Autres noms : Chien Thaïlandais à Crête Dorsale
Nom d'origine : Mah Thai Lang Ahn
Pays d'origine : Thaïlande
Groupe : Chien de type Spitz et de type primitif
Le Thai Ridgeback est un chien de grande taille à l’allure noble et digne, dont la morphologie a très peu changé au fil des siècles. Sa musculature est bien développée, ses côtes sont bien cintrées et ses pattes sont puissantes. Sa queue est épaisse à la base puis s’amenuise en allant vers l’extrémité. Elle est légèrement recourbée et portée verticalement.
Sa tête a une taille proportionnelle à celle du corps. Le crâne est plat entre les oreilles et légèrement arrondi vu de profil. Lorsque le chien est alerte et concentré, des rides apparaissent sur son front.
De dimension moyenne, ses yeux sont en forme d'amande et de couleur brun foncé. Toutefois, chez les sujets dont la robe est bleue, ils peuvent aussi être de couleur ambre. Quant aux oreilles, elles sont de forme triangulaire, de taille moyenne, inclinées vers l'avant et attachées sur les côtés du crâne. La truffe est noire, mais les individus au pelage bleu peuvent là aussi faire exception et arborer une truffe bleuâtre.
La particularité physique la plus remarquable de cette race est bien sûr la crête formée sur son dos par son poil court et lisse, qui pousse dans la direction opposée au reste du pelage. Elle peut être de forme et de longueur variée, au point qu’il existe jusqu’à huit modèles de crêtes différentes, parmi lesquels on trouve des formes de flèche, de guitare, de boucle ou encore d’aiguille. Dans tous les cas, elle doit être toujours symétrique de part et d’autre de la colonne vertébrale et ne pas dépasser la largeur du dos. Certains sujets peuvent avoir également des écussons ou des épis à l’avant de la crête. Certains individus naissent sans crêtes, mais ils ne peuvent alors être reconnus comme Thaï Ridgeback et sont exclus de la reproduction. Il en va de même de ceux qui arborent un poil pelucheux au lieu de lisse.
La robe doit être uniforme, et sa couleur grise (bleu), noire, rouge ou fauve très clair. Dans le cas où elle est rouge, un masque noir est possible, mais pas systématique. Par ailleurs, quelle que soit la couleur du pelage, des pigmentations ou des taches de couleurs peuvent aussi apparaître sur sa langue.
Enfin, le dimorphisme sexuel est bien marqué chez cette race, puisque les mâles sont plus grands mais surtout nettement plus massifs que les femelles.
Les standards de race sont des documents établis par les organismes officiels qui listent les conditions qu'un Thaï Ridgeback doit respecter pour être pleinement reconnu comme appartenant à la race :
Originaire de Thaïlande et connu également sous le nom de Chien Thaïlandais à Crête Dorsale, le Thai Ridgeback est une race de chien ancienne, puisqu’il existe depuis l’Antiquité. Il serait un proche cousin du Phu Quoc Ridgeback, une race d’origine vietnamienne.
Descendant probable du Funan Ridgeback ou du Hottentot, deux races aujourd’hui disparues, il était utilisé pour tirer des charrettes et escorter des convois de marchandises et des chars dans la partie orientale de la Thaïlande, ainsi que sur l’île de Dao Phu Quoc. Il officiait aussi comme chien de garde dans les fermes et les habitations. Très polyvalent, on le trouvait aussi employé comme chien de chasse : il s’en prenait à la fois à la vermine (rats, etc.) et aux grandes proies représentant un danger pour l’homme, comme les cobras et les sangliers sauvages.
Les difficultés de communication et de transport entre l’est et l’ouest de la Thaïlande permirent à ce chien de conserver ses caractéristiques physiques d’origine, puisqu’il ne subit aucune intervention humaine, ce qui fait qu’encore aujourd’hui il s’agit d’une race de chien primitive. D’ailleurs, jusque dans les années 90, la race fut exclusivement élevée dans son pays d’origine : ce n'est qu’une fois que les moyens de transport modernes furent introduits en Thaïlande que le Thai Ridgeback commença à être connu dans tout le pays puis exporté à l’étranger.
Ce fut le cas notamment vers les États-Unis en 1994. Un mâle et deux femelles, nommés respectivement Sakorn, Bent et Navinee furent alors importés de Bangkok par un certain Jack Sterling, qui se lança dans un programme d’élevage : la grande majorité des représentants actuels de la race en Amérique du Nord descendent d’individus auxquels il donna naissance. La race fit son arrivée en France en 1995, lorsque Philippe Dauneau importa de Thaïlande un premier couple de Thai Ridgeback, L’Rama et L’Krisna.
C’est également dans les années 90 que la race, en plus de s’exporter, commença à être reconnue par certains organismes canins de référence. Elle obtint ainsi la reconnaissance officielle de la Fédération Cynologique Internationale (FCI) en 1993 et de l’United Kennel Club (UKC) américain en 1996. L’année suivante, en 1997, elle fut ajoutée au Foundation Stock Service de l’American Kennel Club (AKC), préalable avant une reconnaissance pleine et entière encore attendue à ce jour. De fait, elle a encore beaucoup de chemin à parcourir en la matière, car de nombreux organismes majeurs ne la reconnaissent pas encore. C’est le cas par exemple du Canadian Kennel Club (CKC) ou du prestigieux Kennel Club (KC) britannique.
Sans surprise, le Thaï Ridgeback est donc encore rare à l’extérieur de son pays d’origine. Bien qu’il soit difficile de disposer d’un chiffre exact, on estime qu’il s’en trouve moins de 3000 en dehors du royaume, dont quelques centaines aux États-Unis. En France, on ne dénombre chaque année pas plus d’une dizaine de naissances enregistrées au Livre des Origines Français (LOF). La tendance est stable depuis le début des années 2000.
Le Thai Ridgeback est un animal de compagnie aimant, dévoué et fidèle envers sa famille. Il a généralement une affinité prononcée avec un de ses membres en particulier et le considère comme la personne de référence, même si cela ne l’empêche pas d’être proche également des autres.
Il s’entend bien avec les enfants plus âgés qui ont appris à interagir avec les animaux mais n’est pas adapté aux jeunes enfants en raison de son caractère exubérant et de son gabarit, car il pourrait les bousculer involontairement. En tout état de cause, quelle que soit sa race, un chien ne doit jamais être laissé seul avec un jeune enfant. La surveillance d’un adulte est indispensable pour limiter le risque d’accidents.
Alors qu’il aime être entouré par sa famille, il se montre au contraire réservé et méfiant vis-à-vis des étrangers – voire même agressif à leur encontre, s’il n’a pas été correctement sociabilisé. Il fait d’ailleurs un excellent chien de garde, n’hésitant pas à aboyer lorsqu’il perçoit une menace ou qu’un inconnu approche de son lieu d’habitation.
La cohabitation avec un congénère se passe généralement bien dès lors qu’ils ont grandi ensemble. Dans le cas contraire, elle n’est pas vraiment recommandée, du fait de son caractère dominant. Quant à l’idée de lui faire partager son foyer avec un chat ou un rongeur, mieux vaut y renoncer d’emblée, car il aurait de fortes chances de le considérer comme une proie.
Il est en revanche assez souple quant à son lieu de vie, capable d’habiter aussi bien en appartement que dans une maison, à la campagne ou en ville. La seule réserve est qu’il n’est pas pour vivre en extérieur, du fait non seulement de ses origines et de son poil court qui le rend sensible au froid, mais aussi du besoin qu’il a d’être entouré de sa famille pour être heureux.
Toutefois, quel que soit l’endroit dans lequel il réside, il ne peut être équilibré et épanoui que si ses besoins sont comblés, et en particulier qu’il est en mesure de se dépenser suffisamment. En effet, le Chien Thaïlandais à Crête Dorsale a besoin de beaucoup d’exercice physique quotidien, et c’est d’ailleurs ce qui fait qu’il n’est pas adapté par exemple pour une personne âgée ou très sédentaire. Il lui faut au moins une heure d’activité physique par jour, à travers par exemple deux ou trois promenades complétées de temps à autres par une séance de jeux. Les sports canins comme le canicross ou l’agility sont également un excellent moyen de lui permettre de se dépenser, mais il peut aussi jouer simplement le rôle d’accompagnant dans les sports pratiqués par son maître : jogging, VTT, randonnées… Le cas échéant, il est toutefois essentiel qu’il obéisse parfaitement au rappel ou à défaut qu’il soit tenu en laisse, du fait de son instinct de chasseur très développé.
Pour la même raison, s’il vit dans une maison avec jardin, il est indispensable que ce dernier soit clôturé et sécurisé, car le Thai Ridgeback est un chien fugueur. Très talentueux pour escalader et sauter, il n’hésite pas à s’enfuir pour pourchasser une proie qu’il vient de sentir. L’utilisation d’une clôture souterraine n’est d’ailleurs pas une option viable avec son chien, puisque son instinct de chasseur est bien plus fort que l’inconfort ressenti par les impulsions électriques.
Enfin, il convient d’être conscient que le Chien Thaïlandais à Crête Dorsale est indépendant, têtu et pas vraiment spontanément enclin à obéir. Il ne convient donc pas à une personne n’ayant aucune expérience avec la gent canine : il lui faut un propriétaire capable de lui faire comprendre qu’il est le maître.
Assez réservé par nature, le Thai Ridgeback doit bénéficier d’une bonne socialisation dès son plus jeune âge pour grandir sereinement et ne pas devenir trop méfiant ou peureux envers ceux et ce qu’il ne connaît pas. Il faut donc l’habituer régulièrement à rencontrer de nouvelles personnes, d’autres animaux, à évoluer dans tous types d’environnements et à faire face à de nombreuses situations différentes.
Bien aidé par son intelligence, le Chien Thaïlandais à Crête Dorsale est capable d’apprendre rapidement. Toutefois, il est aussi indépendant et dominant, n’hésitant pas d’ailleurs à tester les limites de son maître. Il doit donc recevoir une éducation ferme dès son arrivée dans la maison, au risque qu’il prenne le dessus sur ses propriétaires. Il est important que chaque membre du foyer participe à son éducation et que les règles mises en place ainsi que les ordres donnés soient cohérents non seulement dans le temps, mais aussi d’une personne à l’autre. A défaut, il risque d’être perdu et de ne pas réussir à comprendre ce que l’on attend de lui. De fait, il n’est pas adapté pour une personne inexpérimentée ou ne sachant pas s’affirmer comme maître auprès de son chien.
Néanmoins, l’usage des réprimandes en cas de comportement inapproprié n’a que peu d’effets, dans la mesure où il y est assez peu sensible. Mieux vaut inverser le paradigme et valoriser les bons comportements : c’est le principe au cœur des méthodes d’éducation canine basées sur le renforcement positif. Autrement dit, faire preuve de patience et récompenser son chien lorsqu’il a accompli correctement une tâche permet d’obtenir de bien meilleurs résultats.
Quoi qu’il en soit, apprendre le rappel à son chien revêt une importance toute particulière avec le Thaï Ridgeback, compte tenu de son instinct de chasseur très développé. A défaut, il risque à tout moment de fuguer pour poursuivre un animal qu’il considère comme une proie. Tant que ce n’est pas intégré, il est impératif de le tenir en laisse lors des promenades, tant pour sa sécurité que pour celle des autres.
Enfin, compte tenu de son gabarit, il est indispensable de l’habituer dès son plus jeune âge à considérer normal d’être manipulé, que ce soit par son maître ou par des tiers. Cela permet d’éviter que les séances de toilettage et/ou les visites chez le vétérinaire puissent tourner au cauchemar par la suite.
Le Thai Ridgeback est une race de chien robuste et saine.
Toutefois, son pelage court et ses origines en font une race de chien qui supporte bien la chaleur, mais pas le froid. Quand les températures sont basses, il convient donc de le couvrir d’un manteau et/ou de chaussons adaptés lorsqu’il est à l’extérieur. En tout état de cause, il n’est pas fait pour vivre dans des régions où le climat est froid pendant une bonne partie de l'année.
Les principaux problèmes de santé auxquels il est exposé sont :
Ces deux maladies sont généralement héréditaires et peuvent être diagnostiquées grâce à un simple test ADN réalisé sur l’animal ou sur ses parents. Un éleveur sérieux ne fait de toute façon pas se reproduire un individu qui est porteur d’une maladie génétique. Il doit être en mesure de présenter les résultats des tests ADN effectués, un certificat de bonne santé établi par un vétérinaire ainsi que les détails des vaccins reçus par le chiot, consignés dans son carnet de santé ou son carnet de vaccination. Adopter auprès d’un éleveur membre du club de race est normalement la solution qui offre les meilleures garanties d’obtenir un chiot en bonne santé.
Par ailleurs, le Chien Thaïlandais à Crête Dorsale est prédisposé à souffrir d’obésité. Il ne s’agit pas en soi d’une maladie, mais elle peut en revanche causer ou aggraver certaines pathologies, avec donc à la clef des conséquences potentiellement importantes sur la santé de l’animal. Il faut donc porter une attention particulière à son alimentation et le peser régulièrement. En cas de prise de poids anormale, un ajustement de sa ration quotidienne et un niveau d’exercice accru permettent généralement de revenir à un niveau normal. Si ce n’est pas le cas, il est nécessaire de se tourner vers un vétérinaire pour écarter la piste d’une éventuelle maladie et mettre au point un régime alimentaire plus adapté.
Il faut être également vigilant quant à ses activités pendant sa phase de croissance, alors que ses os et ses articulations sont encore particulièrement fragiles. En effet, des efforts physiques trop intenses pourraient être à l’origine de blessures ou, pire, de malformations ayant potentiellement des conséquences à vie.
Enfin, le fait que la race soit généralement en bonne santé et celui d’adopter auprès d’un éleveur scrupuleux ne dispensent aucunement d’emmener au moins une fois par an son chien chez le vétérinaire pour un bilan complet. Cela permet notamment de s’assurer qu’il est à jour au niveau de ses vaccins, mais aussi de détecter de manière précoce un éventuel problème concernant sa santé ou risque pesant sur cette dernière.
Le pelage court du Thai Ridgeback est facile à entretenir. Un brossage une fois par semaine est suffisant pour éliminer les poils morts et le garder propre et brillant. Toutefois, durant les mues saisonnières, au printemps et à l’automne, la perte de poils est plus importante : il est alors nécessaire de le brosser plus souvent, à raison d’au moins trois fois par semaine.
Son pelage restant généralement propre et dépourvu d’odeurs, il n’a pas besoin d’être lavé fréquemment : dans la plupart des cas, faire prendre un bain à son chien deux ou trois fois par an suffit amplement. Il ne faut pas hésiter toutefois à le laver s’il s’est particulièrement sali et/ou que son pelage dégage de mauvaises odeurs. Dans tous les cas, il convient d’utiliser un shampoing spécialement conçu pour les chiens, au risque d’abîmer sa peau.
En revanche, ses oreilles et ses yeux doivent être inspectés et nettoyés chaque semaine, afin d’éliminer les saletés et réduire le risque d’infections.
Cette séance d’entretien est aussi l’occasion de contrôler et brosser ses dents. Le brossage permet de limiter l’accumulation de tartre et de lui assurer ainsi une bonne hygiène bucco-dentaire. L’idéal est toutefois de le faire encore plus souvent, voire même chaque jour.
Enfin, l’usure naturelle suffit généralement à limer ses griffes. Toutefois, lorsqu’il vieillit ou s’il n’est pas assez actif, elles peuvent devenir trop longues et le gêner, voire le blesser. Il est alors nécessaire de les lui couper régulièrement à l’aide d’une lime spéciale ou d’un coupe-griffes.
Que ce soit pour l’entretien de ses oreilles, ses yeux, ses dents ou ses griffes, il est possible de demander l’aide d’un vétérinaire ou d’un toiletteur la première fois, afin d’apprendre la technique et d’être en mesure de la reproduire par la suite.
Le Thai Ridgeback a tendance à l’embonpoint, et son alimentation doit donc être adaptée en conséquence. Il est recommandé de le nourrir avec des croquettes de haute qualité, faibles en calories et composées principalement de viande. Son âge ainsi que son niveau d’activité doivent aussi être pris en compte dans le choix des produits, ainsi bien sûr que de la quantité qui lui en est donnée.
Son alimentation est particulièrement déterminante quand il est chiot et que son corps est alors en pleine croissance. En effet, le nourrir avec des aliments trop riches et/ou lui donner des quantités trop importantes risquerait d’accélérer cette dernière, ce qui peut engendrer non seulement des blessures, mais aussi des problèmes durables au niveau des os et des articulations, en causant par exemple des malformations. Quel que soit son âge, il est conseillé de répartir sa ration en au moins deux repas, idéalement un le matin et un autre le soir. En effet, cela permet de réduire sa propension à réclamer de la nourriture, puisqu’il sait qu’il aura un deuxième repas en fin de journée. Il convient également de ne pas avoir la main trop lourde sur la distribution de friandises, y compris lorsqu’elles sont utilisées dans le cadre de son éducation, et de déduire l’apport calorique qu’elles représentent de sa ration quotidienne.
Il est aussi important de le peser au moins deux fois pour s’assurer que tout est en ordre à ce niveau. Si une prise de poids est manifeste lors de plusieurs mesures d’affilée, il ne faut pas laisser la situation s’installer voire empirer, mais l’emmener rapidement chez le vétérinaire. Ce dernier sera en mesure de détermine la cause du problème (maladie, effet secondaire d’un traitement, nourriture inadaptée, ration quotidienne trop conséquente…) afin d’y remédier.
Enfin, comme pour tout chien, de l’eau doit être à sa disposition tout au long de la journée et changée régulièrement, afin qu’elle soit fraîche.
Dans son pays d’origine, le Thai Ridgeback était historiquement un chien polyvalent. En effet, on le trouvait à la fois comme gardien des propriétés et des fermes, porteur de charges, escorte des convois de marchandises, chasseur (cobras, sangliers sauvages…) et exterminateur de vermine.
De nos jours, on le retrouve principalement comme chien de compagnie au sein de familles compatibles avec son besoin d’exercice assez important. Ce compagnon attachant se distingue par sa loyauté et son dévouement sans faille envers son maître, dès lors qu’il le reconnaît comme tel, et ces qualités s’additionnent à son courage et sa nature méfiante pour en faire également un excellent chien de garde. Il cumule d’ailleurs souvent les deux casquettes.
Pour finir, c’est également un bon compétiteur dans les compétitions d’agilité et d’obéissance et dans les épreuves de poursuite à vue sur leurre, même s’il est loin d’être la race de chien la plus rapide.
En dehors de son pays d’origine, le Thai Ridgeback est une race de chien rare, ce qui explique son prix d’achat élevé.
Ce dernier se situe dans une fourchette très large, allant généralement de 1000 à 2500 euros.
Au Canada, il est très difficile à trouver. Une solution peut consister à se tourner vers les États-Unis, où le nombre d’éleveurs est un peu plus élevé. Il faut alors compter entre 1000 et 5000 dollars américains pour l’achat d’un chiot Thai Ridgeback.
Quel que soit l’endroit, la différence de prix d’un individu à l’autre (y compris parfois au sein d’une même portée) s’explique en large partie par la conformité plus ou moins grande de l’animal par rapport au standard, même si le prestige de l’élevage ainsi que la lignée dont il est issu jouent également un rôle.
En tout état de cause, le nombre d’éleveurs et de naissances étant très restreint, il peut être nécessaire de s’armer de patience et accepter d’être mis sur liste d’attente. Importer un Chiot Thaïlandais à Crête Dorsale directement depuis la Thaïlande est une autre option envisageable, et qui peut permettre notamment de contourner d’éventuels problèmes de délais. Le cas échéant, il convient de respecter la réglementation concernant l’importation d’un chien depuis l’étranger, et de garder en tête que des coûts de transport ainsi que des frais administratifs viennent s’ajouter au prix d’achat.
oui j adore cette race je posséde une chienne saika du pontrouff elle est magnifique elle a 8 ans j ai chercher avec enormement de difficultée un élevage en france car je souhaitée en reprendre un autre ne trouvant rien je me suis dirigée sur une autre race car celle ci est trés peu connue mais ce chien est tres doux fidéle calme obéissante et bonne gardienne
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