Autres noms : Chien Norvégien de Macareux
Nom d'origine : Norsk Lundehund
Pays d'origine : Norvège
Groupe : Chien de type Spitz et de type primitif
Le Lundehund est une race de chien de petite taille faisant partie de la grande famille des Spitz, et il en présente toutes les particularités : un corps rectangulaire et musclé, une tête cunéiforme aux oreilles redressées et une queue attachée haute qui s’enroule sur le dos. Néanmoins, il présente aussi de nombreuses particularités...
En premier lieu, son cou est extrêmement flexible, ce qui lui permet de pencher la tête en arrière jusqu’à ce qu’elle touche la colonne. Ceci lui est utile pour de se retourner dans les étroites fissures où il doit aller chercher les macareux.
Les articulations de ses épaules sont également étonnamment souples et lui permettent d’ouvrir les pattes avant à l’horizontal, comme un humain pourrait le faire. Cette particularité lui permet de mieux « embrasser » les falaises sur lesquelles ils grimpent.
En outre, le Lundehund est un chien polydactile ayant au moins 6 doigts à chaque patte, ce qui lui assure une meilleure prise sur les rochers. De plus, les deux doigts internes des pieds antérieurs sont composés de respectivement 3 et 2 phalanges et donnent au pied une impression de solidité.
Enfin, ses oreilles peuvent se refermer et se plier vers l’avant ou l’arrière, ce qui évite que de la poussière ou des débris entrent dans le canal auditif lorsqu’il se faufile dans les étroits tunnels menant aux nids des macareux.
En dehors de ces particularités, il porte une fourrure dense et drue, plus courte sur la tête et les pattes, qui recouvre un sous-poil doux et dense. De couleur rousse à fauve, sa robe est toujours combinée avec du blanc et est parsemée de poils à extrémité noire, qui sont plus nombreux une fois à l’âge adulte. Les spécimens bicolores blanc et gris-noir sont aussi acceptés par le standard de la race.
Ses yeux, légèrement de biais, sont de couleur jaune-brun et bien écartés au-dessus d’un museau en forme de coin avec des mâchoires généralement articulées en ciseaux, bien que l’articulation en tenaille ou un prognathisme modéré soient autorisés.
Les standards de race sont des documents établis par les organismes officiels qui listent les conditions qu'un Lundehund doit respecter pour être pleinement reconnu comme appartenant à la race :
Le Lundehund, ou Chien Norvégien de Macareux (en norvégien, « Lunde » signifie « Macareux » et « hund » signifie « chien »), est une race de chien très ancienne. Certains affirment même qu’il vivait déjà le long des côtes norvégiennes à l’Âge de glace. Si cela est bien sûr difficile à démontrer, on sait cependant qu’il cohabitait avec les Vikings et chassait déjà le macareux, un oiseau à gros bec avec un plumage blanc et noir vivant dans les régions froides de l’Atlantique Nord et du Pacifique.
Les premiers documents décrivant les aptitudes incroyables de ce chien datent du 16ème siècle. Escaladant les falaises abruptes et se faufilant dans les galeries, il ramenait à ses maîtres les précieux macareux vivants. Un chien pouvait attraper ainsi une vingtaine d’oiseaux par nuit, si bien qu’il était courant qu’un homme partant chasser avec 4 ou 5 chiens revienne avec une centaine d’oiseaux. Les villageois ne perdaient rien de ces précieux macareux : leur chair était consommée fraîche ou conservée pour l’hiver, les plumes et le duvet était utilisés pour la confection de vêtements chauds, tandis que la carcasse servait de nourriture pour les chiens.
A l’époque, il n’était pas rare qu’une famille en possède plusieurs. Toutefois, au 19ème siècle, l’instauration d’une taxe sur les chiens rendit leur possession plus difficile d’un point de vue économique, et de nouvelles techniques de chasse du macareux se développèrent, notamment à l’aide d’un filet. La combinaison de ces facteurs entraîna un déclin rapide de la population de Lundehund. Les habitants des îles Lofoten continuèrent cependant à l'utiliser, notamment sur l’île de Vaeroy.
Dans les années 30, Eleanor Christie, éleveur d’English Setter basée dans le sud de la Norvège, découvrit le Lundehund dans un article écrit par Sigurd Skaun et publié en 1925 dans une revue de chasse. Il y décrivait les admirables aptitudes de ce chien et avertissait du risque de disparition de la race. Peinée par la situation, Eleanor Christie essaya d’acquérir plusieurs de ces chiens, mais se rendit compte que ce n’était pas chose facile, car elle avait pratiquement déjà disparu.
Heureusement, en 1939, elle fit la connaissance de Monrad Mikaelsen, un pêcheur et fermier vivant à Mastad sur l’île de Vaeroy, qui avait perpétué la tradition de la chasse au macareux et possédait des Lundehund. A l’époque, seuls une cinquantaine d’individus survivaient sur l’île, et Eleanor Christie repartit avec 4 chiots, qui sont à la base de son programme d’élevage destiné à sauver la race de la disparition.
En 1943, le Kennel Club Norvégien reconnut le Lundehund comme une race à part entière. Toutefois, cette même année fut également marquée par une terrible épidémie de maladie de Carré dans les îles Lofoten, en grande partie à cause de la difficulté à se procurer le vaccin contre la maladie de Carré, alors que la Seconde Guerre Mondiale battait son plein. La population locale de Lundehund fut décimée. Monrad Mikaelsen se tourna alors vers Eleanor Christie, qui lui envoya deux femelles enceintes et deux chiots. Otter, l’un des deux chiots, ramena 14 oiseaux lors de sa première nuit de chasse, alors même qu’il n’avait jamais chassé le macareux auparavant.
L’année suivante, en 1944, ce fut au tour de l’élevage de Mme Christie d’être décimé par la maladie de Carré. Un seul chien survécut, Ask, l’un des chiots ramenés de Vaeroy. Il décéda en 1947, et son corps fût envoyé au Musée Zoologique de Bergen.
Pour des raisons personnelles, Eleanor Christie ne put reprendre l’élevage de Lundehund dans les années 50 ; ce n’est qu’en 1960 que Mikalsen lui renvoya trois chiots pour qu’elle puisse redémarrer son programme de conservation. Elle fonda en 1962 le Club du Lundehund Norvégien, qui put d’emblée commencer à travailler dans de bonnes conditions : tous les représentants de la race recensés étaient alors soit chez M. Mikalsen, soit chez Mme Christie, et leur pedigree était connu.
L’histoire chaotique de cette race connut toutefois un autre épisode tragique en 1963, lorsque tous les chiens de Monrad Mikaelsen succombèrent à une nouvelle épidémie de la maladie de Carré. Plus aucun Lundehund de pure race ne vivait alors sur les îles Lofoten ; seuls restaient six spécimens sans pedigree sur les îles de Vaeroy et Lovunden. Encore une fois, Eleanor Christie vint à la rescousse de son ami et lui fit parvenir deux chiots à l’occasion de son 75ème anniversaire.
Le Lundehund fut reconnu par la Fédération Cynologique Internationale (FCI) en 1965. Dès les années 70, quelques spécimens furent exportés en Suède, en Finlande, au Danemark, en Allemagne et en Grande-Bretagne.
Un premier représentant de la race arriva aux Etats-Unis en 1987, et un club de race fut formé dès l’année suivante. L’United Kennel Club (UKC) la reconnut dès 1995. L’American Kennel Club (AKC), l’autre organisme canin de référence du pays, fit de même en 2008.
Au début des années 2010, la population mondiale de Lundehund était estimée à un peu moins de 1500 individus, dont près de la moitié en Norvège et un quart aux Etats-Unis. Si les spécialistes estiment qu’il est maintenant sauvé de la disparition, le Chien norvégien de Macareux n’en reste pas moins une race de chien très rare, et peine toujours à gagner le cœur du grand public. Ainsi, aux Etats-Unis, il figure dans les toutes dernières places du classement des races par popularité établi par l’AKC. En Grande-Bretagne, il n’est pas même reconnu par The Kennel Club, l’organisme canin de référence. En France, seuls 29 spécimens ont été enregistrés au LOF (Livre des Origines Françaises) entre 2006 et 2018.
Le Lundehund adore sa famille et est toujours prêt à passer du temps avec elle, qu’il s’agisse de se promener avec les adultes ou de jouer avec les enfants dans le jardin, bien qu’il puisse perdre patience si des très jeunes lui tirent par exemple les oreilles ou la queue.
Il est plus réservé au début avec les personnes qu’il ne connaît pas, et a tendance à aboyer en présence d’un inconnu, sans pour autant avoir un comportement agressif. Néanmoins, il s’adapte facilement et ne tarde pas à vouloir jouer avec les nouveaux arrivants.
C’est en outre une race de chien qui s’entend bien avec les autres chiens : il est des plus heureux dans un foyer comportant des congénères avec qui il peut courir et s’amuser, et se montre extrêmement sociable avec eux.
Il accepte aussi très bien les autres animaux : si les présentations sont faites convenablement et que l’on prend les précautions nécessaires pour faire cohabiter son chien avec d’autres animaux, il vit en parfaite harmonie avec chats, rongeurs ou reptiles. La seule exception concerne les oiseaux, ce qui est aisément compréhensible au vu de son passé de chasseur de macareux : une telle cohabitation aurait de grandes chances de tourner court…
Actif, le Lundehund a besoin d’une bonne dose d’exercice quotidien pour évacuer son trop-plein d’énergie. Si son maître lui procure une activité suffisante (environ une heure par jour de promenades et de jeux), il peut tout à fait vivre en appartement, mais l’idéal reste quand même qu’il dispose d’un espace extérieur où courir librement.
Afin de ne jamais se retrouver à court d’énergie et par instinct de survie, le Lundehund a tendance à se constituer des réserves de nourriture, comme ses ancêtres le faisaient il y a plusieurs siècles pour affronter le rude hiver norvégien. Il ne faut donc pas s’étonner par exemple de retrouver des croquettes cachées sous le canapé. Certains individus marquent aussi un intérêt prononcé pour les objets brillants, qu’ils dérobent afin là aussi de les cacher quelque part dans la maison.
Par ailleurs, il n’a rien perdu de ses qualités de grimpeur, qui le rendent capable par exemple d‘escalader sans difficulté l’armoire du salon pour aller voler quelques friandises. Elles se conjuguent avec sa souplesse hors du commun pour lui permettre de se faufiler jusque dans les endroits les plus inaccessibles. Il est d’ailleurs peu probable qu’une clôture l’empêche de sortir s’il le souhaite : même si elle s’avère vraiment être trop haute pour lui, il a de grandes chances de finir par trouver malgré tout une solution en creusant un étroit passage par dessous. Néanmoins, son attachement et sa loyauté à sa famille font que le risque de fugue du chien est minime.
D’ailleurs, il est tellement proche de sa famille qu’il peut souffrir d’anxiété de séparation s’il doit passer trop de temps seul, a fortiori s’il ne dispose alors pas d’un accès libre à l’extérieur. Dès lors, le faire cohabiter avec un autre animal est une solution très pertinente pour un maître souvent absent, car il y a de grandes chances qu’il trouve là un sympathique camarade de jeu pour passer le temps.
Malgré tout, si son côté joueur et sa grande sociabilité en font un merveilleux chien pour une famille nombreuse possédant déjà d’autres animaux, son maître doit s’assurer d’avoir suffisamment de temps et d’expertise pour subvenir aux besoins de ce chien si particulier. En effet, il peut vite être têtu et/ou exploiter la moindre faille si jamais par exemple les ordres qui lui sont donnés par les différents membres de la famille ne sont pas constants. Ce n’est donc pas une race conseillée comme premier chien.
Comme pour tous les chiens, une socialisation dès le plus jeune âge est nécessaire pour avoir un Lundehund adulte calme et équilibré.
Etant très sensible, mieux vaut éviter les méthodes de dressage traditionnelles, car elles peuvent le conduire à perdre confiance en son maître. Il est préférable d’opter pour une méthode d’éducation canine basée sur le renforcement positif.
Intelligent et curieux, le Chien norvégien de Macareux peut être entraîné tout particulièrement à des exercices mettant en jeu ses capacités physiques hors du commun ainsi que son aptitude à trouver des solutions, comme par exemple retrouver un jouet plein de friandises caché derrière des caisses empilées au fond du jardin.
Par contre, son intelligence fait qu’il est important que les règles fixées soient cohérentes entre les différents membres de la famille, car il a tôt fait de comprendre qui il peut manipuler. D’une manière générale, le Lundehund est d’ailleurs plutôt une race de chien nécessitant d’avoir déjà de l’expérience comme maître.
Par ailleurs, l’apprentissage de la propreté par le chiot Lundehund peut donner un peu de fil à retordre.
Le Lundehund est particulièrement sujet aux problèmes gastro-intestinaux, si bien que certains parlent même de Syndrome du Lundehund. C’est cependant médicalement incorrect, car ce chien est en réalité prédisposé à plusieurs maladies différentes qui peuvent aussi affecter d’autres races.
Il s’agit plus précisément de :
En outre, comme de nombreuses races de chiens de petite taille, le Chien norvégien de Macareux présente un risque élevé de luxation patellaire.
Par ailleurs, son épais pelage le rend parfaitement résistant au froid et à l'humidité, mais fait qu'il est nettement moins à ses aises lorsque le mercure grimpe. Vivre par exemple sous un climat méditerranéen n'est pas recommandé pour lui.
Enfin, le Lundehund ne donne généralement naissance qu’à peu de chiots, le nombre moyen de chiots par portée étant de 2,75 chiots.
Le poil dense du Lundehund demande un brossage hebdomadaire afin d’enlever la saleté et le poil mort. Lors des mues automnales et printanières, le brossage du pelage du chien doit être quotidien, afin de l’aider à se débarrasser de l’excès de poils morts. En revanche, donner un bain à son chien n’est que rarement nécessaire.
La séance de brossage est l’occasion de vérifier les dents, les yeux et les oreilles du chien, afin de s’assurer qu’il n’y a pas de saletés qui pourraient causer une infection. Par la même occasion, il faut s’assurer que ses griffes ne sont pas trop longues et les tailler si c’est le cas, à défaut d’une usure naturelle suffisante.
Le Lundehund n’est pas difficile et accepte la nourriture pour chien du commerce, que ce soit des croquettes ou de la pâtée. Il faut cependant s’assurer que cette nourriture soit d’excellente qualité et réponde parfaitement aux besoins nutritionnels du chien. En tout état de cause, elle doit être adaptée à son âge et à son activité physique.
C’est d’autant plus vrai que certains individus ont tendance à l’embonpoint. En cas d’utilisation de friandises – notamment pour récompenser son chien dans le cadre de son éducation -, il peut être avisé de retrancher de sa portion journalière de croquettes ou pâtée l’apport calorique que représentent ces récompenses.
Par contre, il convient de souligner que même si la race est particulièrement exposée aux problèmes gastro-intestinaux, ces derniers ne sont pas dus à son alimentation. De fait, un Lundehund en bonne santé n’a pas besoin d’une alimentation spécifique. En cas de problèmes digestifs, il est conseillé de consulter un vétérinaire, qui dans certains cas recommandera une modification de l’alimentation : par exemple, s’il n’assimile pas bien les protéines, il peut être nécessaire de lui donner une nourriture surprotéinée.
Depuis des siècles, le Lundehund ramène à ses maîtres norvégiens des Macareux qu’il va chercher le long des côtes escarpées de l’Atlantique. Toutefois, le Macareux étant désormais une espèce en voie de disparition, elle est protégée, si bien que cette chasse est à présent interdite dans le monde entier.
Ses talents de chasseur d’oiseaux peuvent néanmoins toujours être utilisés à l’encontre d’autres volatiles. C’est par exemple ce que fait l’aéroport de la ville de Tromso, en Norvège : il a pour mission de repérer les nids situés à proximité de l’aéroport afin de minimiser les risques de collision entre avions et oiseaux.
Par ailleurs, avec ses particularités anatomiques qui le prédestinent à l’escalade et à la spéléologie, le Lundehund peut devenir avec l’entraînement adéquat un champion des concours d’agilité et autres compétitions de flyball.
Au quotidien, si sa propension à aboyer lorsqu’un inconnu approche peut en faire un bon chien d’alarme, il est surtout recherché pour sa tendresse et sa sociabilité, qui font de lui un chien de compagnie idéal pour un foyer actif et comptant plusieurs membres (humains et/ou animaux).
Le prix d’un chiot Lundehund se situe aux alentours de 1500 euros, mais il peut être difficile de s’en procurer, étant donné que la race est peu diffusée hors de son pays d’origine.
C’est d’autant plus vrai que chaque portée ne compte en moyenne que 2 à 4 chiots. De fait, il est courant d’être mis sur une liste d’attente avant d’être en mesure d’adopter un chiot Lundehund.
J'ai moi-même un Lundehund depuis 11 ans. C'est une très bonne rasse et contrairement à d'autres, le Lundehund est facile à éduquer. De point de vue caractère, mon chien (là je ne peux pas parler de la race car chaque individu est différent) est extrêmement gentil, attentif, protecteur et très attaché à la famille. Par contre il est extrêmement timide et ne se laisse pas toucher du tout par des étrangers (malheureusement j'étais moi même jeune quand je l'ai eu, donc je ne l'ai pas confronté dès son jeune âge aux étrangers). D'un côté c'est bien d'un autre côté je ne peux pas l'ammener aux expositions devant un juge. Car cette race est tellement rare que je conseille à ceux qui en veulent de faire l'élevage. (mais bien sûr pas n'importe comment !!!!).
Bref, je suis contente d'avoir un Lundehund (chien norvégien de macareux) qui à mon avis ne sont pas pour des débutants !!!. Mais si ils sont facile à éduquer ils sont surtout très perspicace et ont parfois leur propre tête et il faut les occuper selon leurs besoins...
Logiquement non Un chien qui joue doit quand meame eatre e0 l'e9coute. C'est le maeetre qui de9cide du moment du jeu et ce n'est pas au chien de dire je veux jouer . A la litmie, on peut tole9rer que le chien garde son jouet en gueule e0 partir du moment of9 les ordres donne9s sont exe9cute9s. Exemple, mes chiens s'assoient avec le kong encore dans la gueule. Il est important que le maeetre ait le dessus, la hie9rarchie peut eatre remise en cause. Quant au grognement, c'est justement le0 of9 je voulais en venir, c'est que le maeetre n'est plus vraiment chef de meute. Si le chien est encore jeune, cela pourra se rattraper facilement, mais il va falloir que le maeetre se fasse aider.@Michel : on peut comprendre cette histoire de diaphragme, or ici, il est dit que le chien grogne sans s'asseoir (enfin, je l'entends ainsi mais je peux me tromper)
le lundehund est un chien super rare. C'est dommage parce que je rêve d'en avoir un.
Partager un avis ou des conseils