Avec l'été arrivent généralement le beau temps et les températures agréables, propices à toutes sortes d'activités en extérieur, seul ou avec son animal de compagnie. Promenade, randonnée, course à pied, sports canins... : ce n'est pas le choix qui manque.
Mais lorsque les températures montent, on apprécie généralement les activités aquatiques. Or, un grand nombre d'entre elles peuvent elles aussi être effectuées en compagnie d'un chien - d'autant que celui-ci apprécie généralement de se baigner et de se rafraîchir dans l'eau.
Voici donc pas moins de neuf idées d'activités aquatiques à faire avec son chien, ainsi que quelques conseils et précautions à respecter pour que tout se passe au mieux.
Tout le monde n'a pas la chance d'habiter près de la plage, ni d'y partir pendant les vacances. Toutefois, si l'on a cette possibilité, autant en faire profiter aussi son compagnon. La plage est en effet un environnement bien différent de ceux qu'il a l'habitude de fréquenter au quotidien : la sensation du sable sous ses pattes, le bruit des vagues, l'odeur du sel et des algues... ont toutes les chances au moins de l'intriguer et le stimuler, si ce n'est de le ravir. S'il est bon nageur, il peut aussi faire trempette et/ou jouer avec les vagues.
Cela dit, toutes les plages ne sont pas autorisées aux chiens, loin de là. Il faut donc d'abord prendre la peine de se renseigner sur les endroits où la présence d'animaux de compagnie est effectivement tolérée, et les horaires éventuels s'il y a des contraintes à ce niveau.
Dans tous les cas, il convient bien sûr de toujours garder un oeil sur son chien, afin d'éviter qu'il ne dérange les animaux sauvages ou les autres personnes présentes sur la plage, ainsi que leurs éventuels animaux.
Lorsqu'on a un chien qui aime nager, une bonne façon de lui faire plaisir est de l'emmener se baigner dans un lac ou un étang à proximité de chez soi.
C'est en effet généralement une activité plus accessible que de se rendre à la mer (sauf si bien sûr on habite près des côtes), et où les risques de noyade ou d'accident (piqûre par une méduse ou un oursin, collision avec un bateau...) sont moindres. Certes, c'est moins dépaysant pour l'intéressé - voire aussi pour son maître - que de se rendre à la plage, mais il y a malgré tout de grandes chances qu'il apprécie l'expérience.
Il faut toutefois savoir que tous les lacs ne sont pas autorisés aux animaux de compagnie en général, et au meilleur ami de l'Homme en particulier. Les raisons peuvent être diverses : une eau polluée ou insalubre (par exemple si elle est contaminée par des cyanobactéries, très toxiques pour les chiens), une volonté de protéger la faune ou la flore locale, ou celle de ne pas déranger les autres baigneurs. Il faut donc se renseigner en amont, pour veiller à choisir un lieu adapté et éviter toute mauvaise surprise une fois arrivés...
Lorsqu'on ne vit ni près de la mer ou de l'océan, ni près d'un lac, une dernière option pour permettre à son chien de se baigner est d'installer une petite piscine de jardin. Cela demande certes d'avoir un peu de place chez soi, mais c'est une activité aquatique finalement assez pratique et économique, qui a toutes les chances de le ravir - en plus de l'aider à se rafraîchir lorsqu'il fait chaud.
Une piscine pour chien de petite taille ne mesure qu'un ou deux mètres de diamètre, et une trentaine de centimètres de hauteur : juste assez pour qu'il puisse se tremper dans l'eau, barboter et se rafraîchir. Elle est plus solide que les piscines pour enfants ou pour humains, ce qui évite que l'animal la déchire trop vite avec ses dents ou ses ongles. Les plus grandes peuvent quant à elles atteindre des dimensions impressionnantes et lui permettre de se baigner avec sa famille, mais présentent l'inconvénient de devoir être traitées avec du chlore ou d'autres produits, pour maintenir l'eau saine et éviter la prolifération d'algues et de microbes.
Il existe également des piscines publiques - et même des parcs aquatiques - dans lesquels les chiens peuvent aussi se baigner. Ils sont encore peu nombreux à ce jour, mais si on a un compagnon qui aime beaucoup nager et que l'occasion se présente, ce peut être une expérience amusante à partager avec lui.
De manière générale, le chien aime beaucoup aller chercher un objet ou un jouet qu'on lui lance : il peut d'ailleurs s'amuser ainsi pendant de longues minutes. Or, il est parfaitement possible de transformer ce petit jeu en activité aquatique, en lui demandant d'aller récupérer un objet jeté dans l'eau. Cela peut être une balle, un frisbee, un jouet, ou un même un simple bâton de bois - la seule contrainte étant qu'il doit pouvoir nager avec sans trop de difficultés.
Cette activité se pratique aussi bien dans une piscine que dans un lac, un étang ou encore à la plage - à condition évidemment que la mer ne soit pas trop agitée. En revanche, mieux vaut éviter de le faire dans une rivière ou un fleuve, car le courant pourrait entraîner au loin l'objet en question - et le pauvre animal avec...
Cette activité est toutefois destinée surtout aux bons nageurs : en effet, cela n'a rien d'évident pour un chien de se déplacer dans l'eau sur plusieurs mètres - voire dizaines de mètres - en tenant dans sa gueule un objet de type balle ou frisbee. S'il ne nage pas très bien, il pourrait facilement avoir du mal à avancer, boire la tasse, ou même se noyer... Mieux vaut alors lui jeter à chaque fois l'objet près du rivage, à un endroit où il a pied : cela lui permet de barboter dans l'eau sans lui faire prendre de risques inconsidérés.
La plaisance consiste à faire une sortie sur l'eau pendant quelques heures (voire quelques jours) à bord d'un petit bateau à moteur ou à voile. Elle se pratique aussi bien en eau douce (sur un fleuve, un lac...) qu'en eau salée, et peut éventuellement être entrecoupée de pauses permettant notamment de se baigner.
Que l'on possède son propre bateau ou qu'on en loue un à bord duquel les chiens sont acceptés, il n'y a a priori aucune difficulté à emmener son compagnon avec soi dès lors que son gabarit est compatible avec la taille de l'embarcation. S'il aime l'eau et est bon nageur, il y a des chances qu'il apprécie cette activité. Mieux vaut tout de même l'attacher au bateau, pour pouvoir facilement le récupérer s'il tombe à l'eau.
Néanmoins, comme dans n'importe quelle activité, il faut s'assurer en permanence qu'il se sent bien, et ne pas hésiter à écourter la sortie si à un moment on constate que ce n'est plus le cas. Du reste, dans le cas d'un chien qui souffre du mal de mer, mieux vaut évidemment privilégier des sorties courtes et en eaux calmes - voire renoncer carrément à cette idée s'il est particulièrement sensible. En tout état de cause, il n'est pas forcément pertinent de prendre son compagnon à bord si la mer est agitée : en en va tant de son bien-être que de sa sécurité.
Le stand up paddle, souvent appelé simplement « paddle », a le vent en poupe. Cette activité consiste à se tenir debout (ou éventuellement à genoux) sur une planche et à avancer à l'aide d'une pagaie, la principale difficulté étant de parvenir à rester en équilibre. Moins éprouvante et difficile que le surf ou la planche à voile, elle convient aussi bien aux personnes sportives qu'à celles qui ne le sont pas.
Comme la planche est suffisamment longue et stable, il est tout à fait possible d'y installer son chien. Il suffit pour cela de lui apprendre à rester tranquille, pour qu'il ne risque pas de tomber à l'eau ni de gêner les mouvements de la pagaie. Certaines planches sont dotées d'une surface antidérapante : c'est l'idéal pour initier son compagnon à cette activité, car cela l'aide à se maintenir en place. Si la planche que l'on possède n'en est pas équipée, il est possible d'acheter un revêtement antidérapant dans le commerce et de l'y fixer.
Le cani-paddle est une activité assez simple et qui demande assez peu d'efforts physiques, mais ne peut se pratiquer que sur une eau plutôt calme. Une fois que cet exercice est maîtrisé, il est possible de passer au niveau supérieur, c'est-à-dire de tester le cani-surf.
Plus difficile et fatigant que le paddle, le surf n'en est pas moins le sport de glisse par excellence. Il se pratique lui aussi sur une planche, mais contrairement au paddle, aucune pagaie n'est nécessaire ; tout l'enjeu est de réussir à rester sur la planche tout en se laissant porter par les vagues. Originaire de Hawaï, cette pratique s'est exportée un peu partout dans le monde, même si c'est surtout aux États-Unis et en Australie qu'elle compte le plus d'adeptes.
Comme le paddle, le surf peut se pratiquer avec un chien. Le principe est le même : l'animal se place à l'avant (ou éventuellement à l'arrière), pendant que son maître guide la planche, la maintient et l'oriente avec ses jambes. Il existe même des compétitions de surf pour chien, lors desquelles il est seul sur la planche !
Contrairement au cani-paddle qui est à la portée de tout le monde, même sans beaucoup d'entraînement, le cani-surf est bien plus difficile, à cause de l'instabilité causée par les vagues. Pour pouvoir en faire avec son compagnon, mieux vaut être déjà soi-même un bon surfeur. À défaut, il a des chances de ne pas apprécier le fait de tomber sans cesse dans l'eau...
Activité très appréciée par beau temps, le canoë-kayak se pratique assis dans une petite embarcation tout en longueur semblable à une pirogue, et avec une pagaie assez courte. Il permet d'évoluer aussi bien sur des eaux calmes que des eaux vives, c'est-à-dire avec du courant. Ainsi, il offre l'occasion de naviguer aussi bien sur un lac, une rivière ou un fleuve que sur une mer ou un océan.
Il n'est pas bien compliqué de pratiquer cette activité aquatique avec son chien : il suffit de disposer d'une embarcation suffisamment grande pour l'accueillir et de l'y installer à l'avant, quitte à l'attacher avec une laisse pour qu'il ne puisse être emporté par le courant si jamais il tombe à l'eau.
Si on ne possède pas son propre matériel, faire du canoë-kayak avec son animal suppose toutefois de trouver un loueur qui accepte que les chiens montent à bord. Tous ne le font pas, car ces derniers peuvent abîmer les embarcations avec leurs ongles ou leurs dents.
Aussi connu sous le nom de « randonnée aquatique », le canyoning consiste à suivre le cours d'une rivière ou d'un cours d'eau, généralement dans le sens du courant. Le débit de l'eau est souvent faible, mais il arrive aussi qu'il soit assez élevé - au moins dans certains passages. Selon le parcours, différentes aptitudes peuvent être nécessaires : la nage bien sûr, mais aussi la grimpe ou la descente en rappel, entre autres.
Contrairement aux autres sports aquatiques, le canyoning est assez technique pour un chien, a fortiori s'il est de petite taille. En effet, même si bien sûr il existe des parcours plus simples, beaucoup demandent de descendre des toboggans, escalader des rochers, traverser une rivière... Autant dire qu'un chien peu sportif, âgé, malade ou même tout simplement peureux risque de ne pas apprécier l'expérience !
Si l'on souhaite malgré tout l'emmener avec soi, il faut choisir le parcours avec grand soin pour éviter de se retrouver dans des endroits trop difficiles voire dangereux, et ne pas hésiter à l'aider à franchir certaines étapes qu'il aurait du mal à faire seul. L'idéal est de commencer par des circuits faciles et courts, pour voir comment il se comporte et s'il apprécie l'expérience : si c'est le cas, il sera possible ensuite d'éventuellement augmenter la longueur et la difficulté.
Partager une activité aquatique avec son chien nécessite un certain nombre de précautions afin que tout se passe bien pour tout le monde, et donc de vouloir réitérer l'expérience à l'avenir .
Si un chien n'aime pas le contact de l'eau, voire en a peur (ce qui est rare, mais peut arriver par exemple s'il a vécu un traumatisme), il est inutile et même contreproductif de le forcer à faire une activité nautique.
Cela risquerait en effet non seulement de lui faire passer un mauvais moment, mais en plus de le braquer voire de lui faire développer une phobie de l'eau. Partager un loisir est supposé être agréable pour tout le monde, et contribuer à développer la complicité maître-chien : si on le force, c'est plutôt l'inverse qui risque de se produire.
Il faut d'autant moins insister que ce ne sont pas les autres options qui manquent : randonnée, sortie à vélo, frisbee, jeux de balle ou de recherche d'objets, etc. Qu'elles se déroulent ou non en milieu aquatique, mieux vaut donc ne pas lui imposer des sorties qu'il n'apprécie pas - quitte à retenter l'expérience plus tard, au cas où ses goûts et/ou ses craintes évoluent entretemps.
Un chien peut parfaitement adorer se baigner sans pour autant être un bon nageur. C'est le cas par exemple du Scottish Terrier ou du Carlin, dont la morphologie particulière n'est pas adaptée à la natation. C'est aussi souvent le cas d'un chiot ou d'un sujet âgé, qui fatigue en général plus rapidement lorsqu'il doit effectuer un effort physique.
De plus, même s'il est d'ordinaire très à l'aise en milieu aquatique, un chien peut certains jours être fatigué voire malade, ou plus généralement ne pas être au maximum de ses capacités physiques. Une activité éprouvante comme la baignade ou la nage n'est alors pas recommandée, d'autant que cela risquerait d'aggraver son état.
Il est donc important de connaître les limites physiques de son compagnon et de les prendre en compte, ce qui signifie en premier lieu de choisir des activités de nature et de durée adaptées à sa condition. Par exemple, tandis qu'une courte promenade à la plage ou au bord d'un lac est adaptée pour tous, le canyoning et le surf sont en revanche à réserver aux chiens les plus sportifs. Dans tous les cas, il faut aussi être capable d'identifier les signes de fatigue de son animal, et d'interrompre alors l'activité - que ce soit temporairement (faire une pause) ou définitivement (prendre le chemin du retour).
Qui dit activité nautique dit aussi nage, baignade ou en tout cas eau à proximité. Or, même si le chien sait normalement nager d'instinct (comme d'ailleurs beaucoup d'autres mammifères), il a tout de même besoin d'un peu d'entraînement au départ, pour apprendre à faire des mouvements efficaces et moins se fatiguer en nageant. C'est le meilleur moyen de limiter le risque de noyade.
Par conséquent, si l'on a dans l'idée de partager une quelconque activité aquatique avec son compagnon, il est préférable de lui apprendre à nager en amont. Attendre qu'il soit suffisamment à l'aise dans l'eau avant de se lancer permettra à tout le monde de profiter d'autant plus sereinement de la sortie.
Le fait qu'il sache nager ne dispense pas d'équiper son compagnon d'un gilet de sauvetage, en veillant à ce que celui-ci soit adapté à ses dimensions.
En effet, même les meilleurs chiens nageurs ne sont pas à l'abri d'une noyade. Il suffit en effet d'un courant un peu trop fort, d'une vague un peu haute, d'un coup de fatigue... pour que l'impensable se produise.
Un gilet de sauvetage pour chien présente deux avantages majeurs :
Ce n'est pas un accessoire onéreux, puisque les modèles les moins chers ne coûtent guère plus d'une vingtaine d'euros. De surcroît, il n'est pas difficile à utiliser. Pour éviter tout risque inutile, autant donc en avoir un et le faire porter à son compagnon - y compris en eaux calmes et/ou peu profondes.
La chaleur est peut-être l'ennemi le plus redoutable du chien, car il est particulièrement retors : si rien n'est fait, un coup de chaleur peut causer sa mort en seulement quelques dizaines de minutes.
En effet, le meilleur ami de l'Homme est bien moins résistant aux hautes températures que nous le sommes. C'est lié notamment au fait qu'il transpire très peu : lorsqu'il a trop chaud, il doit haleter, ce qui est nettement moins efficace pour se refroidir que la transpiration. Certes, pratiquer une activité aquatique permet de rafraîchir son chien, mais cela ne suffit pas forcément pour écarter totalement la possibilité d'un accident liés aux températures élevées.
Pour réduire le risque qu'un chien soit victime d'un coup de chaleur, il faut lui donner souvent à boire, lui prévoir un coin d'ombre (par exemple avec un parasol) pour qu'il puisse échapper au soleil, mouiller son pelage pour l'aider à se rafraîchir, etc. On peut aussi envisager de l'équiper d'un manteau rafraîchissant pour chien, un accessoire bien utile pour l'aider à évacuer la chaleur de son corps en continu. En outre, il convient bien sûr de surveiller son état tout au long de l'activité, pour pouvoir intervenir - et éventuellement mettre fin à cette dernière - s'il ne se sent pas bien.
Cela dit, si vraiment il s'agit d'une journée très chaude, mieux vaut probablement éviter de sortir et garder son compagnon au frais à la maison, c'est-à-dire reporter l'activité à un autre jour plutôt que de prendre des risques inutiles.
Il n'y a pas que la chaleur qui constitue un danger : le soleil aussi.
En effet, même si le chien est globalement bien protégé par son pelage (à l'exception évidemment des races nues), certaines zones restent exposées au soleil : oreilles, bout du nez, ventre... De plus, le risque de coup de soleil est accru lorsque la peau est mouillée, car l'eau agit comme une loupe et augmente l'effet des rayons.
D'ailleurs, comme pour un humain, il n'y a pas forcément besoin qu'il fasse beau pour qu'un chien attrape un coup de soleil : cela peut arriver aussi sous un ciel nuageux.
Par conséquent, en cas de longue activité en extérieur et lorsque le soleil tape fort, mieux vaut enduire la peau de son compagnon avec de la crème solaire pour chien - celle destinée aux humains n'est pas adaptée à sa peau fragile. Il faut surtout en appliquer sur les zones les plus exposées et dépourvues de poils.
Cela dit, s'il est particulièrement sensible aux rayons du soleil (par exemple s'il appartient à une race nue), le mieux est même carrément d'éviter les heures les plus chaudes de la journée, car la crème solaire risque de ne pas suffire pour le protéger efficacement.
Une fois la sortie terminée, il est important de prendre le temps de rincer son chien à l'eau claire - voire de lui faire un shampoing s'il est vraiment très sale. Cela permet notamment de le débarrasser de toutes les saletés et autres résidus qui ont pu s'accrocher dans son pelage.
C'est particulièrement important s'il a évolué dans de l'eau salée, car le sel peut causer des irritations au niveau de sa peau ou de ses coussinets - il en va d'ailleurs de même avec le sable.
Cela étant, comme l'eau douce d'un lac, d'une rivière ou d'un étang n'est pas forcément toujours très propre, le mieux est de prévoir dans tous les cas un rinçage rapide.
Par ailleurs, une fois ce dernier effectué, il faut penser à bien sécher son chien avec une serviette ou un peignoir, pour éviter qu'il ne prenne froid ou développe une infection ou une otite.
Lorsqu'on a la chance d'avoir un chien qui aime se baigner, les activités aquatiques à partager avec lui ne manquent pas. Certaines conviennent très bien aux sujets peu actifs, qui veulent juste profiter d'un moment agréable près de l'eau ; d'autres à l'inverse sont davantage physiques et surtout réservés aux grands sportifs. De fait, il y en a pour à peu près tous les goûts et toutes les attentes.
Le plaisir de partager ainsi une activité avec son compagnon ne doit toutefois pas conduire à se montrer imprudent. Il faut notamment avoir en tête que la baignade, la chaleur et le soleil présentent des risques pour sa santé. Diverses précautions permettent toutefois de limiter ces derniers, et ainsi de maximiser les chances que tout se passe bien et que chacun profite pleinement de ces moments.