Nom d'origine : English Bull Terrier
Pays d'origine : Royaume-Uni
Groupe : Terrier
Le Bull Terrier est un chien de taille moyenne à la corpulence imposante. Cela se reflète notamment dans son poids assez élevé par rapport à son gabarit, qui lui vaut d’être une des races les plus fortes qui soient.
Les standards de race publiés par les différents organismes cynologiques de référence ne fixent aucune limite haute ou basse concernant sa taille ou son poids, mais stipulent en revanche que sa puissance ne doit pas l’empêcher de conserver une apparence globalement harmonieuse – c’est-à-dire notamment d’être bien proportionné en termes de corpulence.
En tout cas, le dimorphisme sexuel est bien marqué chez cette race : le gabarit et surtout le poids sont généralement sensiblement plus élevés du côté des mâles.
Enfin, tant la croissance de ces derniers que celle des femelles s’achève entre l’âge de 16 mois pour les plus petits gabarits et 19 mois pour les plus gros.
Avec son corps tout en muscles, le Bull Terrier mérite son surnom de « gladiateur canin ». Ce dernier ne doit rien au hasard, puisque ce chien fut originellement créé pour combattre d’autres animaux.
De ce passé trouble, il conserve des attributs physiques qui faisaient de lui un adversaire redoutable : un thorax large aux côtes bien cintrées, une silhouette compacte et bien proportionnée, un dos court et fort...
De plus, sa poitrine est haute, de sorte qu’elle est plus près du sol que le ventre, sans pour autant lui donner un air court sur pattes.
Le Bull Terrier possède des pattes parallèles et droites qui dégagent une impression de robustesse, mais aussi d’agilité.
Ses épaules et cuisses sont musclées, sans être chargées.
Quant à ses pieds, ils sont ronds et compacts. Ils arborent des doigts bien cambrés, qui lui donnent une impulsion forte.
Le tout lui permet d’avoir une démarche souple et puissante.
La queue du Bull Terrier est courte et tendue à l’horizontale, ce qui accentue l’aspect carré de sa silhouette. Épaisse à la base, elle va en s’affinant en pointe à l’extrémité.
S’il y a bien une caractéristique physique qui fait qu’il est impossible de confondre le Bull Terrier avec une autre race, c’est sa tête : tant la forme de ballon de rugby de cette dernière que son nez romain lui confèrent une apparence unique.
En effet, vue de face, sa tête forme un ovale parfaitement rempli ; son profil quant à lui s’incurve légèrement vers le bas.
Ces particularités sont dues à la forme de son crâne, quasiment plat entre deux petites oreilles rapprochées et dressées naturellement, ainsi qu’à l’absence de stop sur son chanfrein descendant. Ce dernier se termine par une truffe noire et inclinée vers le bas.
La mâchoire quant à elle est forte et épaisse, composée de dents parfaitement implantées en ciseaux, ce qui contribue à donner à ce chien une apparence imposante.
Enfin, sa tête repose sur un cou extrêmement musclé et suffisamment long pour présenter un profil supérieur incurvé. Il est exempt de fanon et s’élargit vers les épaules.
Le Bull Terrier est connu pour l’apparence atypique de ses yeux.
Ces derniers présentent en effet la particularité d’être triangulaires. Ils sont en outre disposés en oblique, et plus proches des oreilles que du museau. Ces caractéristiques physiques sont très rares au sein de la gent canine, et contribuent à l’apparence unique du Bull Terrier.
Ses yeux sont par ailleurs bien enfoncés et étroits.
En outre, ils dégagent beaucoup de vivacité malgré leur couleur noire ou brun foncé.
Il existe aussi des individus aux yeux bleus, mais tant le Kennel Club (KC) britannique que la Fédération Cynologique Internationale (FCI) voient cette particularité comme un défaut. D’autres organismes la considèrent même comme éliminatoire, et refusent donc de reconnaître les individus qui l’arborent : c’est la position notamment de l’American Kennel Club (AKC) et du Club Canin Canadien (CCC). Ces réserves s’expliquent par le fait qu’elle va de pair avec une prédisposition prononcée à la surdité.
Le Bull Terrier arbore un poil de couverture ras qui est dur au toucher et paraît luisant.
Il est en outre courant qu’il développe un sous-poil en hiver, qu’il perd lors de la mue printanière et n’est alors pas remplacé.
À l’origine, le standard du Bull Terrier établi par le Kennel Club britannique dans les années 1870 stipulait que son pelage devait être blanc uni. Toutefois, à partir de 1920, il se mit à accepter également les individus colorés.
Cela reste le cas de nos jours : le standard admet le blanc, le noir, le bringé, le rouge, le fauve et la robe tricolore. Par contre, les individus bleus ou foie sont indésirables.
La Fédération Cynologique Internationale (FCI) partage les positions du Kennel Club sur le sujet. D’autres en revanche acceptent toutes les couleurs : c’est le cas notamment de l’American Kennel Club (AKC) et du Club Canin Canadien (CCC). En tout cas, malgré ces divergences, toutes ces institutions de référence s’accordent sur une préférence pour le bringé chez les individus colorés.
Ces derniers n’ont d’ailleurs pas nécessairement une robe unie, et peuvent donc arborer du blanc sur leur corps. Toutefois, la couleur doit prédominer sur le blanc.
Quant aux chiens blancs, leur robe ne doit être ni mouchetée ou truitée, mais elle peut être recouverte de taches colorées au niveau de la tête.
Les standards de race sont des documents établis par les organismes officiels qui listent les conditions qu'un Bull Terrier doit respecter pour être pleinement reconnu comme appartenant à la race :
Le Bull Terrier a une hauteur assez variable, puisqu’elle se situe entre 35 et 61 cm. Toutefois, il en existe également une déclinaison de plus petite taille, le Bull Terrier Miniature. Son standard est identique à celui du Bull Terrier si ce n’est au niveau de la taille, qui doit être comprise entre 25,5 et 35,5cm.
Apparue en Angleterre au milieu du 19ème siècle, elle fut créée à partir d’un travail de sélection de Bull Terriers de petite taille par des éleveurs souhaitant développer une version plus adaptée aux petites maisons et appartements.
Longtemps considérée comme une simple variété du Bull Terrier, elle ne rencontra que tardivement le succès dont elle jouit aujourd’hui. De fait, elle fut longuement délaissée, au point même qu’en 1918 le Kennel Club britannique (KC) cessa de la reconnaître.
Néanmoins, deux décennies plus tard, des passionnés décidés à relancer la diffusion de ce petit chien créèrent un club dédié, le Miniature Bull Terrier Club. Fondé par le colonel Richard Glyn en 1938, ce dernier contribua sans doute à ce que le KC reconnaisse le Bull Terrier Miniature comme une race distincte dès l’année suivante, en 1939. Il fut d’ailleurs le premier organisme cynologique à le faire.
La plupart des autres institutions de référence suivirent, mais pas immédiatement. Ainsi, l’American Kennel Club attendit 1991 pour franchir le pas, et la Fédération Cynologique Internationale (dont sont membres une centaine d’organismes nationaux – dont ceux de la France, la Belgique et la Suisse) l’année 1992.
Le Bull Terrier Miniature est désormais reconnu un peu partout le monde comme une race à part entière, et il rencontre globalement une popularité croissante - au point même d’être dans certains pays plus répandu que le Bull Terrier standard.
Les premières traces avérées de Bull Terriers colorés remontent à 1919, bien qu’il soit possible que de tels individus aient existé auparavant.
Cette nouveauté est notamment attribuée à Edward Ted (aussi connu sous le nom de Ted Lyon), un éleveur de la race qui, en 1907, croisa des spécimens blancs avec des Staffordshire Bull Terriers – chien dont le pelage est généralement noir, bleu, bringé, fauve, rouge, blanc ou une combinaison de ces couleurs. L’objectif était d’éviter les problèmes de surdité qui étaient fréquents chez les sujets à la robe immaculée, et d’améliorer encore l’élégance de la race par un panachage de couleurs.
Malgré ces bonnes intentions, il fit face à l’hostilité d’une partie des amateurs de Bull Terrier, qui pensaient que ces croisements dénatureraient la race et introduiraient des défauts d’apparence ou d’intelligence. L’élevage des sujets colorés fut donc peu répandu dans un premier temps, malgré son autorisation officielle par le Kennel Club britannique (KC) à partir de 1920.
Cet accueil peu favorable de la part des amoureux de la race explique pourquoi ce dernier créa en 1937 un registre distinct dédié aux spécimens totalement blancs et dont les ancêtres étaient tout aussi immaculés (c’est-à-dire non mélangés avec des sujets d’autres couleurs).
De son côté, le Club Canin Canadien (CCC) décida en 1939 de reconnaître le Bull Terrier coloré comme une race distincte. Cela dit, il revint sur sa décision quelques années plus tard, considérant à nouveau que les spécimens blancs et ceux qui étaient colorés ne faisaient qu’une seule et même race.
Quelles qu’en fussent les modalités exactes, la reconnaissance des sujets à la robe colorée leur ouvrit les portes des expositions canines, ce qui leur permit de s’y faire remarquer – et accepter. Ainsi, les années 50 furent marquées par un apaisement définitif dans la guerre des couleurs, qui se fit d’ailleurs globalement en faveur des spécimens arborant une robe colorée. En effet, on se mit à les préférer à ceux qui étaient entièrement blancs : étant issus de croisements avec d’autres races de chiens colorés, ils étaient moins susceptibles de développer des pathologies héréditaires telles que la surdité congénitale.
De nos jours, ils sont toujours reconnus par les principaux organismes de référence, mais ces derniers ne sont pas exactement d’accord quant aux couleurs acceptées ou non. Ainsi, le Kennel Club et la Fédération Cynologique Internationale admettent le blanc, le noir, le bringé, le rouge, le fauve et la robe tricolore. En revanche, le bleu et le foie sont considérés comme hautement indésirables par le premier, et totalement rejetés par le second. Le Club Canin Canadien et l’American Kennel Club pour leur part font le choix d’accepter toutes les couleurs. Toutes ces instances sont néanmoins d’accord sur un point : la préférence pour le bringé chez les individus colorés.
Le Bull Terrier ne garde aujourd’hui quasiment aucune trace de son usage passé comme chien de combats, si ce n’est sur le plan physique – notamment en termes de musculature et de puissance. En effet, son apparence continue d’être impressionnante, mais son caractère lui est très équilibré.
De fait, le travail de sélection effectué par les éleveurs au fil du temps a abouti à un chien qui, contrairement à certaines idées reçues, montre davantage d’affection que d’agression - en particulier envers les humains. Apprécié pour son intelligence, sa loyauté, son courage et son côté joueur, il fait un merveilleux animal de compagnie pour qui sait en prendre soin de manière adéquate.
Plus d'infos sur le caractère du Bull TerrierLa reproduction du Bull Terrier ne pose généralement pas de problème particulier, contrairement à ce que l’on constate chez d’autres races.
Plus d'infos sur la reproduction du Bull TerrierBien que le Bull Terrier fût spécifiquement développé pour affronter des congénères ou des petits animaux, il était dès ses débuts utilisé également dans d’autres cadres.
En particulier, les ruraux exploitaient ses aptitudes de combattant pour chasser des nuisibles (principalement des rongeurs). Il ne manquait pas en parallèle de se faire remarquer à l’occasion d’expositions canines, auxquelles il participa rapidement : on se mit ainsi progressivement à le voir apparaître dans les foyers aisés comme simple animal de compagnie. Il faut dire qu’un travail de sélection soigné le dota non seulement d’une apparence atypique, mais aussi d’un tempérament plus calme : cela permit d’en faire un compagnon domestique apprécié
Ce rôle est aujourd’hui prédominant : le Bull Terrier est rarement utilisé pour autre chose qu’une vie au sein du foyer des humains qu’il chérit tant.
Le Bull Terrier a une réputation entachée par son usage passé dans le cadre de combats d’animaux et par sa morphologie impressionnante. Cela a limité sa diffusion et sa popularité, d’autant que certains décideurs politiques ont fait interdire ou réguler sa possession.
En effet, on a assisté à partir des années 80 à une multiplication des législations visant des races particulières (ou LRP) un peu partout dans le monde. Celles-ci ciblent certaines races considérées comme particulièrement dangereuses, et il arrive que le Bull Terrier fasse partie de la liste.
Il n’est pas le seul : les chiens de type bull comme lui font partie des premiers visés. En effet, la plupart d’entre eux partagent le même passé sulfureux et ont une apparence imposante, qui tend à donner l’impression que l’agressivité est chez eux une chose innée et systématique.
Or, cette image est bien loin de la réalité : s’il est vrai que ces chiens furent développés au 19ème siècle pour être de redoutables combattants, leur agressivité était toujours tournée vers leurs congénères ou des représentants d’autres espèces, et jamais vers les humains. En outre, un travail de sélection étalé sur plusieurs générations a depuis lors fortement modéré ces penchants agressifs.
D’ailleurs, ce n’est pas un hasard si le Bull Terrier compte de nombreux admirateurs à travers le monde, malgré cette mauvaise réputation. Ces derniers ont su aller au-delà de cette image péjorative et reconnaître ses indéniables qualités : affectuosité, dévotion, bravoure, vivacité d’esprit…
Au demeurant, les LRP ont beaucoup moins le vent en poupe de nos jours que ce ne fut le cas par exemple au tournant du 21ème siècle. De plus en plus d’amoureux et d’experts de la gent canine remettent en cause leur légitimité : basées sur des critères non scientifiques, difficiles à appliquer, peu efficaces et très coûteuses, elles font de moins en moins l’unanimité.
Ainsi, depuis globalement les années 2010, ces mesures visant certains chiens en particulier sont de plus en plus amendées, voire abrogées. Il n’en reste pas moins nécessaire de se renseigner sur le sujet si l’on vit – ou se rend régulièrement - dans un pays où de telles dispositions existent, car le Bull Terrier est alors susceptible de faire partie des races visées.
Depuis 1991, la Grande-Bretagne interdit ou restreint la possession de certaines races de chien considérées comme dangereuses. Pour autant, le Bull Terrier n’est pas concerné par ces mesures. Il peut donc librement être adopté ou emmené sur ses terres natales : il faut simplement veiller à respecter la réglementation applicable à tous les chiens quelle que soit leur race.
Dans la loi française de 1999 sur les chiens dits dangereux, le Bull Terrier n’est répertorié ni comme « chien d’attaque » (catégorie 1) ni comme « chien de défense » (catégorie 2). Par conséquent, il ne fait pas l’objet de règles spécifiques limitant sa détention ou circulation sur le territoire.
Il convient toutefois bien sûr de respecter les règles qui concernant l’ensemble des chiens, par exemple concernant le port de la laisse en ville.
Bien qu’aucune race de chien ne soit interdite au niveau national en Belgique, les administrations régionales, communales et municipales sont libres depuis les années 90 de réguler la détention et la circulation d’animaux susceptibles d’être dangereux.
Dans les faits, seules certaines communes de Wallonie possèdent actuellement une législation visant quelques races qu’elles considèrent comme dangereuses, limitant voire interdisant de ce fait leur présence et/ou leur circulation. Or, le Bull Terrier fait souvent partie de la liste.
Ainsi, il est par exemple banni à Beyne-Heusay, Fléron et Soumagne.
Cela dit, ce cas de figure est assez rare. Le plus souvent, il fait simplement l’objet de mesures qui limitent sa possession et/ou sa circulation dans l’espace public. C’est notamment le cas dans les communes de Comines-Warneton, Faimes, Grâce-Hollogne, Herstal, Liège, Mouscron, Tubize, Wanze, Wavre, mais aussi dans celles de la région du Centre Ardenne, de la Meuse-Hesbaye, du Pays de Herve ou encore des Trois Vallées.
Dans ces lieux où le Bull Terrier est catégorisé comme dangereux mais pas interdit, il est nécessaire de respecter certaines conditions telles que :
Cela dit, certaines administrations communales ayant instauré par le passé une réglementation visant quelques races en particulier font le choix de la supprimer, arguant qu’elle s’avère en fait inefficaces. C’est ce qui s’est passé par exemple à Charleroi (commune située dans le Hainaut) en 2022, avec la suppression de la liste communale des chiens considérés comme dangereux.
De même, la Région de Bruxelles-Capitale (qui comprend 19 communes) a remplacé en 2016 sa réglementation visant certains chiens par une autre plus générale, qui met l’accent sur la responsabilité des propriétaires - quelle que soit la race de leur compagnon.
En tout cas, il convient avant toute adoption d’un Bull Terrier de vérifier s’il existe une réglementation sur les chiens dangereux dans la commune où on réside – ainsi que dans celles où on est susceptible de se rendre régulièrement ou durablement (par exemple si un déménagement est envisagé). S'il y en a bel et bien une, il faut regarder si cette race est concernée, et le cas échéant le détail des mesures applicables.
Par ailleurs, dans toutes les communes du pays, le bourgmestre reste libre de prendre les mesures qu’il estime nécessaires afin de protéger ses administrés de tout chien (catégorisé ou non) dont la dangerosité serait avérée - par exemple du fait d’attaques envers des humains. Cela peut aller jusqu’à sa saisie, voire son euthanasie.
Il n’existe pas en Suisse de loi fédérale ciblant certains chiens supposés dangereux. En revanche, les administrations cantonales sont libres de légiférer sur la question et donc de mettre en place des réglementations interdisant ou restreignant la possession de certaines races. Dans certains cantons, le Bull Terrier fait partie de la liste.
C’est le cas en particulier dans le Valais et à Zurich, où il est carrément banni.
D’autres ont fait le choix de ne pas aller aussi loin, mais de limiter sa possession et/ou sa circulation. Il en va ainsi des cantons d’Argovie, de Bâle-Campagne, de Bâle-Ville, de Fribourg, de Glaris, de Schaffhouse, de Soleure, de Tessin et de Thurgovie. Son acquisition nécessite l’obtention d’une autorisation, qui suppose de respecter certaines conditions : avoir déjà été propriétaire d’un chien, souscrire une assurance responsabilité civile (couvrant les éventuels incidents dont il serait à l’origine), assister à des cours de parentalité et jeux pour chiots, fournir la documentation relative aux origines de l’animal…
Aucune loi fédérale canadienne ne cible des races de chien en particulier.
En revanche, les provinces sont susceptibles de légiférer sur le sujet. Néanmoins, une seule l’a fait : l’Ontario, qui depuis le début des années 2000 cible trois races en particulier. Le Bull Terrier n’en fait pas partie.
Il convient néanmoins de tenir compte du fait que les villes et municipalités de chaque province ont elles aussi la possibilité d’édicter une réglementation sur le sujet. Avant de jeter son dévolu sur cette race, il faut donc vérifier s’il existe des lois visant des races particulières (LRP) dans le lieu où l’on réside, ainsi que dans ceux que l’on fréquente souvent ou dans lesquels on serait susceptible de déménager le cas échéant.
Quel que soit le pays où l’on se trouve, le prix d’un chiot Bull Terrier varie grandement en fonction de multiples facteurs – à commencer par son âge, la lignée dont il descend, la renommée de l’élevage, mais aussi sa plus ou moins grande proximité avec le standard de la race. Ce dernier aspect contribue d’ailleurs à expliquer pourquoi on constate parfois des différences de prix au sein même d’une portée.
Plus d'infos sur le prix d'achat d'un Bull TerrierComme d’autres chiens ayant été créés et utilisés pour les combats d’animaux, le Bull Terrier a une réputation entachée par son passé. Cela constitue indéniablement un frein à sa popularité, mais ne l’empêche pas de compter moult admirateurs un peu partout dans le monde.
Il faut dire que son physique atypique ne laisse pas indifférent, et constitue un atout aux yeux de nombreux amoureux de la gent canine.
Ainsi, sans faire partie des races les plus populaires, il jouit d’une certaine notoriété et est bien implanté dans de nombreux pays.
Plus d'infos sur la popularité du Bull TerrierOlga est notre 3ème chien mais notre 1er bull terrier de 11 mois. Je dois bien admettre que c'est un chien hors du commun... Jamais vu une tête de mule pareille... Pas facile à éduquer mais elle est vraiment attachante. Le gros problème avec elle c'est qu'elle prend tout en dérision, impossible de la punir lorsqu'elle fait une bêtise, elle fait le clown et fait comme si de rien était... La seule solution pour la faire écouter est de l'isoler lorsqu'elle fait des idioties et je peux vous confirmer qu'elle n'est pas en manque d'imagination pour délirer... Toujours d'humeur joyeuse, très joueuse et d'une affection débordante, voilà comment est notre Olga
Bonjour à tous , je dois vous avouer que ma Mayday de 16 mois , est un amour unique en son genre , son côté terrier , têtu , bornè associer à ce bull , dètonant d'adresse et d'intelligence me rend Gaga
je vis une merveilleuse histoire avec ma bullette:lilou
bull terrier de 2 ans
têtue, obstinée et destructrice ( de moins en moins) elle est affectueuse, sait faire le clown à bon escient et m 'apporte beaucoup de bonheur
Bjr,ma chienne mya ns a quitte il y a bientot 1ans,a l age de 13ans.chienne superbe,lorsque elle avait 8ans ns avons eu notre 1er enfant...que dire de cette protection quelle eue avc notre bebe!!magnifique!!patience a tt epreuve!!!mimi tu restera pres de ns a jamais!!ns t aimons fort!!!rip le bullotin
Un chien au physique et à la personnalité originaux
adorable, têtu, facétieux
complètement atypique
15 ans de plaisir de joie Tim suite a une erreur medicale d un vétérinaire de garde nous a quitté.
Têtu joueur jamais il n a mordu.
C est vrai problème articulation arrière du a sa puissance. Il nous a fait un Avc a l age de 12 ans, oedeme pulmonaire a 13 ans..mais toujours exceptionnel une amitié difficilement remplacable.je le conseille malgré ses degats de jeunesse (une porte un canapé...)
A 15 ans il jouait au foot avec moi.. puissance tranquille . Bravo Tim.
Caractère stable
très fidèle envers son maitre.
J ai un mâle bull terrier il a 3ans et demi c est un amour un vrai clown il est pot de colle j adore sont regard de bébé il a une force énorme et pourtant c est un vrai molosse avec un cœur grand comme l océan voilà je dédis ce petit mot à mon Loulou d amour
Baxter, notre bull terrier de 9 ans nous a quitté lundi d'un arret cardiaque, bien que soigné depuis plus d'un an pour ce problème. Que dire du vide, de l'absence,c'était notre bébé.... les bulls sont des chiens superbes, magnifiques, adorables, calins, joueurs,tétus mais très très attendrissants. Nous sommes, mes filles et moi dans une grande tristesse.
jai 1 bulette de 7 ans beaucoup de probleme de santé! elle as eue 1 tumeur a la vessie infection urinaire epathite donc croquette speciale a vie et prise de sang tout les 2 mois et cardiaque mais elle as ses crises de folie fait la folle pot de colle adore les enfants!!elle est adorable!!!que dire de plus! je l aime!!!!!
J'ai un bull terrier, adorable malgré ca dure enfance, c était une chienne en or, attentionné, douce, très calme, parfois elle avais c'est moment de folie mais toujours a l'écoute, elle adorais tous les enfant qu'elle a côtoyer, malheureusement pour cause personnelles je ne peut plus l'avoir a mes côter et c'est réellement un énorme manque ...Je la regrette profondément, j'ai tenter une autre catégorie de chien, même plusieurs, mais impossible de retrouver un attachement comme ca ! j'espère pouvoir retrouver un bull terrier je ne trouve pas affinité avec d'autre chien
ma bull terrier roxy s'en ai aller le 20decembre 2011
a l'age de 11 ans et 8 mois le plus beau bonheur
d'avoir une telle chienne
R.I.P ma belle
Têtu, pot de colle, guignol, bourrin, adorable... ces mots résument le caractère d'Ermes notre bull de 6 mois
chien intelligent, sympa un peu trop pot de colle parfois, très protecteur et super fiable avec les enfants de la "famille"(au sens élargi,ami,etc...). Je me suis fait mordre au visage et c'est la gentillesse de cette race qui m'a réconcilié avec les chiens.
J'ai un bull terrier femelle de 5 ans et une petite de 5 mois et demie, nous les adorons mais c'est du sport quand elles décident de jouer. C'est fou
Narco est un cadeau, j'adore mon bull... mais quel cabot !
particulier, mystérieux, ces chiens se démarquent des autres! j'adore!
C'est ma passion ils sont superbes !
Bonjour à tous, Au mois de février, la maladie d'addison a été détecté sur mon bull terrier alors âgé de 5ans et... Lire la suite
Bull Terrier "mordeur"Mon chien, celui de ma femme plutôt, a mordu une fois il y a trois semaines, une deuxième fois aujurd'hui, sans... Lire la suite