Le prix d'achat d'un Chesapeake Bay Retriever

Quel que soit le pays, et comme c’est le cas pour n’importe quelle race, le prix d’un chiot Chesapeake Bay Retriever peut différer fortement d’un individu à l’autre en fonction de différents critères. Les trois principaux sont la renommée de l’élevage, la lignée dont l’animal est issu et ses caractéristiques intrinsèques, aussi bien en termes de caractère que de conformité au standard.

Prix d'un Chesapeake Bay Retriever en France et en Belgique

En France, adopter un chiot Chesapeake coûte généralement entre 800 et 1200 euros. Il est toutefois difficile d’en trouver, car il n’y a qu’une poignée d’éleveurs dans l’Hexagone.

 

En Belgique, ils sont même encore moins nombreux. Par conséquent, il peut être judicieux de se tourner vers l’étranger (la France, le Royaume-Uni…), que ce soit pour avoir davantage de choix et/ou pour éviter des délais d’attente.

Prix d'un Chesapeake Bay Retriever au Canada

Au Canada, le prix d’un chiot Chesapeake se situe généralement entre 900 et 2500 dollars canadiens. Le club de race recense une quinzaine d’éleveurs dans le pays.    

Prix d'un Chesapeake Bay Retriever dans son pays d'origine

Le prix d’un chiot Chesapeake Bay Retriever aux États-Unis se situe généralement entre 800 et 1500 dollars américains (soit 700 à 1300 euros, ou 1000 à 1900 dollars canadiens).

Importer un Chesapeake Bay Retriever depuis l'étranger

Si on envisage d’acquérir un Chesapeake Bay Retriever à l’étranger, il est indispensable de bien s’informer auparavant sur la législation concernant l’importation d’un chien dans le pays où on habite, et bien sûr de la respecter en tous points pour éviter les mauvaises surprises.

 

Il faut également avoir en tête que cette option implique des frais supplémentaires qui viennent s’ajouter au prix d’achat de l’animal : transport, taxes et frais divers, inscription au registre national…

Conseils pour l'adoption d'un Chesapeake Bay Retriever

Comme pour n’importe quelle race, ce serait une erreur de choisir un chiot Chesapeake Bay Retriever en ne se basant que sur le prix. Il est en effet préférable de dépenser un peu plus pour être sûr d’avoir affaire à un éleveur sérieux et ainsi maximiser les chances d’adopter un animal en bonne santé, qui deviendra par la suite un adulte bien dans ses pattes et dans sa tête.

 

Un éleveur responsable procède à une sélection rigoureuse de ses reproducteurs, notamment en faisant réaliser des tests génétiques et des radiographies (pour déceler une éventuelle dysplasie) afin d’éviter au maximum toute transmission d’une tare héréditaire. Cela a un coût, qu’il est normal de retrouver dans le prix du chiot.

 

Par ailleurs, il veille attentivement à s’occuper d’eux au mieux, et à leur offrir un cadre de vie de qualité. En effet, si les parents sont bien éduqués, équilibrés et heureux, cela se répercute positivement sur le caractère des petits, qui passent auprès d’eux les premières semaines de leur vie – une période déterminante pour la suite.

 

Il s’assure également du bon développement physique et psychologique des chiots en leur offrant un suivi médical et une socialisation de qualité, quitte d’ailleurs à ne pas les vendre avant l’âge de 3 mois.

 

Au final, le montant économisé à l’achat en optant pour un éleveur qui ne se donne pas tout ce mal a de fortes chances d’être sensiblement inférieur aux dépenses supplémentaires de vétérinaire, d’éducateur ou de comportementaliste qu’un mauvais choix pourrait impliquer…

 

Un bon moyen de savoir si un professionnel est effectivement digne de confiance est de regarder s’il est membre du club de race. C’est indéniablement un gage de sérieux.

 

En tout état de cause, on ne saurait adopter un chiot sans s'être au préalable donné la peine de visiter l’élevage et de passer un peu de temps avec lui – et si possible avec ses parents. Cela permet de voir dans quel cadre évoluent les chiens, et s’ils semblent bien équilibrés. C’est d'autant plus utile que le Chesapeake peut être assez têtu - voire dominant - s’il n’est pas bien cadré.

 

D'ailleurs, un éleveur digne de ce nom doit s’assurer que les adoptants ont bien conscience des caractéristiques et besoins de cette race, et donc qu’ils seront aptes à s’occuper correctement de leur compagnon. S’il ne le fait pas, mieux vaut renoncer car cela montre qu’il n’est pas sérieux.