habituer très tôt à se laisser manipuler, que ce soit par son maître ou par d’autres personnes (vétérinaire, toiletteur professionnel…). Il est difficile en effet de faire prendre un bain à un Mastiff Français de 70 kg qui cherche à s’échapper ; mieux vaut lui faire assimiler dès les premiers mois qu’il s’agit d’une expérience agréable et non d’une corvée.
Le Dogue de Bordeaux est une race de chien à la santé fragile, comme le reflète son espérance de vie plutôt courte (5 à 8 ans), même pour un chien de ce gabarit.
Les principaux problèmes dont il peut souffrir sont :
Par ailleurs, le Dogue de Bordeaux est sensible aux températures extrêmes : c’est une race de chien qui supporte mal la chaleur caniculaire et le froid glacial. La forme écrasée de sa gueule fait qu’il ne peut se rafraîchir suffisamment en haletant ; de ce fait, le risque de coup de chaleur (potentiellement fatal) est particulièrement prononcé quand le thermomètre s’affole. En de telles périodes, il faut éviter toute activité intense pendant les heures chaudes de la journée, et le garder le plus possible au frais.
Enfin, son côté un peu fainéant une fois adulte implique un risque d’obésité si son maître ne lui fait pas faire suffisamment d’exercice, quand bien même il ne se montre pas particulièrement demandeur. Il faut donc veiller à lui offrir une alimentation adaptée à sa dépense énergétique et le peser régulièrement, afin de corriger rapidement le tir en cas de problème. Il est alors possible de jouer à la fois sur son niveau d’activité et sur sa ration quotidienne.
L’entretien du Dogue de Bordeaux est bien plus contraignant que ne le laisse croire sa fourrure courte.
Tout d’abord, il perd ses poils de manière régulière tout au long d l’année ; contrairement à la plupart des races, il ne connaît pas de périodes de mue particulièrement marquées. Une à deux séances de brossage hebdomadaire ne sont pas de trop pour éliminer les poils morts.
Ces séances doivent également être l’occasion d’un nettoyage de son pelage à l’aide d’une serviette, afin de s’assurer que ses rides ne retiennent ni poussière ni humidité. En effet, elles pourraient causer la prolifération de bactéries, entraînant odeurs désagréables et risques d’infection. Une attention particulière doit être portée aux rides de sa tête : comme il bave énormément, la saleté a tendance à s’accumuler rapidement sur son visage, et il doit constamment être essuyé.
Le fait de le nettoyer ainsi régulièrement rend moins souvent nécessaire de donner un bain à son chien : normalement, deux à trois fois par an suffisent, à moins bien sûr qu’il se soit particulièrement sali.
Une fois par semaine, il faut également nettoyer ses yeux et brosser ses dents. Concernant ces dernières, une fréquence accrue est même recommandée pour lutter au mieux contre la formation de tartre et les risques qu’elle implique (mauvaise haleine, maladie parodontale…).
Toutefois, ce sont surtout ses oreilles qui demandent la plus grande vigilance : du fait de leur forme pendante, elles accumulent plus facilement saleté et humidité. Pour réduire le risque d’infection, une vérification et un nettoyage une fois par semaine s’imposent.
Enfin, il est nécessaire de prendre un peu de temps une fois de temps en temps pour vérifier ses griffes. Si elles sont trop longues, ce qui est souvent le cas dès lors qu’il n’est que peu actif, elles doivent être taillées à l’aide d’un coupe-ongles spécifique. A défaut, il pourrait être gêné dans ses mouvements, voire se blesser. Il faut aussi s’assurer que ses coussinets ne présentent pas de craquelures, auquel cas il est utile d’appliquer de la crème hydratante sur les coussinets du chien.
Le Dogue de Bordeaux n’est pas difficile en termes d’alimentation, et peut très bien être nourri avec les aliments industriels pour chien du commerce. Il faut simplement veiller à opter pour des produits adaptés à sa taille, son âge, et son niveau d’activité, afin qu’ils lui apportent bien tous les nutriments dont il a besoin.
L’alimentation du chiot Dogue de Bordeaux est particulièrement cruciale. En effet, alors qu’il est en pleine croissance, une alimentation trop riche et/ou trop abondante aurait de grandes chances d’accélérer encore cette dernière, avec potentiellement à la clef des problèmes articulaires dont il souffrira ensuite toute sa vie.
Par ailleurs, quel que soit son âge, il est recommandé de diviser sa ration quotidienne en au moins deux repas, afin de limiter le risque de dilatation gastrique. Ils doivent être espacés et pris au calme. En outre, l’activité physique du chien doit être limitée dans l’heure qui précède et surtout dans celle qui suit.
Comme tous les chiens, et a fortiori s’il est peu actif, le Bulldog de Bordeaux peut souffrir d’obésité. Afin d’éliminer ce risque, il est nécessaire de faire attention à son alimentation et de le peser régulièrement, afin de réagir dès les premiers signes d’embonpoint. Une diminution de ses rations et une augmentation de son activité physique permettent le plus souvent de corriger le tir. Si ce n’est pas le cas, il faut se tourner vers le vétérinaire pour écarter la piste d’une maladie et établir un régime alimentaire mieux adapté à ses besoins.
Enfin, comme tout chien, il doit avoir en permanence accès à de l’eau fraîche, a fortiori lorsqu’il fait chaud.
Si le Dogue de Bordeaux était souvent utilisé pour la chasse au Moyen Âge, c’est une fonction qu’il ne remplit plus que rarement de nos jours. En effet, les chasseurs ne recherchent plus un chien capable de capturer à lui seul un sanglier : ils préfèrent des races plus agiles capables de se faufiler en forêt, et dotées d’un odorat plus développé qui leur permet de débusquer le gibier.
En revanche, il continue à exercer à merveille le rôle de chien de garde, et le simple fait de l’avoir à ses côtés permet de se sentir en sécurité en toutes circonstances. Naturellement peu agressif, il mise plutôt sur l’intimidation pour faire fuir les éventuels intrus ou agresseurs, mais n’hésite pas à faire parler sa force si le besoin s’en fait sentir.
Malheureusement, il continue aussi à être utilisé dans des combats de chiens organisés généralement de manière illégale, surtout en Grande-Bretagne.
Ses qualités physiques peuvent également être mises à profit pour déplacer de lourdes charges. Tirer un chariot demande de la puissance, mais peu de vitesse : ceci lui convient parfaitement. S’il ne peut évidemment pas labourer un champ, il peut aider à travailler dans un petit jardin, par exemple en tirant une carriole pleine de semis et de terreau.
Il n’en reste pas moins que son usage le plus courant aujourd’hui est tout simplement celui de chien de compagnie affectueux et calme. Il est idéal pour une famille disposant d’un jardin et souhaitant un compagnon capable d’assurer la sécurité de la maison tout en n’étant pas trop demandeur de sorties, promenades et autres séances de jeux.
En France, le Dogue de Bordeaux n’est pas considéré comme dangereux : la détention de spécimens enregistrés au LOF est autorisée sans contrainte particulière. En revanche, leur gabarit fait que ceux qui ne sont pas enregistrés au LOF, et ne sont donc pas considérés par la loi comme de véritables Dogues de Bordeaux, peuvent être assimilés à un chien de catégorie 1, et donc interdits.
En Belgique, la race est sur la liste des chiens dangereux définis par l’arrêté ministériel de 1998. Avant toute adoption ou déménagement, il est donc recommandé de se renseigner auprès de l’administration locale pour connaître les éventuelles restrictions en vigueur dans la commune.
En Suisse et au Québec, la législation diffère d’un canton / d’une région à l’autre, et de nombreux arrêtés municipaux peuvent imposer des restrictions supplémentaires. Avant d’envisager d’adopter un Dogue de Bordeaux, il est donc indispensable de s’informer sur la législation locale.
Le prix d’un chiot Dogue de Bordeaux est d’environ 1600 euros, qu’il s’agisse d’un mâle ou d’une femelle.
Au Canada, les chiots French Mastiff coûtent entre 1500 et 3000 dollars canadiens.
Nombre de propriétaires et d’amoureux de la race se souviennent de Hooch, le Dogue de Bordeaux accompagnant Tom Hanks dans Turner et Hooch (1989, Roger Spottiswoode). Ce film a grandement contribué à populariser la race en Amérique du Nord. Malgré ses talents d’acteur indéniables, Beasley, le chien alors âgé d’un an et demi qui joua Hooch, n’a tourné dans aucun autre film.
Peu se souviennent en revanche que cette race tenait un rôle majeur dans les spots publicitaires de Mentos au cours des années 90.
En France, Le Dogue de Bordeaux apparaît sur la couverture du livre Histoires de chiens extraordinaires (2012), écrit par la chanteuse Eve Angeli.
Bonjour, alors moi j'ai un dogue de bordeaux. Falco, c'est mon gros bébé d'amour... On l'aime et qu'est ce qu'il nous fait marrer. Il est très propre et très patient... Il vit très bien... adore les balades en voiture, les courses, aller a son magasin ou il peut choisir ses jouets et on lui achète toujours un cadeaux quand on part et il le sait, il adore ça.... Ensuite, j'ai un super veto... Falco mange de tout.... comme nous et a toujours ses croquettes pro plan, en complément qu'il mange tous les jours après ses repas... le soir après plus belle la vie il bondit pour avoir son dessert, génial.. il est trop fort... il comprend tout, très malin... très calin... il adore les enfants... et la vie tout simplement, il a presque 8 ans et toujours encore bien en forme... mais bon il passe sa journée devant la télé... lol.. il adore sa tranquillité et nous fait la fête le soir... mais tout le monde dans la famille l'aime car il sait se faire aimer par son intelligence et l'amour qu'il donne à sa façon... Il déteste si on est triste et va faire en sorte que vous ne le soyez plus.... il mange de la bonne viande de boucherie... des pâtes.. au ptit déjà c'est tartine grillées... dessert c'est yaourt.. Biscuit... il boit de la soupe...de lait.. adore le fromage... mange parfois des légumes... fin il mange de tout... et mon veto me la toujours dit... il doit tout manger... et lui laisser ses croquettes... j'ai fait la même chose avec mon rottweiller et je l'ai gardé plus de 12 ans, j'ai du le faire partir suite à un ostéosarcome à la rotule.. mais son coeur était encore bien en forme et il ne voulait pas quitter la vie... je ferais tout pour que mon Falco vive le plus longtemps et lui fais tous ses plaisirs et caprices.. mais il est très respectueux... si je lave, il attend que se soit sec, il ne pietinne pas, je crois même qu'il est maniaque comme moi car il n'aime pas le bordel ou les travaux lol, mais mon dogue de bordeaux, c'est ma vie... et mon homme pareil, on l'aime plus que tout au monde.... Falco on t'aime
j'ai la chance d'avoir un dogue de Bordeaux qui va avoir 8 ans ce 27 janvier. Comme on dit "plus gentil que ça tu meurs". Fidèle, calme protecteur, patient.
J'ai eu bcp de chiens mais c'est certainement une des meilleures races. Seul soucis, son odeur et sa bave. Sinon quel plaisir. Il fait 70 kg bien que mince et a une force d'Hercule. Il vit avec moi sur mon bateau et en compagnie de petits chiens. Philippe
bonjour moi j ai perdu mon dogue de bordeaux y a quelque annee lors qui avais 3ans il etais hors norme il pesais 85kilos et +-95cm au garot il etais si jentil si calme quand on m a dit j ai un dogue d bordeux agressif jlui ai dit c est les maitre qui les rend comme sa .....maintenant quand je vois les dogue qui a mtn sont petit et moi muscler
Bonjour je rêvais d'avoir un chien de cette race depuis plus de 20 ans.
J'ai enfin passé le cap et Mastar (mâle) a désormais 1 an, il est né 1 jour après notre petite fille.
Je ne peux tarir d'éloges sur cette race :
- il est ultra doux et affectueux, voire même parfois pot de colle. C'est vraiment un chien familial qui demande beaucoup d'attention et d'affection.
- il n'aboie presque jamais à tel point que je le croyais aphone au départ.
- il bave très peu contrairement aux idées reçues si on ne l'habitue pas à mendier et qu'il n'est pas stressé.
- il fait l'admiration de tous lorsqu'on le promène.
- après 1 an je ne l'ai jamais entendu grogner une seule fois, il fait même ami-ami avec les chatons et oiseaux du voisinage. Même les insectes il s'amuse avec sans leur faire de mal...
- il est très intelligent et respecte les règles qu'on lui impose.
Seul bémol car il y en a un il est très destructeur lorsqu'on le laisse seul la nuit. 4 séchoirs à linge, mobilier de jardin en bois, casque audio, télécommande de portail : tout est bon pour développer sa mâchoire puissante. Donc avis à tous ne laissez rien trainer !
Je ne peux que recommander cette race, symbole d'amour et de fidélité.
le dogue de bordeaux est un chien admirable malheureusement le mien je l'est perdu à 6 ans, probablement par un cancer des reins, nous avons jamais bien su ni le vétérinaire, en 3 semaines il a perdu 13 kg il ne pouvais plus se lever, je conseille vivement ce chien parce que c'est que du bonheur
salut à tous, j'ai une petite fille de 7 mois et je veux avoir un dogue de bordeaux!! est ce qu'il serait dangereux pour mon bébé?? merci de me répondre ceux qui ont déjà un dogue et des bébés?
Bonjour ,moi j'ai un dogue de bordeaux ,elle est adorable comme tout ,elle a deux ans ,elle fait fait 53kg c'est très muscler mais c'est une boite a calin
bonjour a tous mon dogue a 6mois petit souci toujour pas propre mes super adorable avec les enfants et le york le miens bave pas 26 kilo amour
Idéal quand on a des enfants même très jeune. Très doux avec eux, jamais constaté le moindre signe d'agressivité. Ma chienne a 3 ans et c'est 50 kg de tendresse et d'amour. C'est ma deuxième et dès qu'elle fera des petits, j'en garde un. Très dissuasif car impressionnant. Ecoute très bien lachée, mais difficile à tenir en laisse.
j'ai un dogue il est tres amitieu il adore sortir jms eu besoin de laisse il repond au doit et a loeil sans jamais de dressage il es super gentil avec les enfant faire intention lorque ke lon joue vu la corpulence il pourrait bousculer sans faire expres chien tres calme mais sait defendre .je me suis fai cambrioler le chien a atraper la personne et la maitriser lorque jsui ariver il été assi dessu et le tener par la gorge il ma vu ariver lai lasser et parti se recoucher mdr ces un chien super !!
j'adore cette race de chien, se sont des chiens très impressionnant mais tellement gentil et proche du maitre.
Je viens de faire 'acquisition d'une femelle, elle a 3 mois, elle me suit partout et une grande douceur se dégage de ses yeux, elle est très pot de colle et très sensible. elle adore la voiture et se laisse bercer, pour s'endormir très vite. je suis ravi !
Nous avons eu pendant pls années une magnifique femelle. C'est une race à part, magique.
D'une douceur exemplaire avec les enfants et les amis, mais ferme quand il faut.
Jamais eu le moindre problème avec.
Une race à part...
Race super. J'avais 2 femelles, une euthanasiée il y a 7 mois car se paralysait, il en reste une qui a 8 ans et demi. C'est une race adorable avec les enfants, calme , dévouée. Il n'est pas utile de crier mais de les prendre par la douceur, fermement et vous en obtiendrez le meilleur, que du bonheur et de la tendresse! nous avons aussi un westie, mais là, c'est plus vif!
j en ai un chien tres intelligent elever avec des enfants affectueux obeissant trs sportif moi je l aime mai n aime pa tro les autre chien il est possesif
moi jai une femelle de 5 mois imposible de la fair marcher en laisse vos conseil seront les bien venu merci cordialement
J'aime beaucoup cette race, ma fille a une femelle ( gizeL) adorable, trés, quant ma fille était malade gizel se mettait à sa hauteur pour qu'elle puisse se lever. Il suffisait qu'elles se regardent pour se comprendre. Je l'adore.
pour la marche en laisse le dogue de bordeaux n'aime pas les contrainte d'abord il doit accepter le collier ensuite la marche en laisse et doit savoire ses limite si on le lache
Bonjour, nous possédons un dog de Bordeau mais je ne sais pour quelle raison, chaque fois que nous partons mais... Lire la suite