Lieux de baignade autorisés aux chiens au Québec : plages, lacs, rivières...

Un chien courant dans une rivière avec une balle de tennis dans la gueule

La baignade est une activité estivale prisée par de nombreuses personnes. Toutefois, un chien peut lui aussi prendre plaisir à plonger et à jouer dans l’eau, voire à y faire quelques longueurs - que ce soit dans un lac, une rivière, un fleuve, l’océan ou même simplement une piscine. En effet, cela lui permet à la fois de se rafraîchir, de se divertir et de se dépenser.


Voici pour chacune des régions administratives du Québec une sélection de plans d’eau et cours d’eau où il est possible de laisser son chien se baigner, ainsi que quelques informations et mises en garde utiles pour le faire dans les meilleures conditions.

Sommaire de l'article

  1. Page 1 : Ce qu'il faut savoir
  2. Page 2 : Abitibi-Témiscamingue
  3. Page 3 : Bas-Saint-Laurent
  4. Page 4 : Capitale-Nationale
  5. Page 5 : Chaudière-Appalaches
  6. Page 6 : Centre-du-Québec
  7. Page 7 : Côte-Nord
  8. Page 8 : Estrie (Cantons-de-l'Est)
  9. Page 9 : Gaspésie
  10. Page 10 : Lanaudière
  11. Page 11 : Laurentides
  12. Page 12 : Laval
  13. Page 13 : Mauricie
  14. Page 14 : Montérégie
  15. Page 15 : Montréal
  16. Page 16 : Nord-du-Québec
  17. Page 17 : Outaouais
  18. Page 18 : Saguenay-Lac-Saint-Jean

Les avantages de la baignade pour un chien

Il est d’autant plus utile de permettre à son chien de se baigner que cette activité lui procure une multitude de bienfaits en termes à la fois de santé physique et de bien-être mental.

Sur le plan physique

Un chien courant dans un lac avec une balle de tennis dans la gueule

En premier lieu, se baigner permet évidemment à un chien de se dépenser. En effet, quelle que soit sa race et son âge, il a besoin de faire de l’exercice chaque jour pour être bien dans ses pattes et dans sa tête (et donc agréable à vivre).

 

La natation sollicite de nombreux muscles et est une activité physique à faible impact, ce qui veut dire qu’elle n’impose pas de stress excessif sur les articulations. Elle est particulièrement bénéfique pour un chien âgé ou souffrant de problèmes articulaires, comme une dysplasie de la hanche. En effet, les mouvements dans l'eau peuvent aider à améliorer la mobilité et à faire travailler l’ensemble du corps - à commencer par les articulations ainsi que les muscles.

 

Un autre bénéfice physique de la natation est qu’elle nécessite un effort cardiovasculaire qui est excellent, dans la mesure où il est réel mais pas trop intense. Elle est idéale dans le cas d’un chien qui rencontre des difficultés à pratiquer une activité de haute intensité ou pour qui ce n’est pas recommandé. 

 

Enfin, l'eau présente une résistance naturelle : cela aide à augmenter la force musculaire, sans pour autant entraîner un risque accru de blessure. Cet aspect peut être particulièrement intéressant notamment dans le cas d’un chien en surpoids ou obèse

Sur le plan mental

Un chien marchant dans l'eau sur la rive d'un lac québécois

En plus d’avoir un intérêt sur le plan physique, se baigner est susceptible de procurer à un chien différents bienfaits d’ordre mental.

En premier lieu, cela lui permet de varier les environnements dans lesquels il évolue, d’autant que la manière de se déplacer dans l’eau est sensiblement différente de ce à quoi il est habitué le reste du temps.

Ensuite, c’est susceptible de le calmer s’il est stressé ou anxieux, étant donné qu’il s’agit d’une activité apaisante et ludique.

Par ailleurs, les baignades peuvent être l’occasion de divers jeux aquatiques - par exemple, rapporter des objets flottants. Comme ceux effectués sur la terre ferme, ceux-ci sont synonymes de stimulation cognitive : ce ne peut être que bénéfique, a fortiori pour un chien qui passe beaucoup de temps en intérieur et/ou dont le quotidien est peu varié.

De plus, ces jeux sont souvent synonymes d’interactions entre le maître et son animal, et donc tendent à renforcer les liens qui les unissent.

Elles sont aussi parfois l’occasion pour ce dernier de rencontrer des congénères ainsi que des humains : le cas échéant, ce ne peut qu’être bénéfique pour sa socialisation, sachant que celle-ci doit être entretenue toute sa vie durant.

Les risques des baignades pour un chien

La baignade a indéniablement toutes sortes d’avantages pour un chien, mais elle ne va pas sans certains risques et inconvénients. Il est même essentiel de comprendre que d’une part elle n’est pas adaptée pour tous les représentants de la gent canine, et d’autre part elle est à proscrire dans certains environnements et certaines configurations. 

Le risque de noyade ou de blessure

Un chien qui a des difficultés à nager

Même s’il sait nager, un chien peut se retrouver en difficulté voire finir par se noyer, surtout en présence de courants forts ou de vagues imposantes. Évidemment, le risque est d’autant plus grand s’il est peu expérimenté ou de petite taille.


Il est également susceptible de se blesser, par exemple au contact de roches pointues ou de débris cachés au fond de l'eau.


De plus, sur les plages, le sable ou les galets chauffés par le soleil peuvent causer des brûlures aux coussinets, surtout lors des journées très chaudes.


Par ailleurs, si un chien a une coupure ou écorchure (même petite) au niveau des pattes, celle-ci peut être aggravée par les frottements répétés du sable, avec à la clef un risque d'infection.

Les risques liés à la qualité de l’eau

Des bateaux de plaisance ancrés dans une eau pleine d'algues vertes

Dans certains cas, l’eau dans laquelle un chien pourrait être amené à se baigner n’est pas sans dangers pour lui.

 

Ainsi, de l’eau stagnante ou polluée peut contenir des agents pathogènes qui posent des risques pour sa santé, notamment :

  • des bactéries pouvant causer des maladies graves, comme la leptospirose (par exemple des cyanobactéries) ;
  • des parasites susceptibles d’entraîner notamment des troubles digestifs et des problèmes cutanés, comme la dermatite ;
  • des algues toxiques qui, une fois ingérées, peuvent provoquer un empoisonnement.

 

Au demeurant, ces impuretés risquent aussi de causer différents autres problèmes de santé – par exemple une otite. 

Les risques associés au chlore et au sel

Une photo en gros plan de l'œil rouge d'un chien

Le sel de mer ainsi que le chlore des piscines peuvent irriter la peau et les yeux d’un chien, provoquant par exemple des rougeurs, des démangeaisons, un larmoiement, une réaction allergique... 


En outre, s’il boit de l’eau de mer en grande quantité (que ce soit volontairement ou non), celle-ci est susceptible de provoquer des problèmes digestifs : vomissements, diarrhée...


Quant au chlore utilisé pour traiter l’eau des piscines, il peut causer une  intoxication en cas d’ingestion en grande quantité – avec à la clef une déshydratation, des diarrhées, des vomissements, une hyponatrémie, des tremblements musculaires et, dans les cas extrêmes, des troubles cardiaques.

N’importe quel chien peut-il se baigner ?

Photo sous-marine d'un Labrador Retriever plongeant dans une piscine

À l’image par exemple du Labrador Retriever ou du Terre-Neuve, certains chiens sont particulièrement à l’aise dans un environnement aquatique. Ils possèdent souvent des caractéristiques physiques adaptées à la nage, telles que des pattes palmées et un pelage imperméable, ce qui leur permet de s’y déplacer aisément. En plus d’être bons nageurs, ils plongent et évoluent dans l’eau de manière instinctive. C’est généralement lié au fait qu’ils sont utilisés depuis des siècles pour y effectuer diverses tâches, notamment la récupération de gibier d’eau lors de séances de chasse ou le sauvetage de personnes en train de se noyer.  


Néanmoins, tous les chiens ne sont pas autant à l’aise dans l'eau - on peut citer en particulier ceux qui appartiennent à une race brachycéphale (c’est-à-dire au museau écrasé, par exemple le Bouledogue Français ou le Carlin). En effet, ils ont une capacité respiratoire limitée, car la morphologie de leurs voies respiratoires complique leur respiration. Or, cela vaut aussi bien sur terre que dans l’eau : la nage est donc pour eux nettement plus éprouvante, voire stressante et/ou dangereuse. Les baignades ne sont pas forcément à proscrire, mais une surveillance des plus vigilantes est absolument nécessaire afin d’éviter un accident. 

 

Cela dit, l’affinité d’un chien avec l’eau ne dépend pas seulement de sa race et de ses caractéristiques physiques, mais aussi de son expérience et de son tempérament. S’il n’a jamais été exposé à l’eau, il est tout à fait susceptible de se montrer craintif au départ. Au demeurant, chaque individu à son propre caractère : même un chien appartenant à une race prédisposée pour la baignade peut se montrer particulièrement craintif ou peu aventureux, au point même potentiellement d’y être totalement réfractaire. 


Le vécu entre aussi en ligne de compte : un chien qui a déjà connu une mauvaise expérience dans l’eau (par exemple qui a failli se noyer) en conserve potentiellement un traumatisme. Il risque alors de se montrer particulièrement anxieux à l'idée de retourner dans l'eau, voire carrément de paniquer et perdre ses moyens – avec d’ailleurs un éventuel nouveau traumatisme à la clef, et donc éventuellement un vrai cercle vicieux.


Enfin, il faut aussi prendre en compte la condition physique de l’animal. Quelle que soit sa race, un chien âgé, souffrant de problèmes articulaires, d’arthrose ou encore de faiblesse musculaire risque de peiner à se maintenir à flot. Dans une piscine, il peut alors le plus souvent rejoindre rapidement les marches ou un endroit où il a pied. Dans une étendue d’eau naturelle, les choses ont tôt fait d’être nettement plus compliquées : le risque d’un épuisement menant à une noyade est nettement plus élevé, surtout si le courant est fort ou la profondeur importante. Il est donc nécessaire d’adapter la durée des baignades en fonction de la condition du chien, et même de savoir renoncer totalement s’il est trop affaibli ou si les conditions semblent trop défavorables.

Les précautions à prendre avant, durant et après la baignade

Permettre à son chien de se baigner dans un lac, une rivière, un fleuve, un étang voire l’océan est susceptible de lui procurer différents bienfaits, mais l’expose aussi à divers risques. Le respect de certaines précautions avant, pendant et après permet toutefois de grandement maximiser les chances que tout se passe bien. 

La préparation avant la baignade

Un chien Teckel portant un gilet de sauvetage sur une plage au bord de l'eau

Avant d’emmener son chien se baigner, un minimum de préparation est requis pour assurer sa sécurité et son confort.


La première chose à faire est de vérifier les prévisions météorologiques. En effet, si une tempête ou de fortes pluies sont annoncées, mieux vaut reporter la sortie, car elles pourraient rendre l'activité dangereuse.


Ensuite, il est indispensable de prévoir de l’eau potable et une gamelle afin de le maintenir hydraté, a fortiori s’il fait chaud.


En cas de forte chaleur et si l’on prévoit de rester un certain temps à un endroit donné, il est recommandé d’emporter également un parasol pour qu’il puisse s’abriter du soleil. C’est même particulièrement crucial dans le cas d’un chien sensible à ce dernier et/ou aux températures élevées, par exemple du fait qu’il arbore un pelage ras ou est brachycéphale.


Prendre un gilet de sauvetage est également des plus utiles s’il n’est pas un nageur expérimenté.


On peut aussi prévoir des jouets aquatiques, afin de stimuler son instinct de jeu et d’exploration et rendre la baignade encore plus divertissante à ses yeux. 


Prévoir une serviette est également indispensable afin de bien le sécher une fois qu’il est sorti de l’eau, et ainsi éviter des irritations causées par l’humidité.


Enfin, il est recommandé d’emporter une trousse de secours pour chien (contenant notamment des pansements, un antiseptique et le matériel de base en cas de blessure), a fortiori si la sortie dure un certain temps.


Il faut veiller aussi à bien disposer de sacs pour ramasser ses besoins, afin de préserver la propreté des lieux.

Le choix du lieu de baignade

Une plage avec un panneau interdisant la présence de chiens

Le choix d’un endroit où laisser son chien se baigner ne doit pas être laissé au hasard ; il en va notamment de sa sécurité et son bien-être.

En premier lieu, il est bien sûr nécessaire de vérifier si sa présence est autorisée. En effet, de nombreux sites (lacs, plages, parcs…) sont soumis à des réglementations établies par les autorités locales ou les gestionnaires de ces espaces. Ces règles peuvent interdire l’accès aux chiens ou imposer des restrictions, telles que l’obligation du port de la laisse. Se renseigner en amont permet d’éviter les mauvaises surprises, comme avoir à rebrousser chemin ou se voir infliger à une amende.

Il est tout aussi important de tenir compte des conditions de baignade au moment de l’arrivée sur les lieux. Même dans un endroit considéré comme généralement sûr, les courants, la hauteur des vagues ou la température de l’eau varient en fonction des conditions climatiques. Mieux vaut reporter si l’environnement n’est pas adéquat, plutôt que de faire courir à son compagnon des risques inconsidérés.

Un autre aspect à ne pas négliger est de s’informer sur la qualité de l’eau. Si elle est contaminée ou stagnante, elle peut contenir des agents pathogènes, des bactéries ou des algues toxiques susceptibles de nuire à la santé de l’animal.  

Enfin, dans le cas d’un chien sensible aux environnements bruyants ou à la présence d’autres animaux, il est préférable de privilégier des lieux de baignade calmes et peu fréquentés. Cela réduit les sources possibles de stress, et augmente au contraire les chances que l’expérience s’avère agréable pour lui.

Pourquoi il ne faut jamais forcer un chien à se baigner

Un Teckel qui semble réticent à aller chercher sa balle dans l'eau sur une plage

Forcer un chien à entrer dans l’eau peut lui causer plus de mal que de bien.


En premier lieu, comme il n’aime évidemment pas qu’on le brusque, il est alors enclin à l’associer à une expérience négative, avec à la clef un stress accru lors de potentielles futures baignades.


En outre, il pourrait se faire mal - voire se blesser - en tentant de sortir de l’eau précipitamment. 


Cette agitation peut également le conduire à ingurgiter de l’eau, ce qui implique un risque de de troubles digestifs, d’intoxication voire de maladie grave. 


S’il ne fait pas preuve d’un grand enthousiasme voire semble craintif, il ne faut donc pas le forcer mais plutôt le laisser aller à son rythme. On peut toutefois l’inciter à franchir le pas avec des jouets flottants ou en lui montrant des congénères qui nagent. Il est aussi utile potentiellement d’atténuer sa crainte, par exemple en lui faisant porter un gilet de sauvetage pour chien : un tel accessoire lui procure une meilleure flottaison et réduit les chances qu’il se mette à paniquer. L’environnement joue aussi bien sûr un rôle : plus il est calme et sécurisant, moins l’animal risque d’être anxieux.

La surveillance et les équipements de sécurité

Un Dobermann portant un gilet de sauvetage et une balle dans la gueule, en train de sortir d'un lac

Laisser son chien aller dans l’eau implique de garder un œil attentif sur lui tout au long de la baignade, a fortiori s’il y a du courant ou des vagues. En effet, même s’il est parfaitement à l’aise dans l'eau et nage à merveille, un imprévu peut survenir à tout moment : une crampe, un malaise, un épuisement soudain...

Dans le même ordre d’idées, il est préférable de ne pas le laisser s’éloigner trop du bord ou de la rive, afin de pouvoir intervenir plus facilement et rapidement si nécessaire. 

Il est par ailleurs judicieux de faire porter à son chien d’un gilet de sauvetage, a fortiori s’il est encore peu expérimenté et peu à l’aise dans l’eau. Ce dispositif améliore sa flottabilité, ce qui l’aide à rester à la surface et à nager avec moins d’effort. La plupart des modèles disposent en outre de poignées sur le dos, permettant de le saisir et de le sortir de l’eau en cas de besoin. Par ailleurs, leurs couleurs vives permettent de repérer plus facilement son animal dans l’eau, même s’il est loin. 

Enfin, il est important d’être vigilant quant à la température de l'air et l’exposition au soleil, surtout en période estivale. En effet, un chien qui reste trop longtemps au soleil sans accès à une zone ombragée (par exemple lorsqu’il se repose ou joue sur la terre ferme après s’être baigné) court le risque d’être victime d’un coup de chaleur. Pour éviter cela, il est recommandé de limiter la durée d’exposition directe, de prévoir des moments de repos à l’ombre mais aussi de s’assurer qu’il a toujours accès à de l’eau potable et s’hydrate suffisamment.

Les soins post-baignade et la prévention des infections

Un Golden Retriever se faisant rincer à l'eau claire avec un tuyau d'arrosage

Quel que soit l’endroit où la baignade a lieu, un rinçage à l'eau douce est ensuite nécessaire pour enlever tout résidu de sel, de sable ou de produits chimiques qui pourraient irriter la peau du chien

Après cela, il faut veiller à le sécher soigneusement. Les oreilles nécessitent une attention particulière, afin d’éviter les infections (notamment les otites) : si de l'humidité y demeure, cela favorise la prolifération de bactéries et de levures susceptibles d’en être à l’origine. Les éventuels plis cutanés doivent eux aussi faire l’objet d’une vigilance accrue : ils retiennent l’humidité, ce qui fait que des micro-organismes ont tôt fait d’y proliférer, avec à la clef un risque d’irritation ou d’infections cutanées. 

Enfin, de retour à la maison, il est conseillé de bien vérifier ses pattes (en particulier les coussinets) ainsi que son pelage pour repérer d'éventuelles coupures, épines ou autres objets nuisibles. En effet, les terrains rocheux ou les plages peuvent cacher toutes sortes de débris (par exemple du verre) susceptibles de le blesser. Un examen attentif permet de s'assurer qu’il n'y a pas de problème, ou d’agir rapidement dans le cas contraire. 

Les lois concernant le port de la laisse au Québec

Un homme promenant son chien en laisse sur une plage

Au Québec, la Loi visant à favoriser la protection des personnes par la mise en place d’un encadrement concernant les chiens impose de tenir en permanence son compagnon en laisse dans les lieux publics, sauf dans les aires d’exercice canin (c’est-à-dire les parcs à chiens) ou lors de la participation à une activité canine. Elle stipule également que la longueur de la laisse ne doit pas dépasser 1,85 mètre. En outre, si l’animal pèse 20 kg ou plus, cette dernière doit être attachée à un harnais ou à un licou. 


Toutefois, chaque municipalité a la possibilité d'adopter une réglementation plus stricte que ces normes minimales. Elle peut ainsi avoir des exigences accrues concernant l'utilisation de la laisse, imposer le port d’une muselière ou encore prévoir toutes sortes d'autres obligations. 


De plus, dans les transports en commun, les chiens sont généralement admis dès lors qu’ils sont dans une cage ou un sac de transport. C’est le cas notamment à Montréal, et la STM (Société de Transport de Montréal) autorise aussi à simplement tenir son compagnon en laisse dans le métro, dès lors qu’on n’est pas aux heures de pointe et qu’il porte une muselière. 

Page 1 :
Ce qu'il faut savoir
Par Lydia H. - Dernière modification : 07/31/2025.

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