De nos jours, la plupart des propriétaires de chiens nourrissent leurs compagnons avec des aliments industriels, à savoir des croquettes ou des pâtées. Même si ce n'est pas forcément le choix le plus appétissant ni le plus naturel, cela reste intéressant sur le plan financier, et surtout en termes de temps de préparation.
Toutefois, de plus en plus de gens se posent la question d'un retour à une alimentation plus naturelle, pour eux-mêmes comme pour leurs animaux. Mais est-il si simple que cela de nourrir son chien avec de la nourriture faite maison ? Quels aliments utiliser ? Quelle quantité de nourriture maison lui donner ?
Préparer une alimentation maison pour son compagnon n'a rien d'évident, car de mauvais choix risquent de causer des problèmes de santé à terme. Cela demande donc une certaine méthode.
Pour nourrir correctement son chien avec une nourriture maison, il convient de suivre plusieurs étapes, les principales étant :
Pour nourrir son chien avec une alimentation maison, la première chose à faire est de connaître ses besoins nutritionnels. C'est en effet à partir de ceux-ci qu'une ration maison s'élabore, puisqu'il faut choisir des aliments permettant de les combler. Il en va de sa santé.
Comme l'humain, le chien a besoin d'un certain nombre de calories par jour pour être en bonne santé.
Les besoins en la matière d'un chien stérilisé, avec un niveau d'exercice modéré, et appartenant à une race de morphologie standard comme le Labrador ou le Golden Retriever, sont de l'ordre de 37 kcal / jour / kilo de masse corporelle. Cela signifie qu'un animal pesant par exemple 10 kg doit recevoir environ 370 kcal par jour pour être en pleine forme.
Or, comme chez l'humain, différents facteurs influent sur le besoin en énergie : la race, l'âge, la corpulence, le niveau d'activité... C'est ainsi qu'à poids égal, deux chiens peuvent avoir des besoins en calorie très différents - allant parfois du simple au double.
Pour nourrir son compagnon avec une alimentation maison, il est important de se renseigner sur ses besoins énergétiques, car les quantités de nourriture et les constituants analytiques en dépendent.
En tant que carnivore, le chien a surtout besoin de protéines : elles doivent constituer une bonne part de sa ration quotidienne, et contenir tous les acides aminés dont il a besoin pour être en bonne santé. Dans l'idéal, sa ration doit contenir au moins 20 à 30% de protéines.
Les lipides occupent aussi une place de choix dans son alimentation, car ils lui servent de source d'énergie. Il faut donc s'assurer qu'il en reçoit suffisamment pour être en bonne santé, mais sans excès pour ne pas grossir. Les apports recommandés sont d'environ 10 à 20% de lipides.
Les glucides ne sont pas très utiles à sa santé, même s'ils lui apportent de l'énergie. Ils permettent tout de même d'augmenter le volume de sa ration pour qu'il ressente moins la faim, tout en réduisant la quantité de protéines et de viande - ce qui fait baisser le prix. Toutefois, comme le chien les digère mal, il faut limiter les quantités : dans l'idéal, mieux vaut ne pas dépasser 20 à 30% de glucides dans la ration quotidienne.
Il en va de même pour les fibres : certes, elles contribuent à faciliter le transit intestinal, mais il a du mal à bien les digérer et peut développer des troubles digestifs s'il en mange beaucoup. Ainsi, même s'il est techniquement capable d'en manger plus, il est préférable de ne pas excéder 5 à 10% de fibres.
D'autres nutriments doivent être pris en compte : le calcium, les vitamines, le potassium, le phosphore, le fer... Ce sont surtout les apports en calcium et en phosphore qui sont difficiles à bien équilibrer : pour un chien en bonne santé, il faut prévoir environ 1% de calcium, et entre 0,5 et 1% de phosphore - sachant que le rapport calcium / phosphore doit être compris entre 1 et 2.
Enfin, la nourriture maison contient une part importante d'humidité, c'est-à-dire d'eau comprise dans les aliments. Cette part se situe globalement entre 40 et 60% - soit nettement plus que pour des croquettes. C'est ce qui explique que pour obtenir une quantité de nutriments équivalente, il faut donner une plus grande quantité de nourriture maison que de croquettes.
Une fois que l'on a une bonne idée des besoins nutritionnels de son compagnon, il faut sélectionner les aliments permettant de les combler, afin de les préparer et de les servir.
Les aliments à choisir pour une bonne nourriture maison pour chien doivent répondre aux critères suivants :
Ces quelques critères peuvent sembler évidents : pourtant, ils limitent fortement le choix pour nourrir un chien. En particulier, les aliments digestes pour la gent canine ne sont pas nombreux. Ainsi, comme le chien est un carnivore, les produits d'origine animale sont à privilégier, tandis que les végétaux sont à éviter.
Des protéines de qualité sont essentielles pour un chien en bonne santé. Elles interviennent en effet dans un grand nombre de processus vitaux de l'organisme.
Les meilleures protéines pour un chien sont issues de produits d'origine animale, en particulier la viande et le poisson. Son système digestif est en effet adapté pour bien les digérer et en tirer tous les nutriments nécessaires. La volaille (poulet, dinde...), le poisson et quelques oeufs sont à privilégier au boeuf, au porc et à la viande rouge : ils sont plus digestes, sont souvent moins gras, et abîment moins les reins.
Les abats (foie, panse, rognons, coeuf...) sont aussi une bonne source de protéines de bonne qualité. Malheureusement, ils sont globalement trop riches en vitamines et en nutriments - surtout le foie. Si l'on souhaite en donner, mieux vaut que ce soit en petites quantités de temps en temps.
Les protéines végétales sont quant à elles à éviter. En effet, en tant que carnivore, le chien digère mal les végétaux, en particulier lorsqu'ils contiennent beaucoup de fibres ou d'amidon. Par conséquent, même si ceux qu'on lui donne sont riches en protéines, il y a peu de chances qu'il parvienne à bien les digérer et que cela comble ses besoins nutritionnels.
Bien qu'ayant une image négative dans l'imaginaire collectif, les lipides sont essentiels à la santé, en particulier pour les chiens qui sont très actifs. Il faut juste veiller à ne pas en abuser, car l'organisme stocke les lipides en excès sous forme de graisses.
Comme pour les protéines, les lipides d'origine animale sont à privilégier pour un chien. Ils correspondent bien à ses besoins nutritionnels, sont digestes, et lui plaisent d'ailleurs beaucoup. On en trouve notamment dans les viandes grasses (boeuf, porc...) et les poissons gras (thon, saumon...). Si l'on privilégie plutôt des viandes et poissons maigres, il y a des chances que la quantité de lipides ne soit pas suffisante : il faut alors compléter avec des huiles riches.
L'huile de saumon est un bon exemple : elle constitue une excellente source de lipides et d'acides gras essentiels. Mais il existe d'autres huiles de poisson bonnes pour les chiens : thon, sardine, morue... Toutefois, de manière générale, ces huiles contiennent beaucoup d'oméga 3 et peu d'oméga 6 par rapport aux besoins de la gent canine : elles peuvent ne pas suffire pour obtenir une ration équilibrée.
Les lipides d'origine végétale (huile d'olive, huile de colza...) présentent l'avantage d'apporter d'autres types d'acides gras essentiels par rapport aux produits animaux. Beaucoup de recettes de nourriture maison pour chien utilisent d'ailleurs de l'huile de colza, car bien que d'origine végétale, cette dernière contient un bon rapport oméga 6 / oméga 3, contrairement aux autres huiles.
Les glucides permettent de compléter la ration du chien de manière économique, car ils proviennent de légumes et de céréales, bien moins chers que la viande. Ils constituent aussi une source d'énergie, certes moins intéressante que les lipides, mais utile tout de même. Ils sont toutefois moins digestes que les aliments d'origine animale : ils doivent être choisis avec précaution et leur quantité doit être limitée.
La plupart des céréales sont assez indigestes pour le chien. C'est le cas du blé, du seigle, de l'avoine, de l'orge... Le riz est la céréale la plus digeste pour lui : s'il faut en choisir une pour compléter sa gamelle, autant que ce soit celle-ci. Il convient d'ailleurs aussi aux chiens intolérants au gluten, car il fait partie des quelques céréales qui n'en contiennent pas. Il faut simplement veiller à bien faire cuire le riz avant de le servir, pour le rendre digeste.
Si l'on souhaite utiliser plutôt d'autres types de végétaux, les haricots verts, les carottes, les petits pois, les courgettes, la citrouille, la courge, la patate douce et les épinards constituent un bon choix pour un chien. Il convient toutefois de les faire cuire, car cela facilite leur digestion et donc l'assimilation des nutriments.
Les légumineuses telles que les lentilles, les fèves, les haricots rouges et le soja sont plutôt à éviter, malgré leur teneur intéressante en glucides et même en protéines végétales. Elles sont en effet assez indigestes, même cuites. D'ailleurs, certaines sont carrément toxiques pour la gent canine...
Quant aux fruits bons pour les chiens, ils constituent certes une bonne source de glucides et de nutriments, mais sont globalement trop chargés en sucres et en fibres. Mieux vaut donc les éviter, et se contenter d'en donner en toutes petites quantités de temps en temps pour faire plaisir à son compagnon.
Les fibres sont utiles pour faciliter le transit et limiter les risques de constipation : c'est pourquoi il est intéressant d'en ajouter un peu dans la ration. Un excès risque toutefois d'irriter le tube digestif et de causer des problèmes divers : ballonnements, selles molles, diarrhées...
Si jamais la gamelle contient déjà des légumes ou des céréales comme le blé ou le seigle, il n'est pas forcément nécessaire d'ajouter des fibres, car ces derniers en apportent déjà suffisamment - en plus des glucides.
En revanche, si la gamelle ne contient que du riz et/ou des produits d'origine animale, mieux vaut ajouter une petite quantité de légumes bons pour les chiens, tels que des haricots verts, des carottes, des courgettes, des petits pois ou encore des épinards. Il faut toutefois les faire bien cuire avant, car cela les rend plus digestes et limite les problèmes digestifs.
Comparé à l'être humain, le chien a des besoins vraiment importants en calcium. Or, il ne peut pas vraiment compter sur le lait ou les produits laitiers : en effet, une fois adulte, il développe une intolérance au lactose, qui l'empêche de bien les digérer.
La meilleure source de calcium pour un chien est en fait les os. En plus d'adorer les ronger (ce qui constitue une très bonne occupation pour lui et lui permet de muscler ses mâchoires), les os lui apportent des minéraux essentiels, notamment du calcium et du phosphore en quantité. Mieux vaut privilégier les os crus de grande taille, par exemple un fémur de boeuf ou un os de jambon : ils ont moins de chances de se bloquer dans sa trachée ou de perforer son tube digestif que les os de poulet ou de lapin - en particulier s'ils sont cuits, car ils deviennent alors fragiles et friables.
Si on ne souhaite pas utiliser d'os pour des raisons pratiques - ou même simplement parce que le chien n'a pas les dents en suffisamment bon état pour les ronger -, il faut alors utiliser des compléments alimentaires pour lui apporter le calcium et les autres minéraux qui lui manquent.
Il n'est pas évident de savoir quelle quantité de nourriture maison donner, car les aliments utilisés d'une ration à l'autre ne sont pas forcément les mêmes - et donc les quantités journalières non plus. Toutefois, en moyenne, les nutritionnistes vétérinaires recommandent de se calquer sur la quantité de pâtée à donner à son chien, car les deux types de nourriture ont globalement la même teneur en eau et en calories.
Ainsi, les quantités journalières de nourriture maison pour chien sont d'environ :
Gabarit | Quantité de nourriture maison |
---|---|
Chien de 5 kg | 300 grammes |
Chien de 10 kg | 450 grammes |
Chien de 20 kg | 750 grammes |
Chien de 30 kg | 1000 grammes |
Chien de 50 kg | 1400 grammes |
Chien de 70 kg | 1800 grammes |
Pour une nourriture maison classique, environ la moitié de la ration est composée de viande (ou poisson) et autres produits animaux. Pour certains régimes du style BARF pour chien, cette part est même encore plus importante, les aliments d'origine végétale représentant une toute petite partie de la gamelle.
Toutefois, encore plus que pour les pâtées et croquettes, il est crucial de se tourner vers un vétérinaire si on opte pour des repas pour chien que l'on fait maison, afin d'être sûr de fournir les quantités adéquates à son chien. En effet, les quantités dépendent d'un grand nombre de facteurs, tels que la race, le niveau d'activité au quotidien, l'âge, le type d'aliments utilisés (proportion de viande...), etc.
Une fois que l'on a sélectionné les aliments pour son chien et que l'on a une idée des quantités à lui donner, il ne reste plus qu'à les cuisiner pour obtenir sa ration maison.
La première étape consiste à découper les aliments pour obtenir une gamelle plus facile à manger et à digérer.
Mieux vaut par exemple découper la viande en tranche ou en morceaux. L'idée n'est toutefois pas de la hacher totalement, car la mastication aide à faire travailler les mâchoires et à ralentir le temps du repas : cela évite qu'il finisse sa gamelle en quelques minutes seulement. On peut se contenter de la couper par exemple en gros cubes ou en tranches.
Pour le poisson, la même logique est à l'oeuvre, à l'exception du fait que la chair est plus tendre et facile à mâcher que la viande. Il faut toutefois bien penser à enlever toutes les arrêtes, car le chien pourrait sinon les avaler et se blesser avec. On peut aussi acheter des pavés de poisson sans arrête dans le commerce.
Quant aux légumes et fruits (s'il y en a), il est préférable de les découper en petits morceaux, voire de les mixer pour en faire une sorte de soupe. Cela favorise la digestion des fibres végétales qu'ils contiennent.
Sur le plan strictement nutritionnel, les aliments ont intérêt à être consommés crus, car la cuisson dégrade certains nutriments. La cuisson a toutefois aussi des bienfaits.
Par exemple, à moins d'être certain que la viande, le poisson et les oeufs ont été parfaitement conservés, il est préférable de les faire cuire, afin d'éliminer les éventuels agents pathogènes (virus, bactéries, vers...) qu'ils contiennent. Cela évite de rendre le chien malade.
Les huiles utilisées pour compléter la ration en lipides doivent quant à elles être ajoutées crues, car les fragiles acides gras essentiels qu'elles contiennent sont détruits à la cuisson.
Pour les légumes et les céréales, c'est l'inverse : comme le chien les digère mal lorsqu'ils sont crus, mieux vaut bien les faire cuire avant de les servir. Cela facilite la digestion, et limite le risque de problèmes tels que les diarrhées, les ballonnements et les flatulences. Pour les légumes, une cuisson classique est suffisante ; pour les céréales et notamment le riz en revanche, mieux vaut les faire cuire plus longtemps que pour les humains, pour qu'ils soient bien digestes - par exemple, le riz doit former quasiment une sorte de bouillie.
Même si cela peut être tentant, il ne faut pas ajouter d'assaisonnements, de sauces ou de condiments à la préparation lorsqu'on cuisine pour son chien. Mieux vaut ainsi bannir le beurre, l'huile (sauf celle éventuellement utiliser pour lui apporter des acides gras essentiels de qualité), le poivre, le piment, les épices, l'oignon (très toxique pour le chien), la moutarde, les sauces quelles qu'elles soient...
Pour ce qui est du sel, les besoins d'un chien sont très réduits : de l'ordre de 0,5 gramme pour 100 grammes de nourriture. Il faut faire attention aux excès, car la dose toxique de sel pour le chien est de 2 ou 3 grammes / kilo de masse corporelle : un petit chien peut être intoxiqué gravement avec seulement 4 ou 5 grammes de sel ! Pour autant, il ne faut pas non plus s'en passer totalement, car il est indispensable à la santé.
Le principal risque avec la nourriture maison est qu'elle peut induire des carences si elle n'est pas correctement équilibrée. Il faut donc surveiller la santé de son chien pour vérifier que son état ne se dégrade pas.
Heureusement, il existe différents signes permettant de détecter une alimentation mal équilibrée. Les principaux symptômes sont un amaigrissement, une peau sèche ou au contraire grasse, un pelage terne et en mauvais état, un appétit augmenté ou diminué, un comportement changeant (par exemple une agressivité ou au contraire de l'apathie), etc. Si l'on détecte un de ces signes, il faut contacter un vétérinaire sans attendre, pour corriger le tir.
Mais certains déséquilibres alimentaires ne se voient pas aussi facilement : ils ne deviennent visibles que lorsque les dégâts sur l'organisme sont déjà bien avancés. Il faut donc en parallèle lui faire faire des prises de sang régulières, pour vérifier qu'il n'a pas de carence.
À noter qu'une carence alimentaire peut mettre des mois à apparaître : il ne faut donc pas se contenter de surveiller la santé de son chien pendant quelques jours pour être fixé. Une vigilance a minima sur plusieurs mois est donc nécessaire, pour s'assurer que la ration ménagère est bien équilibrée.
En plus de la difficulté à bien équilibrer les rations pour son animal, la nourriture maison a d'autres limites, qui peuvent la rendre rédhibitoire.
La première difficulté est que la nourriture maison peut coûter cher, en particulier pour un chien de grande taille.
En effet, même s'il est possible de compléter la ration avec du riz ou d'autres céréales pour réduire les coûts, la part de viande ou d'autres produits animaux est importante : elle représente généralement au moins la moitié de la portion voire davantage. Or, si l'on souhaite opter pour des aliments de qualité, il faut s'attendre à payer assez cher.
Certes, il est possible de réduire les dépenses en achetant en grande quantité à la fois et en congelant l'excédent pour le conserver plusieurs semaines. Néanmoins, pour un chien pesant plus de 50 kg et devant manger près d'un kilo de viande par jour, cela risque de devenir rapidement problématique pour le budget du foyer. Dans ce cas-là, mieux vaut probablement opter pour des croquettes, afin de réduire les coûts.
Lorsqu'on cuisine soi-même pour son chien, il faut bien faire attention à ne pas choisir des aliments toxiques pour lui.
Il existe en effet un nombre important d'aliments parfaitement comestibles pour les humains, mais dangereux pour les animaux. C'est le cas notamment de certains fruits comme le raisin, l'avocat ou la framboise, et de certains légumes et végétaux comme l'ail, l'oignon ou le poireau. Certains champignons comme les bolets sont aussi à éviter.
Pour préparer une bonne ration, il faut donc prendre le temps de se renseigner sur les aliments dangereux pour les chiens et de les bannir. C'est le meilleur moyen d'éviter les accidents.
Si l'on est réticent à l'idée de nourrir son chien avec des aliments industriels du style croquettes ou pâtées, une alternative peut être la nourriture maison. Il faut toutefois avoir du temps à consacrer à la préparation des rations, et être prêt à payer un montant non négligeable pour se procurer des aliments de qualité.
La principale difficulté reste pourtant de réussir à équilibrer les rations correctement, de façon à ce que le chien reçoive tout ce dont il a besoin pour être en bonne santé et ne souffre pas de carence. Il est donc essentiel de se faire accompagner par un vétérinaire, non seulement pour concevoir des rations appropriées, et ensuite pour surveiller la santé de l'animal dans les mois qui suivent.